Intoxication radioactive des moyens pour sauver la vie ?

[ramzus2]

bonjour tout le monde.
que faisons nous pour réanimer quelqu'un en intoxication radioactive? on le laisse crever ou il est sauvable? j'ai du mal à imaginer les macrophage phagocyter un élément radioactif, la seule solution pour l'organisme pour survivre est les vomis, et pour ce qui passe au sang ou à travers la peau chaque macrophage devra avaler un ou plusieurs éléments radioactif et se suicider dans la voie intestinale pour sortir en "martyr" dans les fèces mais avec le mérite d'avoir nettoyer un peu des élément radioactif présent dans le corps...

j'ignore tout ou presque de la chimie radioactive, je sais juste que surement ces éléments sont indestructibles avec des enzymes car tout simplement il n'est pas dans les capacités des enzymes de faire de la fission nucléaire pour dégrader l'élément radioactif à un ensemble d'atome de carbone ou d'oxygène ou de nitrogène moins nocifs pour le corps...

de toutes façon si un tel enzyme existait c'est une très bonne nouvelle pour nous car on pourra développer des bombes biologiques qui lâche des bactéries munie de cette enzyme lors des catastrophe nucléaires comme à fukushima et ces bactéries nous nettoieront les éléments radioactifs qu'il y a dans les sol et l'air aussi pourquoi pas....ils aideront beaucoup aussi en cas de guerre nucléaire mondiale, mais à ce que je sache ils sont au stade d'hypothèse...

merci beaucoup pour vos réponses.
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[Flyingbike]

bonjour tout le monde.
que faisons nous pour réanimer quelqu'un en intoxication radioactive? on le laisse crever ou il est sauvable?

vous avez tout ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndro...adiation_aiguë

c'est une question de dose efficace, c'est à dire de l'effet du rayonnement sur les tissus, qui dépend du rayonnement lui même (énergie, flux) et de la sensibilité du tissu

j'ai du mal à imaginer les macrophage phagocyter un élément radioactif, la seule solution pour l'organisme pour survivre est les vomis, et pour ce qui passe au sang ou à travers la peau chaque macrophage devra avaler un ou plusieurs éléments radioactif et se suicider dans la voie intestinale pour sortir en "martyr" dans les fèces mais avec le mérite d'avoir nettoyer un peu des élément radioactif présent dans le corps...

Le problème n'est pas l'élément radioactif, c'est le rayonnement émis

L'effet délétère des rayonnements ionisants est essentiellement lié aux dommages à l'ADN. Même s'il existe des mécanismes endogènes de réparation, il existe un seuil au delà duquel les dommages sont irréparables

[f6bes]

que faisons nous pour réanimer quelqu'un en intoxication radioactive? on le laisse crever ou il est sauvable?.

Bjr à toi et par la meme occasion ..disons ..bonne année.
Tu sembles omnibulé par ce qui est .."radioactif" !! Ton précédent sujet à été clos avant d'éviter des dérives prévisibles.
Tu ressserts le couvert d'une autre façon !

Pour l'instant on ne sait PAS faire grand chose . Se rappeler de qq cas en Angleterre. La seule chose qu'on sache faire. c'est
" accompagner " le patient dans ses derniers moments( j'évite d'employer les mots.." laisser crever" ).
Bonne journée

Edit:@XH 150. la modération a demander d'etre...zen avec ce genre d'interlocuteur. Essayons.

[mh34]

bonjour tout le monde.
que faisons nous pour réanimer quelqu'un en intoxication radioactive? on le laisse crever ou il est sauvable?

http://www.inrs.fr/risques/rayonneme...-accident.html
Vous avez tout ici.
Si c'est le côté médical qui vous intéresse, précisez-le je transfèrerai ce fil ailleurs.

[A voir en vidéo sur Futura]

[minushabens]

L'idée d'enzymes cassant les noyaux ne paraît pas sérieuse, mais certains organismes (des bactéries, des invertébrés) sont très résistants aux radiations, donc il doit y avoir des mécanismes de résistance, dont je ne sais pas s'ils sont bien connus.

[ramzus2]

merci pour vos réponses c'est très gentil...oui c'est le coté médical qui m'intéresse...tu peux déplacer la discussion mh34...

[Flyingbike]

Ce sont des mécanismes de réparation plus que de résistance
Pour les extremes voir Deinococcus radiodurans