Bonjour à tous,
Si je comprends correctement, le domaine de validité de la RG s’arrête au mur de Planck, donc déjà sans même aller jusqu'à s’interroger sur un avant big bang on peut déjà s’interroger sur un avant mur de planck, mais souvent j’ai remarqué dans le forum ou ailleurs que la réponse à cette interrogation était plutôt lapidaire : la question n’a pas de sens.
Je peux tout a fait comprendre que la question n’ait pas de sens dans le cadre de la RG, mais dans le cadre d’un modèle (encore à trouver) continuant là ou la RG s’arrête, il me semble que la question a un sens, est-ce faut ?
Intuitivement on arrive à imaginer qu’à certaine échelles s’affranchir de la physique quantique n’est pas bien raisonnable, d’où les recherches à ce sujet pour tenter de concilier les 2 théories en une seule plus globale.
Est-ce qu’évoquer un avant big bang a un sens ?
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  Envoyé par cocomos77
 Envoyé par cocomos77 
 etrus75]. A ce moment là, l'énergie du vide est injectée dans les champs de matières, ce qu'on appelle le "réchauffement" (reheating). L'univers se remplit alors d'un plasma extraordinairement dense et chaud en expansion encore très rapide, mais désormais ralentie car la pression de l'univers n'est plus négative mais positive. Le vide conserve une densité résiduelle ~0,7 GeV/m3. Au début ça ne compte pour rien, mais comme la tortue de la Fable, il lui suffit d'attendre que la matière se dilue suffisamment pour reprendre à nouveau le dessus. C'est le cas depuis en gros la moitié de l'histoire de l'univers. Nous somme à nouveau dans l'ère du vide cad dans un univers où l'énergie du vide (ce qu'on appelle la constante cosmologique) représente l'essentiel de l'énergie totale, environ 70% aujourd'hui.
etrus75]. A ce moment là, l'énergie du vide est injectée dans les champs de matières, ce qu'on appelle le "réchauffement" (reheating). L'univers se remplit alors d'un plasma extraordinairement dense et chaud en expansion encore très rapide, mais désormais ralentie car la pression de l'univers n'est plus négative mais positive. Le vide conserve une densité résiduelle ~0,7 GeV/m3. Au début ça ne compte pour rien, mais comme la tortue de la Fable, il lui suffit d'attendre que la matière se dilue suffisamment pour reprendre à nouveau le dessus. C'est le cas depuis en gros la moitié de l'histoire de l'univers. Nous somme à nouveau dans l'ère du vide cad dans un univers où l'énergie du vide (ce qu'on appelle la constante cosmologique) représente l'essentiel de l'énergie totale, environ 70% aujourd'hui.