Metaphore et poésie scientifique
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Metaphore et poésie scientifique



  1. #1
    invitefb8419fe

    Metaphore et poésie scientifique


    ------

    Bonjour,

    Je me suis mis à faire le chemin inverse. Normalement, en bon scientifique, on part de l'étrangeté du réel pour aller à sa modélisation mathématique.

    Je tente donc d'écrire le contraire sous forme de textes très courts : partir de ce que je comprends de la physique pour en remonter un texte poétique, métaphorique.

    Il y a beaucoup de forum d'écriture, mais les gens qui y trainent sont hermétiques à la physique, encore moins quantique. Alors si je veux un retour sur "l'intelligibilité" de ce que j'écris, il faut que je vienne ici.

    Je laisse le soin aux modérateurs de dégager mon post si cela n'est pas pertinent et n'a rien à faire ici.

    En voici 2, caractéristiques, en vous remerciant d'être sans détours :


    Interférence
    Je lis : « Le phénomène d'interférence ne se produit uniquement lors de la combinaison de deux ondes de même fréquence »

    Deux vagues jumelles se cognent et se fracassent pour faire ici un calme plat, un tsunami là-bas. Si je me croise au détour d’une boucle dans le carrefour du temps d’un moi présent avec celui que j’ai été, il est possible que je m’annule ou me double au hasard d’un demi-pas. Dans tous les autres temps, sans canon en stricte mesure, je serais flou dans les deux sens, décalé et brouillé, sans intuition pour lui du futur, ni pour moi repère du passé. Mes souvenirs marqués sont ma note au carré; mes dénis et mes troubles, les instants effacés par mon onde qui se rencontre en contre-pied.

    Le problème n’est plus l’autre, mais la démesure de son temps. A présent je crains l’alter ego, non plus dans l’affront de son existence, mais dans le possible accident en contretemps de sa présence, une moitié décalée trop ou pas assez de moi.

    Je pense : Schopenhauer avait raison de dire la providence des enfants sur des parents opposés. On se complète, on s’attire, de cette courbe qui nous permet d’être droits.

    -Koondera-

    Marcheur
    J’ai dans la tête une minuscule gouttelette, petite sphère d’un millimètre. Elle est fine, pure et transparente. Elle est comme suspendue au dessus de sa mère, son océan, et en dessous d’elle les cercles de son onde, c’est cette image de la goutte qui plouf, immobile dans le temps.

    Mais elle ne tombe pas, elle flotte, et le temps n’est pas au passé, il s’écoule en toute liberté. Elle est un « marcheur », nom de la science à son étrangeté, elle est onde et particule grâce à Faraday. Elle est dans sa petitesse l’unique monstre qui fait l’écho de ce qui est invisible ici bas, près des quanta : la masse et la courbe, les deux à la fois.

    Espiègle gouttelette qui rebondit en corpuscule et s’échappe en biais aux portes entrouvertes.
    Fière gouttelette qui s’en fiche qu’on la regarde ou pas, elle, car son spectacle est un mime, certainement une danse pour Monsieur Tesla.

    -Koondera-

    -----

  2. #2
    soliris

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Pas mal !

    J'ai lu "Interférence"; on dirait le scénario d'un film de fiction, à rebondissements !

  3. #3
    roro222

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Bonjour

    En plus brut de décoffrage

    Le trou noir
    Dans un trou noir, c'est cette force "musculaire sphintoriale" qu'on appelle "gravité" qui domine les autres forces. Donc, à l'intérieur, les lois physiques digestives y sont intestinalement différentes de l'extérieur.
    On ne peut que les supposer ou imaginer que par extrapolation de notre monde macroscopique le seul accessible.
    Quant à vérifier expérimentalement nos théories "suppositoires", comme elles doivent passer par le filtre coloscopique de cet anus cosmologiques, pour être vues et interprétées, elles pueront toujours la speudo-vérité.
    Notre univers englouti y restera à jamais caché dans ce ventre glouton de ce goinfre matiéro-spatio-temporel pour être expulsé dans une nauséabonde fosse septique située dans un obscur arrière-font de notre univers.
    Nos scientifiques savent t'il simplement que ces flatulences dites de "Hawking " n'est autre que ce qu'il nomment par pudeur "l'évaporation"
    Et pourtant, ils y en cherchent désespérément à s'y vautrer comme de vaillants coprophages en quête d'une nourriture intellectuelle.
    Le nombre d'imbéciles est incalculable,il y a de fortes probabilités que j'en suis

  4. #4
    Deedee81

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Salut,

    Citation Envoyé par LeDahu Voir le message
    Je laisse le soin aux modérateurs de dégager mon post si cela n'est pas pertinent et n'a rien à faire ici.
    C'est scientifique et.... très bizarre, donc ludique
    On va laisser au moins un peu histoire de voir ce que les autres peuvent en dire, sur le coté "validité scientifique".

    (mais attention, Futura n'est en effet pas un forum d'écriture, désolé si ça forme des mondes vraiment à part !!!!)
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    invitefb8419fe

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    oui, je comprends :

    "interférence" est basé sur l'explication de wikipedia

    "marcheur" est basé sur les études sur les gouttelettes d'huile de silicone qui acquièrent les propriétés onde/corpuscule quand la fréquence appliquée au support approche le seuil de Faraday
    https://www.refletsdelaphysique.fr/a...dp20075p20.pdf

  7. #6
    roro222

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Cher LeDahu, Toi qui est dans la métaphore et poésie scientifique, je ta propose ça:

    https://riri-linventeur.wixsite.com/...amille-fresnel

    Ou ça

    https://riri-linventeur.wixsite.com/...rds/le-village
    Le nombre d'imbéciles est incalculable,il y a de fortes probabilités que j'en suis

  8. #7
    extrazlove

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Voici un poème qui parle des points et leur ressemblance avec des points.

    Je suis un simple point qui pense être le point final.

    Un point multiples et en même temps seul.

    Je peux être dans un plan complexe ou simple.

    Quand je vois mes points multiples loin de moi.

    Je leur rappelle que nous somme un seul point.

    Chaque point loin de moi fait la même chose que moi.

    Et chaque point proche de moi rêve avec moi.

    Tout les points rappelle les points.

    Et il y a certains points qui suive des chemins imaginaires.

    Pour rappeler au point final qu il n'est pas seul.

    C'est grâce à ça que notre réalité bouge.

    Et vous vous êtes qui ?

  9. #8
    roro222

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Bonjour

    Quelques soucis avec les images sur le site donné en lien plus haut rapporté par quelques visiteurs.
    Mais je pense les avoirs rétablies au moins pour la page Fresnel
    Le nombre d'imbéciles est incalculable,il y a de fortes probabilités que j'en suis

  10. #9
    invitedf3b174e

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Bonsoir
    Tout un chacun doit avoir son poème :

    Le vide, il n’a rien du vide que le vide
    Il remplit tous les vides
    Il vide le vide pour mettre le vide
    Il est quantique et énergique
    Il n’est pas toujours vide le vide, ça fluctue dans le vide
    Le non vide est esclave du vide,
    Nous somme dedans, dans le vide

  11. #10
    extrazlove

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Voici une poème les humains petits et plus grand et l'univers.

    Des Humains petit et grand pourrait ils expliqués l'univers?

    Et si il y a des humains très grand très grand et nos nous sommetrès petits très petits.

    Vous avez vu un humain très grand plus grand que des univers.

    Ou un humain très petit plus petit qu une corde dans la théorie M.


    Lesplusgrands des humains marche comme une galaxie ou une amas de galaxies ou l'expansion de l'univers.

    et les plus petits court vite comme
    unélectron ou un photon ou une corde.

    Dans la terre bleu les plus grands ne marche pas sur la terre bleu comme l'expansion de l'univers.

    Et les plus petits court vite le rejoindre comme une corde dans la théorie M.

    C'est Grâce a ça que des humains moyen sont nés sur la terre bleu.
    
    Et ils ne voient même pas que il y a des humains grand et petit dans leur espace.

  12. #11
    roro222

    Re : Metaphore et poésie scientifique

    Discussion à la cafette entre physiciens

    Objet : Nouvelle particule (copine à Jojo) à inscrire au tableau périodique de Joëldeleïv


    En l'état de l'avancement sur la théorie descriptive de cette particule récemment découverte, toutes supputations sont réfutable.
    Néanmoins, au C14, on peut dire que la désintégration n'a pas eu lieu durant les 1450656000 dernières secondes
    L'aptitude à la préparation nutrimentielle joelifère est inconnue à ce jour.
    La double boursouflure "culseins" semble équilibrée, mais vue les températures plutôt basses de saison, des couches isolantes perturbent la mise en évidence
    Le microprocesseur Intel génère pas mal d'opérations par seconde, mais la pertinence de l'algorithme reste à définir.
    Le produit semble local, quant à la stabilité, une étude sur la longueur est nécessaire.
    Des sous-éléments ont bien été générés, mais je n'ai pas connaissance de leur polarité et de leur moment d'émission.
    Aucune information sur les intrications passées, par contre pour le vecteur de déplacement dans l'espace, aucune force intrinsèque n'est disponible dans l'immédiat, donc elle est soumise aux champs vectoriel joélifère
    Pour l'acquisition des longueurs d'onde entre 0,4 et 0,6 nanomètre, vient s'intercaler un filtre de nature cristalline qui converge ou diverge (à définir ultérieurement)
    Dans un référentiel gravitationnel terrestre, j'estime sa force à une 60ène de newtons m·s-2.
    Peut-être qu' en excitant successivement les couches externes Jojo l'expérimentateur pourra définir la colonne du tableau à laquelle appartient cet élément.
    Je pencherais pour un élément alcâlin.
    Le nombre d'imbéciles est incalculable,il y a de fortes probabilités que j'en suis

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