Bonjour,
Petite question : avez-vous mis les photos des quatre faces de la pierre ? Ce serait pas mal de les voir les unes à côté des autres.
Je maintiens l'hypothèse d'un seuil en partie enterré (les dimensions me paraissant bien compatibles). La face plus lisse correspondant à l'usure due à la surmarche et les agents extérieurs. Les autres faces ont été laissées brutes de débitage car non visibles.
Les couleurs noire et rouge montrent que la pierre a fortement chauffé d'un côté (incendie ?).
En remploi, le bloc a très probablement servi de borne-limite de quelque chose.
Enfin, le 23 n'est qu'un jeu naturel des cassures. Vous pensez bien que si on avait voulu mettre une inscription, on aurait préparé soigneusement la surface, on l'aurait centrée et surtout, elle serait gravée en creux dans la pierre, alors que là le pseudo 23 n'est que le fruit d'un alignement d'arêtes de cassures.
Cordialement
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C'est vrai que sur ces questions d'un 1er usage, d'un réemploi ultérieur, et sa position verticale enterrée, il y a de quoi s'arracher quelques cheveux !







) au sol et on ne devrait la retrouver que par une étude microscopique dissociant les poussières de roches, les matières organiques et autres constituant d'un sol de terre mais visuellement (oeil) on ne voit pas de cendre et globalement cela ne va pas intéresser l'archéologue qui s'intéressera plus facilement au charbon de bois (même origine mais mieux interprétable). En partant du principe que l'on sait qu'il y a eu un incendie, le morceau de charbon de bois sera mis de côté pour études : bois d'oeuvre, bois d'ameublement, bois local, bois exotique alors que la cendre ne sera pas spécialement recherchée (= pas ou peu d'informations récoltables).