Bonjour,
Grand merci à chacun pour toutes les informations données.
deedee81 :Est-ce la cause, alors que l'accélaration de l'expansion est une constatation, une mesure, une cause ne porte-t'elle pas sur des données plus amples et universels que des effets ?Ce qui cause ça c'est l'accélération de l'expansion
Il est dommageable que certaines pistes soient interdites, en particulier celle-ci :
L'expansion et son accélération sont définies aujourd'hui par nos constats. Il est peut-être possible que le serpent arrête de se mordre la queue.
Serait-il possible d'envisager que les mesures faites à longues distances (donc à partrir de lointain passé) soient erronnées dans notre référentiel de mesure statique, soit-dit statique par rapport à nous ?
Et surtout, et là, modérateur bien-venu, efface s'il te plaît l'intégralité de mon message s'il n'a pas droit de cité ici. Est-il concevable d'envisager un référentiel où les ondes électromagnétiques, telles que que nous les percevons, ne correspondent qu'à une vibration en rapport à notre nature (un différenriel lié à la perception de celles-ci par nos atomes), et que pour un référentiel différent, statique par rapport au temps, l'expansion soit bien plus ample, et que chaque objet massique soit à minima en expansion à la vitesse de la lumière? l'intervalle de vide en expansion également, mais moindre par la répartition de la matière connue, et la résultante donnant la gravitation?
Il est admis, et c'est logique, de ne pas donner de référentiel au photon, car un référentiel incorpore le temps, et le photon est décelé et défini comme n'ayant pas de temps propre. OK. Mais au-delà de cette aspect physique pré-établi comme religion, il est évidemment facile de, mathématiquement, effectuer des vues sur tous phénomènes, à partir d'un photon statique. matématiquement, s'entant. A partir de là, à partir d'une date figée de l'espace-temps, une expansion locale à la vitesse de la lumière fait peur. Or, la peur n'évite pas le danger, en particulier celui de se voir découvert à avoir éluder ou cacher, ou avoir ignorer, peut-être à dessein de perdurer, la vraisemblance que le photon est statique dans nos calculs de l'espace temps à l'échelle de l'infiniment petit.
Avant de rejeter tout cela en bloc, voyez le rapport de mon propos avec le facteur 10^120.
Merci. cordialement.
-----