Bonsoir,
J'aimerais connaître les précautions à prendre dans ce cas ?
Jean
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Bonsoir,
J'aimerais connaître les précautions à prendre dans ce cas ?
Jean
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Prendre le train ou l'avion, aller au resto, prendre un verre au bar, aller à votre club de sport ou visiter un musée, puisque vous avez le droit (sarcasme off)
Et surtout, ne pas s'inquiéter outre mesure. Ma belle-mère, 85 ans et plusieurs comorbidités, qui a reçu son rappel en novembre, a été testée positive quelques jours après notre soirée-cluster de Noël, mais elle n'a eu aucun symptôme alors que la plupart des "jeunes", vaccinés depuis 4 à 5 mois ou enfants non vaccinés, qui ont probablement aussi été infectés le même soir ont été plus ou moins malades, même si rien de grave.
Bref, le rappel fait son boulot (mon épouse et moi, 64 ans tous les deux, avec rappel début décembre, n'avons pas été infectés).
Dernière modification par yves95210 ; 08/01/2022 à 21h00.
Bonsoir,
Pour rester dans les anecdotes "comiques" (mais réelles), l'ingé commercial de ma boite qui a contracté Omicron au jour de l'an m'a dit: "c'est rude, je ne peux plus marcher 100 m sans etre très essoufflé mais ne t'inquiète pas je suis triple vacciné et j'ai déjà eu le Covid au printemps 2020 donc je ne suis risque rien".
Lundi il va en TGV à Paris serrer quelques centaines de mains dans un congrès et quand je lui ai demandé s'il ne se pensait plus contagieux il a répondu: "mais oui, j'ai vérifié et mon QR-Code fonctionne bien je peux aller partout!"......
Après le pass-sanitaire on va avoir le pass-vaccinal et à quand le permis de contaminer?
ou ?
Dernière modification par pascelus ; 08/01/2022 à 23h35.
Il faut accepter l'idée qu'un jour le covid ne sera rien d'autre qu'une rhino pharyngite et qu'on ne restera chez soi que quand on sera vraiment malade, sinon on acceptera le risque de contagion, comme avec les autres rhumes. En ce moment on est dans une période intérmédiaire où le discours public la traite encore comme une maladie très dangereuse, dont il convient de se protéger au maximum, alors que les actes se rapprochent de ceux face à une maladie bénigne pour laquelle on évite de contaminer inutilement les autres, mais sans non plus se terrer chez soi. Avec l'engorgement des capacités de tests, on va d'ailleurs revenir à la conception traditionnelle de la maladie, c'est à dire qu'on est malade quand on a des symptômes et pas quand on a un test PCR positif ! (tests qu'on ne faisait jamais avant et pour cause, on n'en avait pas ...)
Les tests PCR sont utiles quand on veut faire retomber le taux de circulation à une valeur très faible, mais là ce n'est manifestement pas le cas, ou alors on s'y prend comme des manches. Si le but est au contraire de laisser circuler le virus pour compléter l'immunité vaccinale, les tests à gogo ne servent à rien, il vaut mieux les réserver aux gens vraiment symptomatiques pour pouvoir les traiter rapidement en cas d'aggravation.
Bonjour,
Personnellement, je n y compends plus grand chose...
Il me semblait avoir entendu à plusieurs reprises, que ce "variant" était moins "dangereux et handicapant" que les précédents...et que (bon, je sais plus trop et ne suis pas certains des bons termes) il ne touchaient plus les poumons...je suis évidemment pas médecin vous l aurez bien compris.Pour rester dans les anecdotes "comiques" (mais réelles), l'ingé commercial de ma boite qui a contracté Omicron au jour de l'an m'a dit: "c'est rude, je ne peux plus marcher 100 m sans etre très essoufflé mais ne t'inquiète pas je suis triple vacciné et j'ai déjà eu le Covid au printemps 2020 donc je ne suis risque rien".
mon secret? ... Ne rien dire.
Salut,
A peu près d'accord. Les données venant d'un peu partout commencent à confirmer que le variant Omicron cause nettement moins de cas graves que les précédents, ramenant probablement la gravité moyenne du Covid au niveau de celle de la grippe chez les non-vaccinés et au niveau de celle d'un bon rhume chez les vaccinés.Il faut accepter l'idée qu'un jour le covid ne sera rien d'autre qu'une rhino pharyngite et qu'on ne restera chez soi que quand on sera vraiment malade, sinon on acceptera le risque de contagion, comme avec les autres rhumes. En ce moment on est dans une période intérmédiaire où le discours public la traite encore comme une maladie très dangereuse, dont il convient de se protéger au maximum, alors que les actes se rapprochent de ceux face à une maladie bénigne pour laquelle on évite de contaminer inutilement les autres, mais sans non plus se terrer chez soi. Avec l'engorgement des capacités de tests, on va d'ailleurs revenir à la conception traditionnelle de la maladie, c'est à dire qu'on est malade quand on a des symptômes et pas quand on a un test PCR positif ! (tests qu'on ne faisait jamais avant et pour cause, on n'en avait pas ...)
Les tests PCR sont utiles quand on veut faire retomber le taux de circulation à une valeur très faible, mais là ce n'est manifestement pas le cas, ou alors on s'y prend comme des manches. Si le but est au contraire de laisser circuler le virus pour compléter l'immunité vaccinale, les tests à gogo ne servent à rien, il vaut mieux les réserver aux gens vraiment symptomatiques pour pouvoir les traiter rapidement en cas d'aggravation.
Compte-tenu du faible nombre d'adultes non-vaccinés (4 millions en France métropolitaine), on pourrait sans-doute supporter l'équivalent d'une épidémie de grippe foudroyante (avec un virus subitement plus transmissible mais pas plus létal) parmi eux - comme on supporte chaque année des épidémies de grippe qui touchent 10 millions de personnes mais sur une période plus longue.
Mais on est effectivement dans une période intermédiaire, où le statut immunitaire de la population n'est pas encore suffisamment homogène, et où un variant causant plus de cas graves (Delta) circule encore avec un taux d'incidence élevé (35000 à 40000 cas par jour dans la première semaine de janvier).
Et contrairement à Omicron dont la capacité à contourner l'immunité acquise est plus grande, Delta touche proportionnellement nettement plus les non-vaccinés que les vaccinés (d'autant plus avec l'avancement de la campagne de rappel) ; c'est ce qu'indiquaient les croisement de données entre statut vaccinal et résultat des tests / admissions à l'hôpital / en réa dans la période où Delta était encore hégémonique.
Or on ne peut pas laisser circuler Omicron sans laisser circuler Delta.
On peut juste compter sur le fait que les mesures barrière, l'isolement des infectés (plus souvent symptomatiques avec Delta) et le passe sanitaire ont plus d'impact sur l'incidence de Delta, qui est en train de baisser lentement (mais comme Reff(Delta) était proche de 1 mi-décembre, ce n'est pas un exploit...) que sur l'incidence d'Omicron dont elles ne font qu'infléchir un peu la croissance.
Et sur le fait que (probablement) les infectés par Omicron seront assez bien immunisés contre une réinfection par Delta, ce qui va accentuer cette tendance.
Bref omicron est une opportunité en quelque sorte.
On voit des dizaines de personnes faire la queue, serrées les unes contre les autres, devant les pharmacies et labo pour faire un test parce que elles sont cas contact:
Il est plus que probable que des positifs soient dans la queue (cas contact) et contaminent d'autres qui sont non porteuses, celles ci font leur test, ont donc un résultat négatif et vont joyeusement contaminer leur entourage
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
A partir du moment où on fera le diagnostic que les services de soins intensifs peuvent encaisser le choc, il faudra redevenir raisonnable et ne plus traumatiser les enfants au moindre cas (et même si ça énerve certains, ficher la paix aux non vaccinés, ils paient déjà assez en prenant un risque nettement plus fort que les autres, mais on peut estimer que c'est déjà une sanction suffisante, et au moins on arrêtera d'alimenter leur paranoïa).
On ira chez le médecin si on se sent malade, et si il l'estime utile, il nous prescrira un test, et sinon on ne fait rien de spécial à part prendre des symptomatiques et éviter les surinfections, ce qui est très largement suffisant pour la grande majorité de la population.
Reste à savoir si la circulation d'omicron est une bombe à retardement à cause du temps d'évaluation de la dangerosité d'un nouveau variant avec un R comme omicron et les caractéristiques que l'on ne souhaite pas: bien plus grave cliniquement et apte à diminuer de l’efficacité des mesures de contrôle mises en place (mesures de prévention, tests diagnostiques, vaccins, molécules thérapeutiques).
https://www.santepubliquefrance.fr/d...2#block-331391
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Bjr à tous,
La réaction au vaccin et au covid n'est PAS la meme pour tout le monde !
Trois fois piqué...3 fois aucune réaction, meme pas une géne du bras.
Le voisin trois piqué..3 fois malade pendant 2 jours à chaque fois.
Donc...
Bonne journée
Bonsoir.
Vous avez ici ; https://solidarites-sante.gouv.fr/IM...olement40n.pdf les dernières actualisations sur la conduite à tenir.
Ce document est clair sur la conduite administrative à tenir, mais il serait intéressant de savoir ce qu'il faut faire aussi sur le plan médical ?
Sur le plan médical c'est au médecin de chaque patient de décider. Pas à la DGS. Ce document répond à la question du titre ; que doit faire un vacciné âgé lorsque son test PCR est positif.
Il me semble que le sens de la question est de savoir s'il y a quelque-chose de particulier à faire même en l'absence de symptômes, lorsqu'on fait partie de la population "à risque" (par ex. un traitement préventif), et donc si ça vaut le coup de consulter son médecin dans ce cas.
Mais en présence de symptômes, aucun doute, il faut consulter son médecin.
Pour le reste (règles d'isolement / sortie de l'isolement), rien ne diffère entre les personnes âgées (ou vulnérables pour d'autres raisons) et le reste de la population. Un nouveau test PCR ou antigénique, négatif, autorise à quitter l'isolement au bout de 5 jours, mais vu les queues devant les pharmacies et la difficulté à obtenir rapidement un rdv pour faire un test PCR en labo, autant attendre tranquillement la fin des 7 jours...
Il n'est pas nécessaire de présenter un test négatif pour obtenir le certificat de rétablissement qui permet d'obtenir le pass sanitaire (ou bientôt le pass vaccinal). Un test positif datant de plus de 11 jours et moins de 6 mois suffit, et justifie de différer l'injection de la dose de rappel si elle n'a pas encore été faite - ça vaudra sans-doute aussi pour la 4e dose s'il en est question dans dans quelques mois.
Comment faire pour éviter les longues files d'attente dans le froid ?
Y a-t-il des municipalités qui ont organisé quelque chose ?
Déjà, en n'allant pas se faire tester pour rien si on a déjà eu un PCR+ et qu'on n'a toujours pas de symptômes au bout de quelques jours.
Peut-être, mais ce n'est que localement que tu peux avoir l'info.Y a-t-il des municipalités qui ont organisé quelque chose ?
J'ai vu tout récemment que le gouvernement envisage la mise en place de centres de dépistage pour augmenter les capacités de test; mais je ne sais pas si ça résoudra vraiment le problème des files d'attente.
Pour l'éviter, lorsqu'il n'y a pas urgence, par exemple si c'est pour faire nouveau PCR 5 ou 7 jours après un PCR+, le mieux est de prendre rendez-vous dans un labo dès qu'on a le résultat du premier test. A 5 ou 7 jours il doit y avoir moyen de trouver des créneaux disponibles.
Parce qu'un PCR ou TAG négatif autorise un vacciné à quitter l'isolement à J+5 et un non-vacciné à J+7, au lieu de J+7 et J+10.
En pratique il n'y a aucun contrôle et chacun fait ce qu'il veut... (pour certains ça revient à ne pas se faire tester du tout histoire d'éviter d'être emmerdé, ou simplement d'aller faire la queue une heure devant une pharmacie)
Mais ça n'empêche pas de se comporter en bon citoyen (ou simplement de vouloir protéger ses proches) et de respecter les recommandations.
mais la question était "lorsque son test PCR est positif", donc quand on s'est DEJA testé positif ! pour moi y a rien à faire de plus que s'isoler en surveillant ses symptômes ...Parce qu'un PCR ou TAG négatif autorise un vacciné à quitter l'isolement à J+5 et un non-vacciné à J+7, au lieu de J+7 et J+10.
En pratique il n'y a aucun contrôle et chacun fait ce qu'il veut... (pour certains ça revient à ne pas se faire tester du tout histoire d'éviter d'être emmerdé, ou simplement d'aller faire la queue une heure devant une pharmacie)
Mais ça n'empêche pas de se comporter en bon citoyen (ou simplement de vouloir protéger ses proches) et de respecter les recommandations.
En ce moment il n'y a pas que le coronavirus qui traine. Le réseau sentinelle remonte autant de syndromes grippaux, rhinos, et divers IRA (Infections Respiratoires Aigues). Et au final Covid ou pas, des précautions comme l'isolement pour ne pas transmettre ces autres maladies est toujours préférable. Aller se congeler dehors dans une file d'attente pour se faire tester ne parait pas d'une utilité cruciale et ne fera qu'aggraver la maladie, sauf administrativement?
Dernière modification par Nicophil ; 10/01/2022 à 13h05.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Et pour s'auto-isoler (ou garder leurs enfants isolés) sans perdre une semaine de salaire, la plupart des gens ont besoin d'un arrêt de travail, que seul un PCR ou TAG positif permet d'obtenir. Donc ça vaut aussi pour les vaccinés.
Tout le monde n'a pas la chance de pouvoir se contenter de passer un coup de fil ou d'envoyer un mail à son employeur pour lui dire "je me mets en télétravail pour une semaine"...
D'autre part, le fait de ne pas avoir de symptômes ne dispense pas d'aller se faire tester, ou au minimum de s'auto-tester, quand on sait qu'on a été en contact "à risque" (dans un lieu clos, sans masque ou même avec mais de manière prolongée) avec une personne infectée. On peut très bien être asymptomatique pendant toute la durée de l'infection, mais quand-même contagieux; cela justifie donc aussi de s'isoler.
Remarque : dans une période où les capacité de test arrivent à saturation, il me semble raisonnable de commencer par faire un autotest, et de n'aller le faire confirmer par un test "officiel" que s'il est positif (et si on a vraiment besoin du papier). Vu le risque de faux négatif des autotests ce n'est pas idéal, mais statistiquement ça réduit quand-même de 70 à 80% le risque d'être contagieux sans le savoir.
Dernière modification par yves95210 ; 10/01/2022 à 13h22.
Je crois qu'il y a une chose fondamentale qui vous échappe : ces vaccins ne vaccinent pas contre la bêtise.Envoyé par pascelusLundi il va en TGV à Paris serrer quelques centaines de mains dans un congrès et quand je lui ai demandé s'il ne se pensait plus contagieux il a répondu: "mais oui, j'ai vérifié et mon QR-Code fonctionne bien je peux aller partout!"......
Un crétin restera un crétin, même s'il est vacciné 3 fois voir plus.
Et sinon, quand on est positif, il y a aussi une chose importante à faire : le signaler sur la plateforme anticovid.
Tu n'as pas compris ma réponse. Bien sûr il faut s'isoler et surveiller ses symptômes. Mais même en l'absence de symptôme, seul un test négatif autorise à quitter l'isolement après 5 jours (pour un vacciné) ou 7 (pour un non vacciné). Officiellement du moins puisque, en pratique, chacun fait ce qu'il veut sans aucun contrôle.
Après à chacun de voir si ça vaut la peine d'aller se faire tester, en faisant éventuellement la queue dehors pendant 2 heures, pour avoir le droit de sortir 2 jours plus tôt (remarque : pour aller se faire tester, faut déjà sortir...).
Perso j'aurais plutôt tendance à rester au chaud chez moi 2 jours de plus. En faisant éventuellement un autotest (même s'il n'a aucune valeur administrative) pour savoir si je peux arrêter de prendre des précautions vis-à-vis de mes proches, parce que porter un masque chez soi et éviter de séjourner dans la même pièce ou de manger ensemble, c'est quand-même pénible.
Vu le nombre de personnes que je connais qui ont reçu un avis "cas contact" avec #anticovid ces derniers jours, si tous les cas contacts se mettent en quarantaine, on va se retrouver avec des millions de gens auto-confinés en permanence.Envoyé par yves95210Officiellement du moins puisque, en pratique, chacun fait ce qu'il veut sans aucun contrôle.
Je vais citer un cas qui me fait gratter la barbichette : mon père (76 ans, multiples comorbidités dont certaines très lourdes) s'est rendu à Venise du 1 au 5 janvier et a reçu une alerte cas contact en Italie pour le 3 janvier...
Je vous laisse imaginer les questions techniques qui se posent pour établir qu'il a été un cas contact en Italie avec une application franco-française : il faudrait qu'il ait été au contact d'un français faisant tourner #anticovid en Italie et en s'étant déclaré contaminé sur la plateforme #anticovid en Italie...
Bizarre...
Bah, on parle d'environ 50000 "contacts" par jour notifiés par l'appli.
Sur 300000 cas confirmés et potentiellement des millions de contacts par jour, ça ne fait pas lourd. Rien que les contacts "à risque" connus par les personnes testées positives (membre du foyer, personnes avec qui ils ont partagé un repas ou qui partagent le même bureau, etc.) doivent se compter par millions... Or pour tous ceux-là le risque est en général bien plus élevé que pour la plupart des "contacts" identifiés par l'appli, et ça mérite qu'ils prennent des précautions en attendant de se faire tester, et d'avoir le résultat.
Après, dans une situation où chacun risque d'être plusieurs fois cas contact chaque semaine, entre "prendre des précautions" (en évitant de partager des repas ou de séjourner dans la même pièce que d'autres personnes sans masque, en se mettant en télétravail si c'est possible, en évitant de prendre les transports en commun, etc.) ou vraiment "se mettre en quarantaine", tant qu'on n'est pas positif et qu'on n'a pas de symptômes c'est vrai que la question se pose. Surtout quand on est vacciné avec rappel et qu'on a un risque 4 fois plus faible d'être infecté, même par omicron.
D'autre part, je doute que beaucoup de gens utilisent vraiment l'appli dans ce but, la plupart ne l'ont que pour avoir leur passe sanitaire sur leur téléphone (et il y en a, comme moi, qui ont installé l'appli mais dont le téléphone est trop ancien pour disposer de la version du Bluetooth qu'elle utilise). Sinon elle enverrait probablement des centaines de milliers de notifications par jour, voire des millions...
Je suis positif PCR depuis mardi. Mon boulot me demande un test à J+5 pour savoir si je peux revenir avec un jour d'avance sur l'isolement sans test (J+7). Réponse de la pharmacienne : "Je ne prends plus les J+5. Jusqu'ici, avec Omicron, ils sont toujours positifs. Je garde les créneaux pour ceux qui n'ont pas encore été testés positifs. J'ai même des positifs à J+10".
De toute façon faut pas croire qu'on est contagieux jusqu'à J+7 et non contagieux à J+8. Le risque de contaminer diminue simplement, donc au retour au boulot, il faut continuer de respecter les gestes barrière.
Après, peut-être que le gouvernement a demandé à l'Institut Pasteur de leur calculer combien de jours il fallait retenir les gens chez eux pour que l'hôpital tienne, tout en "vaccinant" 100% de la population à l'Omicron ("vaccin" 100% Bio plus à même de pénétrer chez les récalcitrants à la vaccination ). Et la réponse du simulateur a sorti 6j+/-1j ^^
Blague à part, ne cherchez pas à l'attraper volontairement (j'ai déjà eu un candidat qui voulait absolument passer nous voir dans ce but quand on lui a dit qu'on l'avait). D'une part Delta circule toujours. D'autre part, j'en connais qui enchainent l'isolement avec un arrêt maladie d'une semaine, suite à vertiges et compagnie... On n'est pas tous égaux dans la réponse à ce virus...
Et puis j'ai l'impression qu'on commence à voir l'influence d'Omicron sur les chiffres des décès dans les Alpes Maritimes (les décès remontent alors que j'ai pas vu de reprise de Delta là bas sur covidtracker). C'est peut-être moins dangereux que Delta, mais pas indolore à mon avis...
Dernière modification par Tiluc40 ; 20/01/2022 à 21h37.