Bonjour à toutes et à tous!
Alors j'ai une ou deux petites questions qui vont vous paraitre stupides, mais je n'ai pas réussi à trouver les réponses sur le net... C'est ainsi que je m'adresse à vous...
Alors voilà:
tout d'abord, je me suis interrogé sur l'abscence à une épreuve du BAC...
J'ai trouvé de tout, mais au final, il semblerait que:
_pour une cause très grave(accident grave touchons le candidat, choc psychologique intense...), alors le candidat peut repasser l'épreuve.
_pour maladie justifiée par certificat médical, alors le candidat aura un zéro pour la matière concernée.
_pour une abscence injustifiée, alors le candidat n'aura pas le BAC.
Est-ce bien cela?
Ensuite, un de mes professeurs m'a dis que, d'ici à un deux ans, il n'y aurait plus de BAC, est-ce vrai?
Je trouverais cela vraiment dommage, car si je l'ai, cela voudrait dire que j'ai travaillé jusqu'à maintenant pour rien!
Enfin, les épreuves de rattrapages du BAC sont au mois de Septembre, mais dans l'hypothèse où le candidat est abscent, comment fait-il pour les inscriptions post-BAC?
Une abscence est donc significative d'une année de perdue, donc autant redoubler sa Terminale s'il on est abscent, non?
Par avance, je vous remercie du temps que vous m'accorderez,
King K.
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...et généralement quand on explique clairement la situation il y a toujours une solution... De plus il existe des listes d'attente dans de nombreuses filières, je pense en BTS ou en IUT et un petit nombre de places réservées...
, chaque année les médias et autres rapports " d'experts en tout et n'importe quoi" nous expliquent que "c'est la fin du bac, il coûte trop cher, c'est pas un examen juste, il sert plus à rien..." j'en passe et des meilleures, la dernière en date étant une notation soit disant injuste avec des écarts de points très grands lorsqu'une copie (d'épreuve de SES en série ES) est soumise à plusieurs correcteurs...Bref quand on veut se débarrasser de son chien on dit qu'il a la rage...La société reste très attachée à ce diplôme, c'est un rite de passage et aucun gouvernement ne prendra le risque de le supprimer, à la rigueur le modifier ou essayer de minimiser encore davantage son importance mais certainement pas signer sa disparition.