Le titre est trompeur… Je ne souhaite pas avancé la thèse selon laquelle la vitesse de la lumière n’est pas immuable, en tout cas, pas dès le début… J’ai lu le livre de Joâo Magueijo, malgré le fait qu’il est abordable, je suis rester un peu sur ma faim.
Non non, il est question d’une autre lecture (il me semble) ou bien d’une conclusion à laquelle je suis arrivé par moi-même (si elle est juste, pas mal pour un débutant…). Cette idée stipule deux choses :
- il existe pour l’Univers - globale ou locale (notre galaxie par exemple) - une courbure moyenne dans laquelle une grande partie de l’Univers adopte cette courbure moyenne. Reformulé : l’Univers aurait une courbure en fonction du nombre de particules qu’il contient. Au moment du Big bang, à ce que j’ai compris, il était très contracté et donc très dense, la courbure devait être je suppose très importante (corrigez moi svp : une question comme ça, peut-il être courber sans qu’il n’y ait de particules, mais juste une forte densité), et / ou au moment de son refroidissement, où les particules se sont formées, et là se serait formée une limite pour la courbure du continuum… D’ailleurs, autre question : le nombre de particules en cet instant n’évolue-t-il pas encore ? La courbure moyenne serait donc celle qui a lieu dans les lieux les moins gravitationnelles (ou il n’y a pas beaucoup de matière), non ? (enfin, si cela existe…)
- Si il y’a courbure moyenne, alors se peut-il que le photon adopte la courbure minimal sur celle-ci ? Le photon n’ayant (presque ?) pas de masse, il doit alors être la particule qui courbe le moins l’espace-temps : non ?
Merci de bien vouloir me corriger… Je ne vais pas alourdir ce premier message, surtout que ces présupposés ne sont peut-être même pas correct.
Cordialement.
-----