OuiPour dadykass qui demande des preuves
1 es tu au moins d'accord que la planète se réchauffe ?
Oui2 es tu d'accord que si un corps quelconque perd moins de chaleur qu'il n'en gagne, alors il se réchauffe?
Non3 sais tu que les satellites méteo mesurent le profil de température de l'atmosphère (cad la variation de température avec l'altitude) ?
Non4 sais tu que tous les jours a midi TU et minuit TU, on effectue environ 600 radiosondages de ce même profil de températures au moyen de ballons sondes ?
Non5 Sais tu que l'accord entre ces deux méthodes est excellent et a permis une amélioration considérable de la prévision météo?
Non6 Sais tu que c'est exactement la même théorie qui permet ces sondages depuis satellite et qui permet de calculer l'effet de serre et son augmentation ?
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Nous sommes sur une planète bleue dont la caractéristique première est la présence d’un océan responsable de 70% du stockage énergétique d’origine solaire ?
*La masse océanique terrestre correspond à 300 fois la masse de l’atmosphère et, sa capacité de stockage thermique représente 1000 fois celle de l’atmosphère ?
*L’océan joue donc le rôle de régulateur thermique de la planète puisqu’ il possède une plus grande inertie thermique que l’atmosphère ?
*Notre planète, étant donné la présence de l’océan, possède une atmosphère riche en vapeur d’eau et donc une nébulosité variable. La vapeur d’eau atmosphérique, le principal gaz à effet de serre, intervient majoritairement dans l’équilibre radiatif de la Terre, en absorbant le rayonnement infrarouge entrant (solaire) et sortant réémis à la surface de la planète.
Notre soleil est une étoile variable 30 000 fois plus grosse que la Terre.
Le cœur de la masse solaire est responsable de 98 % de la production d’énergie produite à la base par de la fusion nucléaire.
*Elle se produit sous forme de radiations electromagnétiques (des photons gamma), là où la densité et la température de l’astre sont les plus élevées. Les photons créés dans cet environnement à très haute densité, interagissent de façon répétée avec les particules du plasma solaire, leur transfèrant de l’énergie.
*Ainsi, ces photons perdent de l’énergie et augmentent leur longueur d’onde, atteignant sous forme de lumière visible la photosphère, et s’échappent dans l’espace interplanétaire.
Une augmentation du taux de fusion (confinement) fera monter la température et le cœur se dilatera. Une expansion du noyau réduira sa densité et freinera la vitesse de réaction de fusion. Donc quand le soleil se dilate, l’énergie lumineuse et particulaire émise par l’astre diminuera et son intensité lumineuse baissera. A l’inverse, lorsque le soleil se contracte, il émettra plus de lumière et donc, d’énergie vers l’espace et la Terre.
En période active, un vent solaire puissant, formé par du plasma peut amener beaucoup d’énergie en surface de l’océan.
L’intensité mesurée des rayons UV aux latitudes inférieures à 50° nord et sud a globalement augmenté de 15 % entre 1996 et 2020, mais beaucoup plus au-dessus du pôle Sud, témoignant d’une augmentation progressive de l’énergie solaire émise depuis un quart de siècle.
Lors de phases actives du soleil, le rayonnement UV modérément énergétique est donc absorbé par l’océan intertropical induisant un échauffement, efficace sur quelques dizaines de mètres et, par conséquent une complémentation de l’évaporation superficielle directe, via la chaleur latente cumulée, le transfert thermique de l’océan vers la troposphère, voire la basse stratosphère.
Selon l’étude de Robert Leamon de l’Université du Maryland-Baltimore et Daniel Marsh du NCAR.
L’apparition/disparition de taches sur le Soleil sont les signes visibles de la variabilité solaire observées par l’homme depuis des centaines d’années.
La croissance et la diminution du nombre de taches solaires se produisent sur des cycles d’environ 11 ans, mais ces cycles n’ont pas de début ni de fin réguliers. Des chercheurs se sont appuyés sur une « horloge » mesurant l’activité solaire sur une période de 22 ans.
Selon l'études, le cycle commence lorsque les bandes magnétiques de charge opposée qui enveloppent le Soleil apparaissent près des latitudes polaires de l’étoile.
Au cours du cycle, ces bandes migrent vers l’équateur, provoquant l’apparition de taches solaires lorsqu’elles traversent les latitudes moyennes.
Le cycle se termine lorsque les groupes se rencontrent au milieu, s’annihilant mutuellement dans ce que l’équipe de recherche appelle un événement terminal.
Ces « terminators » fournissent des repères précis pour la fin d’un cycle et le début du suivant.
Les chercheurs ont forcé ces événements de terminaison sur les températures de surface de la mer du Pacifique tropical remontant à 1960. Ils ont constaté que les cinq événements de terminaison qui se sont produits au cours de cette période (1960 et 2010-11) coïncidaient tous avec le passage d’El Niño (lorsque les températures de surface de la mer sont plus chaudes que la moyenne) à la La Niña (lorsque les températures de surface de la mer sont plus fraîches que la moyenne).
La fin du cycle solaire le plus récent décembre 2019 coïncide également avec le début d’un événement La Niña ce qui porte à croire que l'hiver 2030/2031 on constateront une baisse des températures mondiale.
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