bonjour tt le monde;
je voudrais avoir vos pont devue concernant les régimes et la meilleur façon de maigrir sans faire soufrir son corps de privations, et surtout; pas seulement maigrir, mais rester mince!!!
bisous à tous
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bonjour tt le monde;
je voudrais avoir vos pont devue concernant les régimes et la meilleur façon de maigrir sans faire soufrir son corps de privations, et surtout; pas seulement maigrir, mais rester mince!!!
bisous à tous
Discussion déplacée.
À partir du moteur de recherche tu retrouveras de nos discussions à ce sujet.
Pour différentes raisons, les régimes ne fonctionnent habituellement que de manière temporaire. Il est presque certain (sauf certains cas rares) que tu retrouveras ton poids rapidement.
Sinon l'activité physique régulière, si possible à minimum 120bpm et >45min peut donner de bons résultats.
Je plussoie la remarque de Vésicule quant à l'activité physique régulière
L'alimentation est aussi très importante.
Un régime n'est pas le parfait synomnyme de privation, comme le pense pas mal.
Une alimentation saine te permettera d'obtenir un poids " normal" et stable.
Bonsoir, ou bonjour remarquez^^
Je suis entièrement d'accord avec vous. d'autant plus qu'une alimentation saine et équilibré t'apportera plus qu'un poid stable. En effet une alimentation équilibré fournira au corps tout les nutriments dont ton corps a besoin.
Privilégier ainsi des sucres rapides le matin pour se réveiller et une bonne dose de lipides pour tenir la route toute la matiné (beurre, etc...) .Le lait est recommendé, car il contient aussi des Glucides (lactose) et du calcium).
Les aliments contenant des sucres lents (pâtes, riz) et les viandes (rouges pour plus de proteines) le midi en période de croissance et même après pour tenir le choc.
Le soir quelque chose de léger ( soupes, salades composées etc...) pour faire le plein de légumes, sa ne sert à rien de booster l'organisme à coup de glucides pour ronfler (comme on arrête pas de le répêter: cinq fruits et légumes par jours)
Une entrée, un laitage et un fuit à chaque repas et voila une alimentation équilibrée.
varier ensuite les plaisirs, moi je me fais une soirée malbouffe une fois par semaine (j'entends par là frites, pizza etc...) comme sa le plaisir reste entier et comme on le dit si souvent:
bien manger, c'est le début du bonheur^^
voila
Bonjour,
il y a un dossier sur futura-science qui est consacré spécialement à ce sujet (et même encore mieux, puisque c'est "maigrir sans régime"):
http://www.futura-sciences.com/fr/co...665/c3/221/p1/
Dans ce dossier, tu trouveras toutes les informations nécessaires. Il y a même un forum spécial dans les archives...
Bonjour,
Il existe un site Internet, www.LaNutrition.fr qui présente une critique argumentée des régimes les plus connus (Atkins, Montignac, dissocié, des groupes sanguins, Weight Watcher....). C'est plutôt bien fait et ça a l'air fiable.
Bonjour
le régime (j'entends par là moins manger ou ne plus manger une ou plusieurs quatégories d'aliments pour perdre du poid)* n'est pas une bonne chose ni une solution qui puisse vous procurer un réel bien être à long terme.
En suprimant un type d'aliments de votre alimentation (par exemple les produit laitiers) vous privez votre organisme de nutriments essensiels à sont bon fonctionnement.
Le problème est qu'aujourd'hui on nous bombarde de pub pour des régimes à solutions miracles (etpatatietpatata). les seuls régimes viables (pour moi) sont ceux établie par un prodesionnel de la santé (nutritionniste, etc...) et pour UNE personne. car le surpoids peut être du à différents facteurs (stresse etc...) et est donc différent pour chaque personne. si il y a réelement un problème de poid contactez un professionnel de la santé, sinon adaptez un style de vie sain (bougez, mangez bien)
Cordialement
*Bien sur il existe des situations (comme l'exès de cholestérol, etc...) qui nessecitent de stopper la consomation de classes d'aliments. Mais en temps normal, s'il s'agit de perdre 5 kilos ne vous lancez pas à corps perdu dans un régime, passez moins de temps sur le forum et allez faire un tour^^
Le problème est qu'aujourd'hui on nous bombarde de pub pour des régimes à solutions miracles (etpatatietpatata). les seuls régimes viables (pour moi) sont ceux établie par un prodesionnel de la santé (nutritionniste, etc...) et pour UNE personne. car le surpoids peut être du à différents facteurs (stresse etc...) et est donc différent pour chaque personne. si il y a réelement un problème de poid contactez un professionnel de la santé, sinon adaptez un style de vie sain (bougez, mangez bien)
Cordialement
Pour moi qui travaille dans la nutrition, c'est très agréable de lire quelque chose d'aussi censé, merci pilou
Un régime est beaucoup plus fiable s'il est établi au cas par cas et s'il est associé à un suivi régulier. Le diététicien (nutritionniste) est censé comprendre l'histoire de la prise de poids, cerner les habitudes alimentaires du patient, connaître (et respecter le plus possible) ses goûts, détecter d'éventuels troubles du comportement alimentaire, corriger ses erreurs, ses idées reçues, lui apprendre ce qu’est concrètement l’équilibre alimentaire ; bref c'est toute une rééducation… C’est la méthode la plus sérieuse pour perdre du poids (et sans risque de carences d’apports en quoi que se soit)
Maintenant, faire du sport c'est très bien aussi, mais il ne faut pas aller au delà de ses capacités et surtout; il ne faut pas avoir une alimentation anarchique à coté
Léa
Léa, as-tu des statistiques sur le taux de succès des régimes amaigrissants proposés par les nutritionnistes? Pour ma part, à vue d'oeil j'estime que >90% des gens qui tenteront un régime, qu'il soit de bonne qualité ou non, reprendront leur poids de départ (sur une base allant de quelques mois à quelques années). J'aimerais bien qu'on puisse démontrer le contraire.
Par ailleurs, le rôle de l'alimentation dans la santé est présentement exagéré et déformé, d'une part par les médias, mais aussi par des professionnels de la santé.
Les médias, même de renom, ne savent pas interprétrer les résultats des études. Par exemple, lorsqu'en cardiologie des chercheurs ont observé un effet vasodilatateur de l'alcool (suggérant du coup un effet quelque peu préventif sur l'angor et sur l'accident thrombotique), les médias ont titré des articles du genre "l'alcool bon pour la santé!", "boire de l'alcool pour vivre plus longtemps", etc.
Certes nous savons que certains aliments peuvent induire ou accroître certains processus pathologiques; et en ce sens il peut être bon de tenter de les éviter. Mais d'un autre côté, et en cardiologie et en cancérologie, à titre d'exemple, le rôle de l'alimentation est plus relatif que plusieurs le croient.
De gros dogmes sont maintenant remis en question en ce qui concerne certaines relations alimentation-santé, ex: quantité de LDL vs obstruction des artères vs infarctus du myocarde; paradoxe obèse; potentiel cancérigène de certains légumes etc...
Bonsoir
Je trouve que tu exagère vésicule, je n'est jamais entendu quiconque dire que l'alcool est bon pour la santée. Certes beaucoup disent qu'un verre de vin par jour aurait des effets bienfaisants. Ce dont je doute... .
Par contre ce dont je suis sur c'est qu'il faut manger de tout en quantité raisonnable, n'abuser de rien.
Après les débats sur la santé lié à l'alimentation ne font que commencer, surtout à l'heure actuelle ou il est de plus en plus rare que les gens prennent le temps de cuisiner, et ou se généralisent les plats tout pret.
La malbouffe c'est installé avec tous les problèmes que sa comporte.
D'autre part j'ai lut des articles qui parlent de la surpenante longévité des chypriotes qui ont des habitudes alimentaires très particulières.
La nourriture, je pense,occupe une grande place dans notre santé, c'est quand même ce que nous absorbons que fait ce que nous sommes.
Cordialement
PS: Mais de rien Léa^^
Comme sur tous les sujets, il y a plusieurs écoles et je respecte ton avis bien qu’il enlève beaucoup de crédibilité à mon métier.Léa, as-tu des statistiques sur le taux de succès des régimes amaigrissants proposés par les nutritionnistes? Pour ma part, à vue d'oeil j'estime que >90% des gens qui tenteront un régime, qu'il soit de bonne qualité ou non, reprendront leur poids de départ (sur une base allant de quelques mois à quelques années). J'aimerais bien qu'on puisse démontrer le contraire.
Par ailleurs, le rôle de l'alimentation dans la santé est présentement exagéré et déformé, d'une part par les médias, mais aussi par des professionnels de la santé.
En ce qui concerne les statistiques, je n'en ai pas. Par contre attention: je n'ai jamais dit que tous les régimes donnés par des professionnels marchaient, sans efforts, et sans risques de reprise de poids! Il n’y a pas de formule miracle, la perte de poids est le fruit de longs mois (voire de longues années) d’efforts qui sont plus ou moins difficiles à faire selon les patients et selon leur(s) éventuelle(s) pathologie(s) associée(s). Et selon toi -qui sembles aimer les statistiques- combien de personnes arrivent à fixer un objectif pondéral sans y renoncer en cours de route?? Pas beaucoup tu peux me croire ; c’est dur, contraignant, la vie sociale en prend un coup, la vie de famille se complique, etc. Ce n’est pas critiquable mais c’est comme ça, et j’en suis tout à fait consciente. C’est pourquoi -contrairement à ce que tu sembles penser- je n’idéalise pas les professionnels de l’alimentation ; j’ai simplement dis que c’était la méthode la plus sérieuse et qu’elle prévenait l'apparition de carences d'apports, notamment en vitamines fer et calcium.
En cardiologie, j’ai vu je ne sais combien de patients hospitalisés pour IDM qui sont des bons vivants, bons mangeurs bons buveurs, obèses, avec un taux de cholestérol élevé, une alimentation très riches en acides gras saturés, etc. Leurs artères ne se sont pas encrassée sans raison ; le rôle de l’alimentation est essentiel, tant en préventif que pour améliorer les paramètres biologiques perturbés et donc éviter les récidives.Certes nous savons que certains aliments peuvent induire ou accroître certains processus pathologiques; et en ce sens il peut être bon de tenter de les éviter. Mais d'un autre côté, et en cardiologie et en cancérologie, à titre d'exemple, le rôle de l'alimentation est plus relatif que plusieurs le croient.
En cancérologie, le rôle des professionnels de l’alimentation est peut être un peu plus faible c’est vrai ; en fait tout dépend du stade du cancer à la prise en charge le patient…
En diabétologie j’espère que tu ne penses pas que la diététique est sans intérêt. De même qu’en gériatrie, en obstétrique, en maternité, etc, etc...
Mon post est bien long je m'en excuse mais je trouve ça domage que des gens aient des idées déjà toutes faites sur la diététique .
Léa
C'est justement le hic Lea: 75% des IDM surviennent sur des plaques non obstruantes et souvent non visibles en coronarographie. Les LDL sont certes les initiateurs et participent grandement aux plaques d'athérome....mais la notion de "quantité" de LDL dans le syndrome coronarien, est de plus en plus remise en doute.En cardiologie, j’ai vu je ne sais combien de patients hospitalisés pour IDM qui sont des bons vivants, bons mangeurs bons buveurs, obèses, avec un taux de cholestérol élevé, une alimentation très riches en acides gras saturés, etc. Leurs artères ne se sont pas encrassée sans raison
Alors tout le monde a dit ok, mais les LDL et LDLox induisant l'athérogénèse, donc une augmentation de LDL augmente les foyers athérosclérotiques. Ce que je crois dans une certaine mesure. Sauf que, on sait maintenant que l'athérogénèse, à la grande surprise, débuterait en prénatal: des foetus avec des cellules spumeuses. Ce qui altère ou relativise tout. Idem pour le paradoxe obèse. Ce sont des découvertes qui renversent ce qui était des certitudes.
Ensuite Lea, si on fait certains calculs, on se rend compte que l'alimentation en cardiologie peut prévenir ou améliorier le syndrome coronarien aigu que dans un ordre inférieur à 20%. Le calcul est encore brut, et personnellement je pense qu'il va descendre bien en deça éventuellement et ce, en fonction de ce que l'on découvre actuellement dans les sciences appliquées à la cardio (biochimie, génétique etc).
Donc oui LDL et gras trans participent au syndrome coronarien, mais nous passons à côté de variables beaucoup plus importantes actuellement.
Non je faisais allusion à certains chercheurs connus. Des publications et des livres se sont publiés avant même que des études cliniques aient été menées. Quant aux conclusions tirées à partir de comparaisons (ex: crétois), la méthodologie demeure risquée étant donné la trop grande quantité de variables. Je connais bien l'exemple des Japonais qui développent des problèmes de santé (coronaires entre autres) dès lors qu'ils deviennent américains. Mais encore là, on peut facilement y ajouter des variables qui altèrent la conclusion qui est tirée par une simple déduction.En cancérologie, le rôle des professionnels de l’alimentation est peut être un peu plus faible c’est vrai ; en fait tout dépend du stade du cancer à la prise en charge le patient…
Non bien sûr. Et de manière générale, malgré le rôle relatif de l'alimentation, je vois comme nécessaire votre présence en milieu hospitalier.En diabétologie j’espère que tu ne penses pas que la diététique est sans intérêt.
Ça on le sait...et cela s'explique d'un point de vue physiologique: la taille des adipocytes entre autres, les messages qu'ils envoient au cerveau, le taux de LPL (lipase lipoprotéinique). C'est la raison pour laquelle il est rare que les régimes minceurs fonctionnent. C'est physiologiquement peu probable de ne pas reprendre son poids initial via un régime. Et c'est là où j'en ai un peu contre certains nutrionnistes (et même médecins) qui participent à cette hérésie des régimes minceurs, et laissent croire qu'il est généralement possible de faire descendre son poids et de le conserver grâce à l'alimentation. Ce qui est pourtant faux.combien de personnes arrivent à fixer un objectif pondéral sans y renoncer en cours de route?? Pas beaucoup tu peux me croire ; c’est dur, contraignant, la vie sociale en prend un coup, la vie de famille se complique, etc.
Bref, je n'ai rien contre ta fonction. Au contraire. J'en ai seulement contre cette hyper réaction collective en regard de l'alimentation, comme si elle était le point central de tout, alors que en permanence les dogmes dont elle a accouchés sont remis en cause pour peu qu'on s'y penche.
Il y a 20 ou 30 ans, on ne mangeait pas mieux. Au contraire. Le taux de diabète chez les jeunes était quasiment nul; le syndrome coronarien aigu se voyait rarement en deca de 40 ans (aujourd'hui dès la vingtaine), etc. C'est donc qu'il y avait une variable autre et maitresse, prédominant largement le rôle de l'alimentation: l'activité physique et la non sédentarité.
Avec une vie active et normale, la plupart des considérations que l'on retrouve aujourd'hui en alimentation, ne se posent même pas.
euh modérateur ....
censured !!!!
je trouve cela honteux de venir faire de la publicité sur ce forum, surtout pour ce genre d'anerie.
bisousss
Supprimé.
JPL modérateur
Dernière modification par JPL ; 04/05/2009 à 01h28.
Alors concernant l'alimentation et la santé...
Il y a des professeurs de ma connaissance qui perdraient les cheveux qui leur restent en lisant certaines choses ici.
L'alimentation a une place preponderante dans l'etat de santé en général. L'obésite ( entrainée même si ce n'est pas toujours le cas, par une mauvaise alimentation et des regimes riches en graisse et peu equilibrés ) est un facteur de co-morbidité reconnu dans la plupart des maladies actuelles et est un facteur de risque cardio-vasculaire a lui tout seul ( les tissus adipeux secretent des adipokines qui favorisent l'apparition du diabete et d'autres pathologies agravant considerablement le statut cardio-vasculaire du patient, atherosclerose etc... ).
L'exemple des japonais rattrapant le risque cardio-vasculaire americain en moins d'une generation lorsqu'ils decident d'emmigrer là bas est aussi flagrant qu'il se verifie dans tous les types d'etudes du même genre, le risque cardiovasculaire accompagne la courbe des facteurs "obésité" ou "diabete" ( qui est parfois consequence de l'obesité dans les DII ) et a des proportions dans les regions du monde cohérentes avec le statut pondéral et les habitudes nutritionelles.
Peut-etre que toutes les études necessaires n'ont pas encore été menées et que certaines ont des biais probable a rechercher, mais enfin de là a tout nier et a dissocier alimentation et risque cardiovasculaire il y a un gouffre, et un gouffre dangereux. Mieux vaut traiter ces maux par excès en recommandant un regime cretois ou analogue a tous les malades en etat de les suivre.
Même si le pourcentage d'influence de l'alimentation est redécouvert demain et revu a la baisse, il sera néanmoins capital et restera une priorité.
Le premier traitement du risque cardio-vasculaire ce sont les mesures hygieno-dietetiques.
Et tu te trompes.Envoyé par pilou66Certes beaucoup disent qu'un verre de vin par jour aurait des effets bienfaisants. Ce dont je doute... .
Plusieurs études convergent au même resultat et c'est ecris noir sur blanc dans nos cours de nutrition: une consommation journaliere moderée d'alcool ( en l'absence d'hypertrigliceridemie ) a raison d'un verre - 10g - de vin rouge surtout, reduirait le risque cardiovasculaire.
Le constat est là mais le mecanisme incertain, on l'attribue:
- Aux propriété vasodilatatrices de l'alcool.
- Augmentation du taux de HDL-Cholesterol.
- Specifique au vin: presence de polyphénols et activité anti-oxydante des tanins.
Si la consommation excede deux verres par jour, les effets nefaste de l'alcool surpassent les effets benefique et celà ne devient plus recommandé du tout ( cancer, cirrhose, accidents de voiture etc... ça tout le monde connaît ).
( Ces explications concernant l'alcool sont issues de notes d'un professeurs en endocrinologie - nutrition membre du collège national des enseignants en endocrinologie )
Tu l'as bien écrit car il ne faut pas oublier que ces études ne sont pas à fort niveau de preuves et n'ont été menées, a part une (à ma connaissance), que sur des hommes de 40 a 60 ans environ.