on m'a reproché :
- De ne pas faire de prédiction pour fonder le concept d'Azur.
- De ne pas proposer une formulation mathématique.
Sur le premier point, j'ai predit que les grands accelérateurs de particules et en particulier le LHC du CERN seraient confrontés à des phénomènes liées aux propriétés de l'Azur au fur et à mesure que les expèriences impliqueront des énergies de plus en plus énormes et un "vide" supposé parfait.
Sur le deuxième point, pourquoi des théoritiens ne travailleraient pas sur un modèle d'espace complexe comme celui des supercordes mais susceptible d'interpréter (pourquoi pas par l'Azur) les phénomènes d'intrications, voir l'effet Casimir...
tant que les théories n'interpretrons pas ces phénomènes la question reste posé et le doute reste une attitude scientifique.
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