En cas de suspicion d'une carence en fer, le seul dosage de la ferritine suffit-il pour confirmer cette carence?
et si on suspecte un syndrome inflammatoire, une insuffisance rénale chronique ou une affection maligne à cause duquel/desquels la ferritinémie s'est avérée normale ou augmentée, pourquoi un dosage du RsTRF (récepteur soluble de la transferrine) n'est-il pas indiqué en pratique courante (comme le mentionne la Haute Autorité de Santé), alors qu'il s'agit d'un bon témoin de la carence en fer et que son taux n'est pas influencé par l'inflammation? le RsTRF ne semble-t-il pas alors le meilleur moyen pour dévoiler une carence en fer masquée par un taux normal ou élevé de la ferritine?
-----