Derrières ces mots, il y a une assise empirique cooroborée par (toutes?) les approches cliniques: autant psychanalytiques que cognitivistes. Il faut bien qualifier diffremment quelqu'un qui a des hallucinations et quelqu'un qui n'en a pas...par exemple. Et ce ne sont pas des notions rigides mais plutôt des "champs".Envoyé par Gamma
Par SMS ? Si cela se limite au 15-25 ans... Si l'on questionne un individu laché dans la nature, comme être sûr de ce que l'on mesure en retour ? Et s'il faut choisir des questions dont les réponses ne seront pas influencées par ce qu'il vit, quelle réalité humaine va-t-on observer ? Un petit morceau, sans doute. Mais pas plus. Quant au parallèle avec la cure analytique, tu confonds étude et intervention thérapeutique.Envoyé par Gamma
Les outils des sciences dures peuvent être appliqués à n'importe quoi, y compris à la poésie et à l'art... tant que cette représentation ne se substitue pas à la réalité et à sa part sensible, pas de problème.Envoyé par Gamma
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