Bonsoir bonsoir,
Je présume que la plupart d'entre vous a une vision plutôt personelle des effets de l'alcool sur ses états mentaux. Bref ...
Je me posais la question suivante qui est plutôt d'ordre physiologique mais peut être interprêté par chacun de manière différente : d'où l'intérêt.
Outre son carctère addictif, (qui pourrait nous faire supposer un comportement d'approche sociale .. intégration / conditionnement , etc ... choses typiques de notre temps) pensez vous que le modèle neurohysiologique de l'espèce humaine s'est développé en accord avec la molécule d'éthanol ..?
Je rappelle que certains récepteurs au GABA (neurotransetteur inhibiteur du SNC qui inhibe lui meme les neurones à GABA d'ou le processus addictif) sont également sensible à l'éthanol (tout comme aux benzodiazépnes, testostérone ...);
mais pourquoi l'éthanol exactement ? Pour établir une forme de réponse "d'alerte" à une mauvaise homéotasie du métabolisme des alcools naturellement synthétisés ? (je comprends lorsqu'il s'agit d'endorphines, oiacés naturels ... mais dans ce cas, notre organisme qui n'a rien d'une levure et ne fermente pas beaucoup ..)
...et pourquoi intervient-il précisément dans des processus physiologiques impliquant le système de récompense ?
Je peine à imaginer nos ancètres évolutifs s'ancrer dans la quète des fruits-pourris comme voie de survie majeure ... (et là encore je me pose la question; c'est pour limiter le gapillage et les rendre plus apétissants ?)
Quoi qu'il en soit l'alcool tel qu'on le boit n'a rien d'une récompense à long terme .. (à part dans l'évolution vers la voie des benzo). Bref ... Je n'aime pas tronquer la curiosité par "c'est une absurdité de l'évolution point final..."
Des indices ?
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