Force est de constater que c'est toujours la propulsion chimique (style V2) qui prévaut, à savoir un moteur brûlant une grande quantité d'ergols (carburant et comburant) permettant à un lanceur d'atteindre la vitesse nécessaire à l'injection d'une CU dans l'espace (7,8 km/sec pour une orbite basse, 11,3 pour une mission libératoire).
Sur ce chapitre durant de longues années, l'avancée n'a progressé essentiellement qu'au travers d'un meilleur rendement énergétique des ergols !
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