Voilà une idée qui pourrait constituer un lien intéressant entre physique quantique et relativité.
Les particules sont intriquées par un lien qui, dans un espace à quatre dimensions, s’interprète comme un trou de ver. Julian Sonner, de l’Institut de technologie du Massachusetts (MIT), aux États-Unis, est arrivé à la même conclusion. Pour étudier ce scénario, les trois physiciens ont utilisé le principe holographique, un outil développé par J. Maldacena qui permet d’établir des équivalences entre des problèmes formulés dans des espaces ayant des nombres de dimensions différents. Par exemple, comme pour un hologramme optique, l’information contenue dans un support à deux dimensions permet de décrire un objet à trois dimensions. Avec ces outils, les physiciens ont montré que l’intrication dans l’espace à trois dimensions serait équivalente à un trou de ver dans un espace à quatre dimensions.
Cordialement
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