C'est aussi ce que je me suis dit en lisant le texte Kip Thorne, mais vu qu'on a affaire ici à un lauréat du prix Nobel, je pense qu'il doit savoir ce qu'il dit lorsqu'il parle de "singularities" (je me suis d'ailleurs aussi demandé si singularities pouvait être autre chose qu'une singularité en français, mais bon...).
Je me suis demandé également si il fait référence à une singularité de coordonnées (bien qu'il semble mettre dans le même panier la singularité "centrale", et je ne suis pas du tout qualifié pour savoir si ce genre de singularité est possible dans un TN de Kerr) :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Singul...ordonn%C3%A9esEnvoyé par Wikipedia
Sinon, la piste la plus intéressant à mon avis (en rapport avec la question du fil), c'est la définition suivante :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Singul...avitationnelleEnvoyé par Wikipedia
Sous-entendu implicitement; dans le cadre de la RG.
La question que je me pose alors, c'est : Ces géodésiques (si on se place dans le cas où il n'est pas question de singularité) , ne sont-elles pas simplement à mettre en corrélation avec un point de vue particulier ?
Lorsqu'on défini la limite de Schwarzchild, celle-ci n'est-il pas définie relativement à un observateur placé à l'infini ? (Le point de vue terrestre est bien sûr une approximation valable).
Dans ce cas de figure, on peut aussi prendre un point de vue situé tout près de cet "horizon", l'observateur étant lui-même placé dans un champ gravitationnel intense, ce serait comme si gravitationnellement "il ne se passerait rien" s'il est en chute libre (d'ailleurs j'ai souvent lu que lors du passage par l'horizon de l'évènement, un observateur ne verrait rien de particulier).
Et ainsi de suite, (on peut refaire la même chose, tracer les géodésiques depuis ce point "à l'intérieur" de cette nouvelle limite.
Une singularité apparait par contre (amha), qui sort du cadre de la RG, lorsque la différence de potentiel gravitationnel (j'espère utiliser le bon terme), ou dit à ma manière, la courbure propre de l'observateur ne permet pas à la lumière de remonter la courbure sur une distance inférieur à la distance de Planck.
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