paradoxe des jumeaux - Page 2
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paradoxe des jumeaux



  1. #31
    invite6c093f92

    Re : paradoxe des jumeaux


    ------

    Citation Envoyé par Zefram Cochrane Voir le message
    reste à voir comment
    Bonne question!
    Quel outil tu va utiliser si la durée-propre n'est pas, comme tu le pense, constante? et si tu trouves cet outil, tu fais comment pour être sûr de sa constance? A quoi pourrais-tu le comparer? Pour parler de variation d'un truc, il te faut obligatoirement un étalon qui soit constant en rapport à ton référentiel...ça va être difficile non?(pour pas dire que c'est strictement impossible...).
    Cordialement,

    -----

  2. #32
    Deedee81

    Re : paradoxe des jumeaux

    Citation Envoyé par curieuxdenature Voir le message
    puisqu'il est immobile
    Impossible !!! Sinon on l'appellerait autoimmobile.

    Désolé, c'est vendredi
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  3. #33
    Zefram Cochrane

    Re : paradoxe des jumeaux

    Il y a une différence entre être stationnaire en apesanteur et être stationnaire dans un champ de gavitation.
    il suffit de prendre un A 320 pour s'en rendre compte

    je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire

  4. #34
    Nicophil

    Re : paradoxe des jumeaux

    Bonjour,

    On est toujours dans le champ, même en apesanteur...
    La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.

  5. #35
    curieuxdenature

    Re : paradoxe des jumeaux

    Citation Envoyé par Zefram Cochrane Voir le message
    Il y a une différence entre être stationnaire en apesanteur et être stationnaire dans un champ de gavitation.
    il suffit de prendre un A 320 pour s'en rendre compte

    Il n'y a pas de différence pour celui qui est dans le référentiel. A condition évidemment que le gradient du champ ne soit pas extrême pour la collecte des résultats, mais ça c'est une autre histoire qui fait intervenir la RG et pas seulement la RR.
    L'electronique, c'est fantastique.

  6. #36
    Zefram Cochrane

    Re : paradoxe des jumeaux

    Bonjour,
    Pour moi si. L'un ressent l'accélération et pas l'autre.
    je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire

  7. #37
    tierri

    Re : paradoxe des jumeaux

    Je suis presque d'accord avec Zefram !

    Disons que je me pose des questions : L'un ressent l'accélération ou plutôt la gravitation (celui qui est stationnaire dans un champ de gravitation), l'autre, celui qui est en apesanteur, ne ressent rien, mais il est en orbite animé d'une vitesse, les conditions d'espace et de temps ne sont-elles pas différentes, cela pose la question du référentiel.
    Alors dans le cadre de la RG on va trouver réponse à cette question par la définition d'un référentiel inertiel que je n'ai pas le droit de remettre en question.

  8. #38
    Deedee81

    Re : paradoxe des jumeaux

    Citation Envoyé par tierri Voir le message
    Disons que je me pose des questions : L'un ressent l'accélération ou plutôt la gravitation (celui qui est stationnaire dans un champ de gravitation), l'autre, celui qui est en apesanteur, ne ressent rien, mais il est en orbite animé d'une vitesse, les conditions d'espace et de temps ne sont-elles pas différentes, cela pose la question du référentiel.
    Je suis d'accord. Ces comparaisons n'ont de sens que si l'on imagine chaque observateur enfermé dans une minuscule boite de conserve opaque. Il ne sait rien, absolument rien de sa situation et ne peut rien voir.

    C'est pourquoi la RG passe par la notion d'espace tangent.

    Citation Envoyé par tierri Voir le message
    Alors dans le cadre de la RG on va trouver réponse à cette question par la définition d'un référentiel inertiel que je n'ai pas le droit de remettre en question.
    Comment veux-tu remettre en question quelque chose que tu ne connais pas ?
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  9. #39
    invite5e279b10

    Re : paradoxe des jumeaux

    D'après la théorie de la relativité einsteinienne, la mesure du temps en un point Mj d'un espace Ej dépend de la vitesse relative de l'observateur. Si pour des observateurs Aj, Bj immobiles par rapport à ce point elle est égale à dtjj elle devient égale à dtji pour des observateurs Ai, Bi mobiles par rapport à Mj, telle que dtji = Υji dtjjoù Υji est le coefficient de Lorentz.

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