Bonjour à toutes et à tous !
Je me présente brièvement : Laurent, la trentaine trop bien entamée, habitant la région de Strasbourg.
Je me lance, ça fait quelques années désormais que je ressens une forte gêne au niveau des mollets lorsque je porte des pantalons.
Cette gêne se caractérise par des « éclairs » fugaces et localisés, comparables à des pics d’aiguilles ou à la sensation perçue lorsque l’on s’arrache un poil. Celle-ci se produit au simple contact du textile avec la peau, toujours au niveau des mollets. Par ailleurs, j’ai l’impression que mes mollets sont gonflés et prisonniers de ces pantalons que je portais pourtant sans aucune gêne par le passé. Le souci a commencé lors du déconfinement, lorsque nous avons tous été contraints de troquer nos confortables vêtements pour une tenue plus pro, plus strict.
Je ne ressens ces symptômes que dans l’après-midi, aucun souci dans la matinée. Evidemment, les symptômes sont décuplés en saison chaude comme celle qui approche à grand pas. Lorsque ces fameux éclairs se produisent, le phénomène persiste quelques minutes après avoir enlevé le pantalon lorsque que je caresse mes mollets. Clairement : pas de contact physique avec le mollet : pas de gêne. Je porte des shorts dès que je peux…
Au début, j’ai cédé à la facilité en portant des pantalons plus amples qui m’étaient forcément plus confortables mais dans lesquels je ne me plaisais pas du tout, (gros complexe au niveau des jambes) : un problème remplacé par un autre ! De plus, les symptômes ne disparaissent jamais complètement même avec des vêtements m’accordant plus de liberté.
Sportif « sans + » jusqu’ici, j’ai mis les bouchées doubles pensant que tout ceci était lié à un problème de poids. Stabilisé autour de 75kg pour 1,83m pendant plusieurs années, je suis descendu jusqu’à 68kg, pas la personne la plus épaisse donc. J’en suis même rendu à mesurer mes tours de mollets régulièrement : -3cm depuis le début de la gêne grâce aux sports d’endurance que je pratique (course à pied, longues randonnées et sorties à vélo). En bref, un net amaigrissement sur tout le corps mais pas le moindre bénéfice sur le ressenti une fois habillé. Je pense manger sainement.
J’ai consulté dans l’ordre un médecin généraliste, un angiologue (pas de problème de circulation), un neurologue (RAS à l’électromyogramme). J’ai également suivi plusieurs séances de pressothérapie chez mon kiné, en vain. J’ai pris des comprimés à base de vigne rouge, du Daflon en automédication… surélevé mon lit pour améliorer la circulation, rien de tout ça n’a provoqué le moindre changement.
Alors voilà, ça commence à me peser terriblement, j’ai une armoire remplie de vêtements que j’ai aimé et que j’aime toujours mais que je ne porte plus à cause de ce souci, ça commence sérieusement à me déprimer et j’en viens donc à vous écrire sur ce forum, près de 4 ans après le début des symptômes.
Mis à part ce problème (qui prend énormément de place) je me sens bien dans ma vie, j’ai vraiment besoin d’évacuer ce caillou de ma chaussure afin d’être pleinement épanoui. J’en rêve.
Un énorme merci à celles et ceux qui auront eu le courage de lire mon pavé et surtout, de me donner des pistes d’amélioration pour ne serait-ce que tenter d’aller un petit peu mieux
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Jusque là j'en ait fait "un peu", avec un certain niveau voir un niveau certain ( sur le 100 mètre en athlé en partie plus affirmée, un peu en amusement avec un ballon ovale ). Mon tour de mollet n'a pas bougé depuis 25 ans, je suis toujours à 38 cm, à 1 cm prés, et je ne fais vraiment plus rien depuis longtemps. Mais j'ai toujours eu les jambes affutés et "maigres" ou disons "sèches". J'ai aussi des os globalement fins, pour ma taille, un tour de poignet à 17 cm ( c'est un révélateur important de la morphologie ) et des chevilles à 22, ça fait partie des trucs immuables ( sauf obésité sévère ou rétention d'eau pathologique ). Je suis à la même taille de quoi ( presque ) à 181 cm. Sprinter affuté à 20 / 23 ans, j'étais à 83 / 85 kg, je suis à 95 kg maintenant en faisant un peu attention mais pas trop; hum. Mon IMC ne serait pas dans les canons "sveltesse" actuels, mais comme on dit maintenant j'ai "en même temps" un certain coffre haut de corps à porter. Trés affuté j'étais à 113 cm de tour de coffre, je suis passé à 115 / 116. Il faut bien caser les 12 kg de surpoids versus ma masse de jeunesse, chez moi ils renforcent l'estomac ( le muscle abdominal je veux dire 
) en grande partie. Chez certains, ça pourra prendre aussi de la cuisse et de la hanche etc......