Salut !
C'est une bele idée mais peu probable. Prenons quelques hypothèses (pas forcément exactes, je ne fais ni de l'environnement ni de la médecine) :
- la pollution diminue le taux de transfert de l'oxygène à travers les bronches, créant des difficultés à respirer chez la plupart des gens
- certaines personnes ont une particularité génétique qui augmente ce taux de transfert, réduisant les désagréments de la pollution
- certaines personnes y sont à l'inverse plus sensibes (toujours facteur génétique)
Il faudrait que la mortalité des personnes les plus génées par la pollution soit significative avant l'âge de la reproduction (25 ans), et surtout que les personnes les plus favorisées disposent d'un avantage reproductif significatif par rapport à la moyenne de la population pour voir une évolution dans le sens du développement d'une résistance à la pollution.
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