Ça s'appelle son phénotype qui résulte de l’interaction du milieu dans lequel il vit et de son génome (ses gènes et leurs expressions).
Les interactions avec le milieu et celui-ci étant ou ayant été directement sous l'influence des ses proches, ses moins proches et du reste de la population ainsi que de l'individu lui-même - (toujours dans une certaine mesure mais suffisamment pour que les individus restent distinguables), eux mêmes "déterminés" par leur ... etc .. jusqu’à un ancêtre qui ne soit pas considéré (toujours par moi) doté de la capacité de discernement et qui n'a pas pu "diriger" (...) son environnement.
Et comme il est très difficile de trancher qui de l’œuf ou de la poule, j'ai donc postulé directement.
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), mais c'est le fruit d'un peu de réflexion sur le sujet...
) en réponse aux points de Photon57 qui voyait cette possibilité de "choix" au delà du vivant. Ce qui pour moi n'a aucun sens, car précisément il me semble que la capacité de choisir est liée au sens, et le sens, il n'y a que les êtres vivants qui y accédent. Mais ça, c'est une discussion qui devrait avoir lieu dans un autre fil que celui consacré à la capacité de choix des animaux versus les humains.
).