Qu'est ce que veut dire le verbe être: "verbe être" (comme la voiture est rouge).
Tant que tu considères tes interprétations toutes personnelles, tes propos abscons et tes phrases tronquées que tu es le seul à comprendre comme des faits scientifiquement établis de façon évidente (et on se demande alors pourquoi tu les exposes à tout bout de champs) et les remarques des autres comme des aboiements que tu es incapable de démontrer comme tels, ta participation devient, dans ces conditions, plus que facultative.
Ca pourrait être amusant d'inventer une novlangue chassant le verbe "être" mais ça va pas être (oups, faute...) facile.
("And about to Be shalt thou not speak. Three shalt be the number thou shalt count, and the number of the counting shall be three. Four shalt thou not count, neither count thou two, excepting that thou then proceed to three. Five is right out. ").
Merci pour ta réponse.
J'ai du mal à croire que toi non plus tu ne fasse pas la différence fondamentale entre "la voiture est rouge" et je perçois la voiture de la couleur rouge. Que cette ambiguïté soit utilisé par l'idéologie matérialiste pour défendre son point de vue ne me surprend pas. De plus très commode dans le sujet du fil présent. Mais quand on maitrise ces notions sur le thème de la philosophie de l'esprit (dans lequel ton message sur ce fil porté et ou j'ai extrait la phrase) cela m'a interpellé.
Si je me suis trompé autant pour moi alors.
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 13/08/2013 à 14h09.
alors il va de soit que les autres ne peuvent comprendre ( puisse qu'on affirme maitriser comme argument )
celà implique donc de revenir à chaque fois (sur tout fil possible ) sur la thématique qualia/physicalisme, en affirmant son point de vue personnel.
( parcequ'il y a maitrise d'ou argument d'autorité ).
qu'est ce que les philosophes peuvent être tetus quand même
Je ne lis pas ce qui te permet ici de le penser, par contre, il faut bien exprimer cette perception et comme la voiture "n'est" jamais rouge et que le verbe être existe pourtant, c'est qu'il a un sens en fonction du contexte que tu ne veux pas ou peux pas lui donner (sans préjuger de celui que pourrait utiliser bardamu) alors qu'il est largement utilisé par d'autres gens (pour simplifier, tu critiques des intervenants parce que tu ne parles pas la même langue qu'eux), ensuite cette distinction n'a pas forcément d'importance dans le raisonnement ou sur le sujet suivi.
De la même façon, on peut critiquer ta phrase que je viens de citer en fonction des sens tu donnes au verbe "croire" (ex: http://forums.futura-sciences.com/ep...-croyance.html ), aux termes "différence" et "différence fondamentale", à la notion de percevoir, etc.
Sens que tu devras bien évidemment expliquer et justifier historiquement, sociologiquement, épistémologiquement, scientifiquement puis dans le contexte et quand tu auras fini l'encyclopédie qui justifie cette affirmation, tu recommenceras pour chaque phrase que tu postes plutôt que d'essayer de nous imposer ton propre vocabulaire et ta grammaire qui te sont tout personnels et nous faire remarquer que le sens des mots employés par les autres intervenants ne te conviennent pas à chaque fois qu'il t'en prends l'envie.
Le problème, c'est que tu as semblé prendre une simple mention des attentes communes envers la physique comme une sorte de défense militante d'une thèse matérialiste alors qu'avec Leibniz j'exposais justement une thèse qui ne l'est pas et que j'indiquais que même dans le champ de la physique le problème se posait à nouveau...
En plus simple : même en physique on s'interroge sur le sens à donner à "matière", ce qui n'a quasiment pas été le cas pendant 2 siècles, et tu bondis comme si je disais "la physique nous impose une ontologie matérialiste".
Il est d'ailleurs assez symptomatique que tu parles du matérialisme comme d'une "idéologie", comme si on était en plein combat politique, alors que personnellement, je n'y vois qu'une position inhérente à certains domaines d'étude : il n'y a qu'un nombre restreint de situations en sciences "dures" (physique, chimie, biologie...) où la matérialité elle-même devient un problème et, pour l'essentiel, elles ont tout naturellement avancé dans un matérialisme "impensé".
Et ceci n'implique nullement qu'un physicien, un chimiste, un biologiste etc. transforme en une métaphysique dogmatique des attitudes professionnelles, méthodologiques de pensée.
D'ailleurs, pour revenir au sujet, on pourrait se demander quel est le rôle de l'affect, de l'émotion, dans l'émergence d'un problème.
Peut-on prendre au sérieux les prétentions à une raison "froide", sans affect, dès lors qu'une chose ne pose vraiment problème que quand "quelque chose ne va pas", qu'il y a une gêne, un sentiment de malaise ?
Typiquement, tu as un vrai problème avec les notions d'Etre, de chose en soi, d'ontologie etc., ça te fait beaucoup réagir...
pourquoi l'exclure ?D'ailleurs, pour revenir au sujet, on pourrait se demander quel est le rôle de l'affect, de l'émotion, dans l'émergence d'un problème.
Peut-on prendre au sérieux les prétentions à une raison "froide", sans affect, dès lors qu'une chose ne pose vraiment problème que quand "quelque chose ne va pas", qu'il y a une gêne, un sentiment de malaise ?
...
supposons une démarche fondée dans un but d'amélioration. (même si tout va bien )
reponse attendue : l'amélioration est le reflet d'une envie de mieux vivre, donc ressort d'une forme d'affect ( desir )
je ne sais pas conclure.
Personnellement, je n'ai pas compris, le verbe "être" au sens "purement" ontologique (je dis "purement" pour me réserver le droit de parler d'ontologie dans un certain contexte m'autorisant à le faire ici...), car j'ai compris son utilisation comme une expression d'une pensée où la matière n'est pas vu comme quelque chose qui découle d'un autre concept théorique (par analogie, comme au contraire de la situation où, on voudrait exprimer que "la gravitation découle de l'espace-temps de la RG").
Dernière modification par invite7863222222222 ; 13/08/2013 à 17h23.
Bonjour,ù100filconscience cela me surprendrait du fait de cette différence : car l’ordinateur n'en a pas pas pris conscience, Kasparov oui. Je parle de cette notion de conscience par inter-subjectivité (image de la pièce avec deux faces subjective et objective) entre nous humain partageant un ressenti semblable, sans savoir le définir tout comme la musique commence lorsque les mots s’arrêtent.
Intelligence un vaste débat.
Malheureusement nous ne pouvons nous mettre dans la tête électronique et informatique du robot , d’où l'encre qui coule et qui continuera de couler, certainement jusqu’à la fin de l'humanité, sur cette thématique.
Patrick
Vous dites que l'ordinateur n'a pas pris conscience de sa victoire.
Mais sur quoi exactement, vous appuyez vous pour affirmer cela?
le sens qu'y met U100fil semble être lié à un concept de "réalité absolue et innaccessible" ( la fameuse "chose en soi" qui commence à me donner de l'acnée )Personnellement, je n'ai pas compris, le verbe "être" au sens "purement" ontologique (je dis "purement" pour me réserver le droit de parler d'ontologie dans un certain contexte m'autorisant à le faire ici...), car j'ai compris son utilisation comme une expression d'une pensée où la matière n'est pas vu comme quelque chose qui découle d'un autre concept théorique (par analogie, comme au contraire de la situation où, on voudrait exprimer que "la gravitation découle de l'espace-temps de la RG").
c'est à prendre sous forme d'un postulat qui de ce fait exclu ce concept d'une approche scientifique
en ce sens, en parler revient à l'exclure, car si celà est ( par définition) en dehors du champ scientifique, il est hors sujet sur ce forum.
( au même titre que la foi )
mais très interessant dans un débat purement philosophique.
On ne sait pas et on ne peut pas savoir* (à cause du filtre de nos perceptions et la subjectivité de notre interprétation) donc si on ne sait pas ce qu'elle est, on sait ce qu'elle n'est pas (d’où le refus du verbe être).
* Même si on tombait juste, ce qui ne peut être exclu, on serait incapable de le reconnaitre à cause des limitations entre parenthèses.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 14/08/2013 à 13h15.
Ok, en attendant que vous ayez un jour des éclaircissements à donner à mon impression...
Dernière modification par invite7863222222222 ; 14/08/2013 à 13h32.
ce n'est pas moi qui y fait allusion, j'essaye de mettre des mots sur le concept d'U100fil .
Si vous reprenez une notion évoquée par une autre personne pour y mettre des mots (comme vous le dîtes), je peux considérer que vous essayez de parler de la même chose, et donc vous voulez y faire aussi allusion.
Oui mais en même temps, vous dîtes ne pas y faire allusion, comprenez donc ma position., j'essaye de mettre des mots sur le concept d'U100fil .
Par ailleurs, je ne vous en demande à présent pas plus, je crois bien avoir compris que vous n'irez sans doute pas plus loin.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 14/08/2013 à 14h11.
Aparté.
Si je te reprends, µ100fil, ce n'est pas par amour de l'art mais parce que par le passé tu as montré des qualités supérieure à la normale de la fréquentation mais si on doit maintenant essayer de repérer quelques éventuelles considérations pertinentes parmi plusieurs pages de discours autistique (je n'ai pas dit faux ou invalide), ça n'a plus d’intérêt (pire, ça ne deviendra plus possible de les reconnaitre).
Pour rester dans la communication, premier but de l'utilisation des mots et par exemple, quand il est dit qu'on perçoit la voiture de la couleur rouge, une des première informations du propos, c'est qu'on pose quelque chose de totalement subjectif qui nous est tout personnel (notre perception) et qui n'est pas forcément partagée par les autres et qui, en gros et autrement dit, est sans intérêt, sauf pour sa famille ou son médecin, alors que quand on dit que la voiture est rouge, c'est que la perception est normalement* partagée et qu'il devient possible d'en discuter (le fait que cette perception partagée décrite de cette façon ne puisse pas forcément correspondre "à la chose en soi" n'étant pas utile à toutes les discussions, surtout chez le concessionnaire).
D'ailleurs, "bon nombre de physicien ne se font plus piégés** par ce biais cognitif visant à chercher une vérité dans l'absolu" mais possèdent pourtant une voiture qui est rouge, qu'ils présentent et qu'ils ont acheté comme telle.
Je serais curieux de savoir (surtout voir) combien, pour avoir une voiture rouge, ont demandé au vendeur la voiture qu'ils percevaient comme rouge puis lui ont demandé de la présenter à un panel représentatif de la population pour vérifier que les parties qui devaient l'être était bien perçues de la longueur d'onde spécifiée dans des conditions choisies ?
* vcm
** Est ce qu'il faut lire "piéger" ou "... ne sont plus piégés..." qui aurait alors une tout autre signification ?
Pour ma part, je veux dire qu'on devrait aussi reprendre des termes assez vagues comme effectivement "la physique a la charge de dire ce qu'est la matière".
Il faut préciser qu'on se place dans le domaine de la définition scientifique et "non commune" de la matière (ce que je pense avoir fait un minimum compte tenu de mes connaissances en #101).
Je ne dis pas que la phrase en question est de l'ontologie car avant d'être de l'ontologie, il s'agit, selon moi, de tendances à se placer trop facilement, voir involontairement (où à induire cela chez la plupart des lecteurs), dans la métaphysique (1).
J'essaie d'en rester à la première "erreur volontaire supposée" (discours induisant peut-être une compréhension dans un sens métaphysique), qui a amené les autres involontairement (être amené malgré soi, à faire des hypothèses ontologiques). Et je ne vois pas l'intérêt ni justification à me placer sur les erreurs induites (si ce n'est imposé un point de vue).
Bien sur, je n'ai pas prouvé (1), j'en reste bien à ce que j'en pense, et vous le soumet dans le but d'échanger à ce propos.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 14/08/2013 à 14h43.