Salut, j'ai trouvé un article très intéressant concernant un projet de google La Self Driving Car vous en pensez quoi de ce système de voiture sans chauffeur ?
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Salut, j'ai trouvé un article très intéressant concernant un projet de google La Self Driving Car vous en pensez quoi de ce système de voiture sans chauffeur ?
J'en pense que cela a déjà été traité plusieurs fois dans les actualités de FS :
http://www.futura-sciences.com/fr/ne...-google_35543/
http://www.futura-sciences.com/fr/ne...pietons_38523/
http://www.futura-sciences.com/fr/ne...ducteur_25523/
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Bonjour,
Dans votre lien
L’assurance, car il y a longtemps que le conducteur n'est pas responsable sauf si il n'a pas de permis, est alcoolisé ou n'a pas respecter le code de la route ce que ne feras surement pas ce robot.Mais on se pose une petite question ! En cas d’accident qui sera responsable l’ordinateur ou le passager ?
Euh si une personne est blessée voire tuée et qu'il y a procès, vous pouvez toujours esssayer d'envoyer votre assureur sur le banc des accusés à votre place, il y a peu de chances qu'il accepte...
Sur ce point, c'est très simple car le code de la route est clair :" le conducteur doit tout le temps être maître de son véhicule". C'est un principe mais la loi dit grosso modo la même chose. Vous choisissez de mettre votre vie et celle des autres entre les "mains" d'un ordi, ça ne vous interdit pas de surveiller ce qu'il se passe.
Même si on verra arriver la même chose qu'au début des super pilotes automatiques dans les avions avec ce qu'on a appelé "le syndrome de Superman".
Bonjour kamor,
Pourriez vous trouvez un exemple de procès dans la cas d'un accident sans drogue ni alcool et avec respect du code de la route
Le cas ou le conducteur somnole ou s'endort pouvant être comparé a une panne du robot ou un bug logiciel.
De toute façon dans le cas ou c'est un défaut dans la conception du véhicule comme c'est déjà arrivé, c'est le constructeur qui engage sa responsabilité.
Dans ce cas ce serait google.
Ou dans le cas de pièces défaillantes.De toute façon dans le cas ou c'est un défaut dans la conception du véhicule comme c'est déjà arrivé, c'est le constructeur qui engage sa responsabilité.
Dans ce cas ce serait google.
Bonsoir à toutes et à tous,
Du point de vue assuranciel, la conduite automatique des véhicules REDUIT le risque global, et donc le coût des accidents pour la collectivité.
Dans ces conditions, nul doute que les assureurs sauront trouver des contrats - ou des clauses - adaptées au cas de panne du robot de conduite.
Amitiés,
Jean
Combien coûterait une telle voiture alors?
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Elle n'est pas encore commercialisée au Etats-Unis.
Bien d'accord, mais je me demande juste combien pourrait coûter en plus une telle technologie. Car il faut calculer non seulement le coût du système à bord, mais aussi toute l'infrastructure sur les routes. Qui va les payer?
Je ne suis pas convaincu que cela se développera beaucoup. Sauf peut être dans certains environnements privés.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour evrardo, Bonjour à toutes et à tous,
D'un point de vue technologique, à mon sens, le coût tend vers ... zéro ! En effet, les véhicules actuels sont de plus en plus bardés de capteurs en tous genres et d'une électronique de bord qui n'a plus rien à envier à un ordinateur de bureau. Il s'agit donc presque uniquement de développer du "soft".
En plus, la conduite automatique est par définition plus sûre et plus économe en carburant et ... en tout. Je prends un exemple. Je veux faire Paris-Nice et je rentre sur le "Périph" de Paris, disons Porte de Champerret. Ma voiture cherche dans le trafic des véhicules "direction Nice" sur leur propre GPS, et mon véhicule se trouve dans un "train" de 8-12 véhicules qui vont aussi à Nice. Les systèmes se connectent, et nos 10 véhicules se succèdent à 80 km/h à 2 m les uns des autres, puis rentrent sur l'autoroute Porte d'Orléans, et en avant pour Nice à 130 km/h. Comme mon véhicule est le 3e du "train", il économise au moins 30 % de son énergie en restant "dans la traînée" du premier véhicule - surtout si les véhicules sont "designés" pour cela. Mon "train" gère sa position par rapport aux autres "trains" pour éviter la conduite en "accordéon", donc la plupart des bouchons et des accidents. Nous passons les péages par télépéage, et arrivé à Nice, le "premier de train", qui a consommé 100 % d'énergie motrice a droit à un paiement par chaque "wagon". Si j'ai voulu un trajet plus "économique", j'ai choisi un "train" qui évolue à 110 km/h ...
Je ne pense pas être dans la SF, c'est juste à mon avis une extrapolation un peu poussée - et très schématisée - des technologies actuelles des véhicules de haut de gamme et de la "google car". Il me semble que la transition se fera "petit à petit", comme toujours dans le monde de l'automobile.
Amitiés,
Jean
Re-,
Ca ne peut marcher qu'à infrastructure inchangée, c'est d'ailleurs ainsi que Google a raisonné ...Bien d'accord, mais je me demande juste combien pourrait coûter en plus une telle technologie. Car il faut calculer non seulement le coût du système à bord, mais aussi toute l'infrastructure sur les routes. Qui va les payer?
Je ne suis pas convaincu que cela se développera beaucoup. Sauf peut être dans certains environnements privés.
Amitiés,
Jean
Ha bon. Zut, moi qui croyais qu'un simple capteur opto coûtait plus de 100€.D'un point de vue technologique, à mon sens, le coût tend vers ... zéro ! En effet, les véhicules actuels sont de plus en plus bardés de capteurs en tous genres et d'une électronique de bord qui n'a plus rien à envier à un ordinateur de bureau. Il s'agit donc presque uniquement de développer du "soft".
Re-,
Certes, Aurélien, mais les radars anticollisions et autres systèmes de créneau automatiques se multiplient ... Donc les vénicules ont déjà de plus en plus de capteurs ... et un ordinateur de bord de plus en plus développé. Tout cela se fait à coût constant depuis 50 ans. Le prix d'un véhicule n'a quasiment pas bougé par rapport au niveau de vie des gens. Mais il suffit de comparer (par exemple) une Traction 15 Six de 1950 et une 508 hybrid actuelle (je prends volontairement des véhicules de gamme comparable) pour être édifié sur leur évolution ! Il y a infiniment moins d'écart entre la 508 hybrid et la Google Car qu'avec la Tractino ...
Amitiés,
Jean
Tu t'égares. La question n'est pas de savoir où il y a moins d'écart. La question est de savoir combien coûterait un modèle X avec le système de conduite autonome en plus par rapport au modèle X sans la conduite autonome. Et là nous somme bien loin du zéro.
Je tablerais sur une coût de +10k € dans ses débuts, puis sur la durée un prix qui viendra se stabiliser aux alentours de 3k€.
Bonjour aurélienbis, Re-,
Je ne pense pas m'égarer ! ... L'industrie automobile a fait beaucoup mieux depuis 50 ans. Entre un modèle disons "en début de vie" et un modèle "en fin de vie", il y a des tas d'améliorations technologiques lourdes qui sont intégrées - à gamme et prix égaux. En général, ça passe par l'application de normes - qui annulent le risuqe concurrentiel. Par exemple, les ceintures de sécurité à enrouleurs, puis les ceintures AR, puis les airbags, puis les prétensionneurs. Pour la conduite auto, au moins aussi importante aujourd'hui en matière de sécurité et d'économies d'énergie que la ceinture de sécuriété en son temps, ça ira sans doute assez vite lorsque les tehcnologies seront "mûres", et elles "mûrissent" à grande vitesse !
Amitiés,
JEan
Re-,
Pour répondre plus précisément à la question, le système de conduite auto sera d'abord proposé en option payante sur les véhicules haut de gamme (ça commence déjà), puis sera généralisé sur tous les véhicules en série, et les BE vont cravacher pour trouver des économies. C'a a été le cas pour les exemples déjà cités, l'ABS, l'ESP, la direction assistée, la clim, la dépollution, et de multiples innovations, souvent invisibles d'ailleurs (anticorrosion des caisses, résistance aux chocs, normes de résistance de l'habitacle, ...).
Amitiés,
Jean
C'est passionnant tout ça.
Au niveau du prix, le calcul est vite fait: si on fait une économie de 30% sur la consommation habituelle, un commercial qui dépense 300 €/mois d'essence, cela lui fait près de 100 € d'économie par mois. 1200 € en un an. C'est vite amorti.
Il ne faut pas oublier aussi qu'une technologie qui se démocratise permet une multiplication de la production, donc une diminution des prix.
Cela peut aller assez vite effectivement.
Et même devenir obligatoire, si le nombre d'accidents diminue spectaculairement par exemple.
A suivre de près!
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour à vous,En plus, la conduite automatique est par définition plus sûre et plus économe en carburant et ... en tout. Je prends un exemple. Je veux faire Paris-Nice et je rentre sur le "Périph" de Paris, disons Porte de Champerret. Ma voiture cherche dans le trafic des véhicules "direction Nice" sur leur propre GPS, et mon véhicule se trouve dans un "train" de 8-12 véhicules qui vont aussi à Nice. Les systèmes se connectent, et nos 10 véhicules se succèdent à 80 km/h à 2 m les uns des autres, puis rentrent sur l'autoroute Porte d'Orléans, et en avant pour Nice à 130 km/h. Comme mon véhicule est le 3e du "train", il économise au moins 30 % de son énergie en restant "dans la traînée" du premier véhicule - surtout si les véhicules sont "designés" pour cela. Mon "train" gère sa position par rapport aux autres "trains" pour éviter la conduite en "accordéon", donc la plupart des bouchons et des accidents.
J'ai vu souvent ce genre de chose depuis longtemps dans la presse de vulgarisation et cela m'a toujours fait sourire.
On suppose que l'électronique sera capable de mieux gérer les distances que des conducteurs humains, les contraintes de freinage et d'accélération sont liées aux véhicules, et l'électronique ne les changera pas.
Il y a deux plus dan la conduite automatique,
1 - c'est la communication immédiate de l'information entre les extrémités du train, mais qu'arrivera si un pneu éclate, un animal traverse la route, ou un véhicule voisin vient gêner la file ? Il faut absolument une distance de sécurité suffisante pour que les véhicules ne fassent pas tous un carambolage monstrueux.
2 - Le temps de réaction permet de gagner 1/2 seconde à une seconde. La distance de sécurité recommandée est de 2 secondes pour un conducteur humain. Elle pourrait être réduite au mieux à une seconde avec des automatismes performants.
Je pense que l'on évitera jamais une certaine autonomie de comportement pour chaque véhicule afin qu'il puisse réagir rapidement à un imprévu le concernant, et il faudra donc garder des marges de manoeuvre.
Comprendre c'est être capable de faire.
Bonsoir phys4, Bonsoir à toutes et à tous,
Je suis plus ou moins d'accord ... Il est vrai que j'ai "poussé" au maximum la notion de conduite automatique, et il est vrai aussi que cette approche a longtemps balbutié (voir programme "Prometheus" dans les années 1980).
Toutefois, aujourd'hui, quelque chose de fondamental a changé, c'est l'informatisation croissante des vénicules, et donc leur capacité à prévoir leurs pannes, et à détecter d'éventuels obstacles. La notion d'obstacle imprévu par exemple est manifestement gérée par le système de Google, que je ne connais pas toutefois en détail. L'optimisation des traînées par "train", en particulier pour les camions, est déjà présente dans les dernières générations de "cruise control", qui surveille - voire régule - la distance avec le véhicule précédent. En outre, dans ces conditions, il ne faut pas considérer le "temps de réaction" du conducteur, mais celui du véhicule, "nourri" par les informations prélevées en temps réel bien au-devant du véhicule lui-même, donc plusieurs fractions de secondes, voire plusieurs secondes avant que le conducteur ait pu lui-même réagir.
Ce qui m'amène à projeter ce genre d'idées, c'est l'examen des véhicules existant actuellement - et des projets que je connais -, qui n'ont absolument aucun rapport avec ceux qui existaient ne serait-ce qu'en 1990, et les progrès phénoménaux des technologies de l'information, là aussi inimaginables en 1990.
Pour illustrer un des exemples pris par Phys4, un pneu moderne n'éclate pas ... sauf s'il est sous-gonflé. Il est donc clair qu'une conduite automatique nécessite une surveillance de la pression des pneus en temps réel (équipement aujourd'hui quasi-standard) et une alarme de décrochage demandant la reprise des commandes en manuel, à défaut de quoi le véhicule s'arrête tout seul en condition de sécurité. Un pneu moderne destiné à la conduite automatique doit aussi être "increvable", i.e. capable de rouler "en sécurité" assez longtemps pour que le contrôle manuel puisse être repris (également quasi-standard). Il restera certainement toujours des cas d'accident, mais par exemple, les carambolages actuels peuvent aisément être quasi-supprimés avec la généralisation de technologies qui existent aujourd'hui (cruise-control déclenchant le freinage dès que la distance diminue) et rendus quasi-impossibles en "allant chercher" l'information sur les véhicules qui sont à 500 m devant chaque véhicule.
J'ajoute que ces évoutions seront rendues plus faciles par le développement du parc de véhicules électriques ou hybrides, ou "à faible consommation", qui marquent un pas énorme dans l'informatisation. Un actuel véhicule hybride est aujourd'hui dantesque de ce point de vue (Prius, 3008, 508, ...). La gestion manuelle par le conducteur des deux motorisations (électrique / thermique) simultanées est parfaitement impossible ...
En gros et pour conclure, je dirai que la conduite automatique est aujourd'hui à un point d'inflexion : elle était impossible dans la mesure où certaines technologies n'existaient pas. De même, en aviation, il a longtemps été impossible de faire voler un avion "instable" (par exemple centre de poussée situé "derrière" le centre de traînée) jusqu'à la conjugaison des commandes de vol électrique et des systèmes de stabilisation informatisés. Dans un autre domaine, c'est cette gestion de l'instabilité en vol qui donne (entre autres) leur agilité redoutable aux missiles français antiaériens et antimissiles "Aster", par exemple.
Voili, voilou, j'ai répondu un peu "à la volée" à la question posée, mais il est intéressant de creuser. A l'occasion, je me documenterai un peu plus pour me mettre à jour moi-même (pas en lisant une revue de vulgarisation )
Amitiés,
Jean
Re-,
Quelques points plus précis ...
L'électronique change quand même bien des choses : avec l'ABS, le conducteur du dimanche freine presque aussi bien que Fangio ! - je prends à dessein un pilote de notre génération, Phys4
Le gain est en fait plus important. On compte le temps de réaction de l'homme + celui de son véhicule (entre commande et action des freins). Avec un automatisme sur tout le train réagissant à l'information de l'un des véhicules, les actions sur tous les véhicules démarrent en même temps, et tous les véhicules commencent à freiner dans le même centième de seconde. Si on a pris soin de "normaliser" les performances des freins, les décélérations sont coordonnées et ajustées en temps réel. C'est un "ABS collectif". Je "rêve" à peine ...Il y a deux plus dan la conduite automatique,
1 - c'est la communication immédiate de l'information entre les extrémités du train, mais qu'arrivera si un pneu éclate, un animal traverse la route, ou un véhicule voisin vient gêner la file ? Il faut absolument une distance de sécurité suffisante pour que les véhicules ne fassent pas tous un carambolage monstrueux.
2 - Le temps de réaction permet de gagner 1/2 seconde à une seconde. La distance de sécurité recommandée est de 2 secondes pour un conducteur humain. Elle pourrait être réduite au mieux à une seconde avec des automatismes performants.
C'est d'ailleurs une coordination du même genre, mais en accélération + freinage qui permet de "fluidifier" le trafic et d'éviter les circulations en "accordéon".
Oui, certes. De même que la reprise de la conduite en "manuel" ...
Amitiés,
Jean
Et puis dans l'économie il faut compter celle du permis de conduire puisque ce n'est plus le conducteur qui conduit mais un ordinateur . Tant pis pour les moniteurs d'auto-école et les inspecteurs et plus les problèmes de temps d'attente.
cela a déjà été dit mais bonjour pour la recherche des responsabilités on a déjà connu cela juste avec le système d'accélération bloqué de certaines voitures alors là si c'est toute la voiture qui s'y met.
En plus les personnes âgées vont pouvoir rester autonomes plus longtemps en pouvant continuer à se déplacer.
Plus de permis à quel âge pourra t on donc monter seul à bord de son véhicule ?
Et pour rentrer bourrés de boite de nuit ou d'ailleurs c'est le pied !
Dernière modification par arbanais83 ; 10/09/2012 à 18h32.
Bonsoir Jean.
Je suis nettement moins pour cette option, cela revient à redonner la main à l'humain en urgence quand la situation est la plus critique alors que celui-ci est en train de passer son coup de fil ou s'amuser avec sa copine dans la caisse.
Et de ce fait lui refiler la responsabilité du merdier.
Or pour moi le gros avantage de ce système c'est de pouvoir faire dans ma voiture tout autre chose que de la conduite. mon chauffeur " ordinateur" s'occupant de la responsabilité de gérer au même titre que le chauffeur de taxi qui perdra lui aussi probablement sa place.
Bonsoir Arbanais, Re-,
Ben oui, mais il y en a pour des années avant que tous les véhicules disposent du pilotage automatique. Et il y aura toujours des endroits "non gérables" par le pilote automatique. Même chose, en cas de panne technique, il faut "un pilote qualifié" pour reprendre le manche (comme dans un avion de ligne actuel, où le pilolte n'a rien à faire 98 % du temps ...).Bonsoir Jean.
Je suis nettement moins pour cette option, cela revient à redonner la main à l'humain en urgence quand la situation est la plus critique alors que celui-ci est en train de passer son coup de fil ou s'amuser avec sa copine dans la caisse.
Et de ce fait lui refiler la responsabilité du merdier.
Or pour moi le gros avantage de ce système c'est de pouvoir faire dans ma voiture tout autre chose que de la conduite. mon chauffeur " ordinateur" s'occupant de la responsabilité de gérer au même titre que le chauffeur de taxi qui perdra lui aussi probablement sa place.
Donc, il faudra toujolurs un "permis de conduire" dans un avenir prévisible, et "celui qui ne boit pas" pour les gens de ton âge (au mien, ce n'est plus un vrai problème ! )
Amitiés,
Jean
C'est dommage pour moi l'avantage principal résidait dans le fait de pouvoir faire tout autre chose dans la voiture.
Plus besoin de volant de levier de vitesse et pédale quelconque. La voiture en somme une extension du bureau ou de la maison dégagé de la responsabilité du déplacement.
Si ce n'est pas le cas et que je doive encore passer des heures au volant juste au cas ou, je pense que c'est vraiment contre productif et comment maintenir une attention de tout les instants pour un éventuel moment d'intervention ?
A mon avis l'esprit humain n'est pas capable de le faire dans un temps très bref.
C'est pour cela que je pense que ce devra être tout ou rien pour éviter ce genre de situation.
Autrement cela ne règle aucune des situations envisagées dans mon post plus haut Ni l'alcool au volant, ni la fatigue au volant, ni le manque d'attention.
Dans un avion c'est un peu différent l'urgence est plus relative et le temps de réaction n'est pas de quelques dixièmes de seconde pour éviter un obstacle.
Le délais pour résoudre l'urgence me semble plus longs en avion qu'en voiture.
Salut Jean, merci pour ton travail de recherche et d'analyse, c'est très intéressant, sans sensationnalisme.
Ce qui est intéressant ce sont toutes les conséquences que ça amènera: il n'y aura plus de radars, il faudra avoir un code pour pouvoir emprunter certaines voies, sinon le véhicule ne pourra pas s'y engager.
Le maillon faible de tout cela est bien sûr l'informatique: une panne, un virus qui se propage dans le système et cela causera des catastrophes.
Affaire à suivre de près...
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour,
Pour le problème du permis il suffira de modifier l'infrastructure routière pour créer des itinéraires balisés et des procédure de maintenance : écarter un véhicule buggué et répartir ses passager dans les autres véhicules du train.
Une sorte de tram public/privé.
Une autre idée serait de faire passer au robot des permis de circulation en itinéraires non balisés spécifique à l'utilisateur sans permis.
ça ferait progresser les robots puisqu'on achèterait ces voitures que si elles savent aller toute seule où on va le plus souvent.
On pourrait dans les cas difficile les faire entrainer par un conducteur avec permis avant qu'elle passe l'examen
Les autoécoles on encore du travail
Bonjour Eaupure, Evrardo, Arbanais, Bonjour à toutes et à tous,
Heu ! Là, vous rentrez dans le "cahier des charges détaillé" des choses ... C'est très difficile, car il faut être au fait de l'avancement de ces projets dans les BE (je n'en ai qu'une vision très partielle) et avoir une compétence pointue sur le sujet (elle est répartie au moins sur des centaines d'ingénieurs et de projeteurs).
En outre, le changement de fonctionnement des automobiles se fait progressivement, au gré de la durée de vie des véhicules (disons 10 ans). Pour en avoir une vision concrète, il faut faire l'effort (si on a une soixantaine d'années) de se souvenir du "truc" qu'on conduisait il y a 40 ans, et dans quelles condition (illustres "routes à trois voies", par exemple). Si on a 20 ou 30 ans, eh bien il faut avoir eu - ou trouver - l'occasion de conduire, allez, une R8 ou une Simca 1000 ...
Nous sommes lancés aujourd'hui dans la "décarbonation" du transport automobile. Prius, 3008 et 508 sont des précurseurs. Les protos Merco actuels, très proches de la production en série, vont beaucoup plus loin (chaîne de puissance "Pile à combustible hydrogène / Batteries / Moteurs électriques" mais aussi véhicule allégé de 30 % de son poids environ (voir par ailleurs 208 vs 207, première "diminution de poids" depuis la ... 104 !).
Pour que ça marche, il faudra évidemment beaucoup d'hydrogène ... Pour ça, je fais confiance au Kanzler ou à la Kanzlerin qui financeront/trouveront une solution viable (c'est un problème de choix politique). Il y a d'autres solutions en concurrence, mais j'ai tendance à penser que celle-là au moins "fera des petits".
La "conduite automatique" trouvera place naturellement dans tous ces bouleversements, d'autant plus que c'est sans doute la seule façon de faire encore baisser sensiblement le nombre des tués (et surtout des blessés graves) sur la route (en 1973, il y avait environ 17 000 morts par an sur la route en France, avec un trafic qui devait être 30 % du trafic actuel).
Amitiés,
Jean