et augmenter le nombre de certains autres décès. Voir par exemple la forte baisse du recours aux soins d’urgence pour pathologies cardio et neuro-vasculaires depuis la mi-mars (environ 50%), dans le dernier point épidémiologique hebdomadaire :
(NB: la phrase est tronquée dans le document, mais la suite paraît claire.)Ces résultats peuvent suggérer un retard de la prise en charge pour des patients ayant attendu pour se rendre aux urgences compte tenu de la crainte de la contamination. Il sera nécessaire de documenter la sévérité des cas hospitalisés pour maladies cardiovasculaires aigües ainsi que la fréquence de survenue de complications pour s’assurer que le retard de recours au soin n’est pas associé à une (...)
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