En fait, on pourrait dire qu'adopter cette définition amène à ce qu'il n'y ai que des êtres pensant dans la nature (thèse de Church-Turing appliqué à la physique).
Je te suis sur l'idée qu'il faut partir de la perception que les gens ont de ce qu'est la pensée . Mais je ne te suis pas sur l'idée que cela conduise à un relativisme absolu: il y a des positions cohérentes et des positions incohérentes, il y a des positions utiles et il y a des positions inutiles (inutiles dans le sens d'améliorer nos capacités à interpréter, prédire, bref comprendre le monde observable).
Si tu inclus une fonction constante dans la catégorie des pensées, c'est une position qui est cohérente mais qui est "inutile", inutile dans le sens ou tout étant des pensées, le concept même de pensée devient superflu pour expliquer quoi que ce soit (au moins d'un point de vue physique, d'un point de vue mathématique on peut s'amuser plus).
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