aluminium

[giwot]

Bonjour,
Actuellement on peut lire beaucoup de chose sur le net concernant les vaccins et l’aluminium.
J’aimerais savoir quel crédit il faut apporter à cela sachant que certaines personnes ont fait des recherches pour le démontrer.
Le Dr Gherardi Directeur de recherche à l’INSERM et travaillant à l'hôpital Henri Mondor Créteil, après 18 ans de recherche constate par hasard que l’aluminium est bio persistant contrairement à ce qu’il était admis.
Il mène son étude qui est validé dans un premier temps par l’ AFSSAPS, puis va être interrompu pour des raisons inconnues.
Il y a 1 à 2 % des patients qui sont sensibles et cela peut donner lieu à une immuno-stimulation chronique qui débouche sur des maladies auto-immune, neurodégénérative et cancer.
Bien que cela ne remette pas en cause le principe de vaccination que faut-il en penser ?
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[myoper]

Bonjour.
A priori, la bio persistance possible est connue et prise en compte depuis longtemps, il faudrait donc savoir ce qui est entendu très précisément dans ce cas.

Il faut savoir que l'aluminium est un composant indispensable du corps humain (et sert à l'immunité, entre autres et c'est précisément une des raisons de son utilisation) et que les quantités vaccinales sont, de ce point de vue et par rapport aux quantités ingérées, beaucoup plus faibles (1 vaccin contient l'apport alimentaire d'une semaine, environ).

Il est souvent question de la myofasciite à macrophage qui n'est pas ne maladie mais une constatation anatomopathologique, tout comme un granulome inflammatoire qu'un moustique (ou autre lésion cutanée) pourrait provoquer et n'est lié à aucune maladie (tout le monde pourrait en avoir un) sauf qu'il est dans le muscle deltoïde, au point d'injection (parfois le quadriceps des bébés) et contient l'aluminium vaccinal, ce qui veut dire qu'il n'est pas ailleurs (et donc pas dans le cerveau) et qu'à deux ou trois cas près, il n'existe qu'en France (ce qui veut dire qu'il suffit de passer la frontière pour ne pas être concerné).

Il est naturellement question du relargage dans la circulation générale de telles lésions quand elles enkystent un produit ou métal quelconque. Dans ce cas, les quantités contenues, donc possiblement relarguées sont très inférieures à celles qui vont passer dans le sang via l'aluminium alimentaire qui circule de la même façon et il ne faut pas oublier que c'est ce qui avait été prévu lors de la fabrication du vaccin.

Important: tant qu'il est dans la lésion musculaire (dans le muscle), il n'est pas ailleurs. Ce qui veut dire qu'il n'est pas la cause des plaintes des patients chez qui il est retrouvé et si, par hypothèse, c'est une quantité relarguée, quasi incalculable tellement elle est faible qui en est la cause, l'aluminium auquel on est exposé quotidiennement et finit également dans la circulation générale (etc.) aurait provoqué la maladie dans les jours suivants.


L'hypothèse retenue est donc une sensibilité d'un certains nombre de patients à l'aluminium (qui serait stocké et, ou, aurait une action défavorable ou dégénérative au niveau du cerveau).
On peut juste dire que les quantités vaccinales sont si faibles par rapport à ce qui va être absorbé par un individu (quel que soit la voie) que si une pathologie est développée à cause de l'aluminium du vaccin, celle-ci est juste avancée de quelques jours ou quelques semaines mais se produira de façon certaine, même sans vaccin.
Le pourcentage est à déterminer car si c'est la sensibilité par rapport à une action au niveau du cerveau, le différentiel entre les populations vaccinées et non vaccinées est de l'ordre de 1 pour 1 ou plusieurs millions (de mémoire, environ 2.7 pour le vaccin contre l'hépatite).
Si c'est une sensibilité par rapport à la lésion musculaire, comme il est possible que tous les gens non testés la présentent ou un grand nombre, le pourcentage pourrait être de 100 %.

Enfin, concernant la dernière question, le fait d'émettre des hypothèse ou même d'admettre des mécanismes lésionnels n'augmente pas la toxicité habituellement constatée de ces vaccins. Autrement dit, on sait déjà le nombre de problèmes auxquels on est confronté et même si on disait que simplement regarder de l'aluminium provoquait la mort immédiate, ça ne changerait pas le fait qu'on observe, environ un problème "sérieux" ou remarquable toutes les dizaines ou centaines de milles de gens vaccinés (suivant les vaccins).