Bonjour,
A la fin de l'univers la vitesse de la lumière serait t'elle dépassé comme dans ses débuts?
-----
Bonjour,
A la fin de l'univers la vitesse de la lumière serait t'elle dépassé comme dans ses débuts?
Ta question n’a aucun sens.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
A la naissance de l'univers la vitesse de l'inflation était plus rapide que la lumière .
Et je me pose la question sur la vitesse de la destruction de l'univers serais t'elle aussi plus rapide que la lumière?
L'age de l'univers est de 14 milliards années lumière hors son diamètre est de 46 milliards et son horizon est homogène.
Les scientfiques pensent que la vitesse de lumière a était plus rapide a la naissance de l'univers pour expliquer ça.
https://www.futura-sciences.com/scie...ig-bang-65294/
Dans l'univers tous a une fin même l'univers.
Je sais que il y a plusieurs fin de l'univers possible et je m'interroge sur la vitesse de la fin de l'univers serais t'elle plus rapide que la lumière ou respectera la constante de lumière en cas ou l'univers dépassera un certain taille et commencera a se déchirer ou a se contracter.
Oui, cela s'appelle l'expansion.
Non, cela s'appelle une théorie spéculative et on peut très bien l'expliquer sans.Les scientfiques pensent que la vitesse de lumière a était plus rapide a la naissance de l'univers pour expliquer ça.
https://www.futura-sciences.com/scie...ig-bang-65294/
Affirmation gratuite. Il y a des scénarios sans fin de l'Univers.Dans l'univers tous a une fin même l'univers.
C'est juste incompréhensible.Je sais que il y a plusieurs fin de l'univers possible et je m'interroge sur la vitesse de la fin de l'univers serais t'elle plus rapide que la lumière ou respectera la constante de lumière en cas ou l'univers dépassera un certain taille et commencera a se déchirer ou a se contracter.
Dernière modification par JPL ; 02/11/2019 à 14h31. Motif: Correction de balise
Ce n’est pas hors mais or. Hélas beaucoup trop de messages de nombreux participants font cette erreur qui m’exaspère !
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Se ne sont pas juste des théories spéculatives ils sont testables.
https://www.google.com/amp/s/www.vic...aurait-ralenti
L'univers a grandi plus rapidement que la vitesse de la lumière.
Et je m'interroge sur ca fin serais t'elle aussi plus rapide que la lumière?
Ca va aller,c'est un marocain..tolérance.
Pour essayer de recadrer...
L’expansion de l’espace est définie par un taux, Ho la «constante» de Hubble aujourd’hui. La formule v=H.d donne une vitesse, d est la distance comobile c’est a dire actuelle. Il y a toujours un endroit où la «vitesse de l’espace» dépassera c, aujourd’hui ce point est à environs 14 Gal (milliards d’années lumière) et le fond de l’univers visible, situé à 46Gal va à 3,3c (proportionnalité 14x3,3~46), donc bien plus vite que la lumière par rapport à nous.
Ce point coincide aussi (aux détails près d’une évolution non linéaire ~15Gal) à l’horizon des évènements : on ne saura jamais rien du présent (aujourd’hui et là bas) des objets situés au delà de cet horizon, on recevra des images, de leur passé et jusqu’à aujourd’hui, en un temps infini et redshiftées (rouges et ralenties).
Selon la façon dont va évoluer H, cette distance peut changer... par exemple au moment du découplage H valait ~20.000 Ho, la distance à laquelle l’espace allait à c était bien plus proche. Au moment de l’inflation, tu ajoutes une centaine de zeros !
Bref, c’était pour t’aider à préciser la question
Trollus vulgaris
Je tolère dans ce cas mais c’est aussi une faute très fréquente chez les locuteurs français au point qu’on trouve bien plus souvent hors que or.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
1er lien:
"Tous les modèles d'inflation éternelle impliquent l'existence d'un multivers infini, typiquement un univers fractal ou un multivers qui se reproduit de manière infinie. La théorie des multivers a créé une dissension importante au sein de la communauté scientifique qui s'est posée la question de la viabilité du modèle inflationniste"
Déjà faut être convaincu que le multivers est le bon choix..Faut cumuler 2 convictions personnelles faute de mieux.(bien sûr que les études à ce sujet sont bien etayées,mais invérifiables)
Dernière modification par zebular ; 03/11/2019 à 20h03.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Merci Monsieur, mais là on risque d'entrer dans un débat d'ordre sémantique ou pire : dialectique.
Je partage l'opinion de zebular sur le 1er lien, même si le sujet n'est pas la crédibilité ou la pertinence de tel ou tel modèle.
Dans la théorie du Big Bounce (basée sur la gravitation quantique à boucles), dont j'entends parler depuis plusieurs années, il y a une fin de l'univers avant le grand rebond qui donne naissance à l'univers suivant. C'est là qu'il faut s'entendre sur la terminologie à employer : on parle de la mort de l'univers actuel et de la naissance de son successeur ? Ou bien d'une sorte de "reset" entre les deux ?
La même question se pose pour la mort thermique de l'univers : il se peut que les fluctuations du vide engendrent l'univers suivant. Cela amène à poser les mêmes questions que pour la théorie du Big Bounce.
Bref, difficile de parler de scénarios sans fin de l'univers tant qu'on n'a pas décidé si l'on parle d'un seul univers-bulle, ou du multivers, et du sens du mot "fin" (définitive comme la mort, ou juste la fin d'une phase).
D'autant qu'il faut prendre les choses avec légèreté.
Le temps d'arriver à la fin de l'Univers, on aura très probablement envisagé de nombreuses autres possibilités.
Sinon, le scénario d'un Univers éternel n'est-il pas aussi une possibilité ?
Certes, pas statique dans le sens où tout reste dans l'état, mais compris dans le sens où la dynamique réelle de l'Univers (qui pourrait être son équilibre) pourrait être cette expansion permanente et sans fin.
Voir par exemple ici, pour se rendre compte qu'on n'est pas encore sorti de l'auberge :
https://www.atlantico.fr/decryptage/...urelien-barrauEnvoyé par AtlanticoAtlantico : Deux équipes de chercheurs égyptiens ont récemment montré dans une publication (Physics Letters B) que la limite constituée par le Big Bang dans la relativité générale d'Einstein pouvait être dépassée grâce à une nouvelle équation quantique. En effet, pour certains scientifiques, les modèles mathématiques ne réussiraient pas à saisir le Big Bang en lui-même, mais uniquement les fractions de secondes qui ont suivi. Cette équation impliquerait également que le Big Bang ne soit pas l'origine de l'univers. En quoi consiste cette équation exactement ?
Aurélien Barrau : Il faut d’abord préciser que le fait que le Big Bang ne soit plus l’origine de l’Univers mais qu’il puisse exister une phase en amont de celui-ci est loin d’être une idée nouvelle.
C’est en effet une prédiction que l’on trouve dans pratiquement toutes les théories de gravitation quantique qui tentent de prolonger la relativité générale d'Einstein.
Et pour cause : au sens strict, le Big Bang est une "pathologie" mathématique, il correspond à une défaillance de la théorie classique. Dès lors que que le modèle est raffiné en tenant compte de la physique quantique, une des premières exigences consiste précisément à vérifier que le "problème" du Big Bang est résolu.
Rien d’étonnant donc à ce que dans cette étude le Big Bang disparaisse, c’est un résultat attendu.
Dans l’approche de la gravitation quantique à boucles, par exemple, une théorie mature qui jouit maintenant de 25 années de travail acharné, le scénario cosmologique est aujourd’hui assez clair et très largement étudié.
Le Big Bang, là aussi, est remplacé par un Big Bounce, un grand rebond. Il y aurait donc une phase de contraction qui aurait précédé l’actuel phase d’expansion.
Le travail auquel vous faites ici référence est une nouvelle pierre à cette édifice. Une autre approche, plus spéculative et plus incertaine, qui vient elle aussi remettre en cause l’idée de Big Bang.
Il s’agit ici dans ce cas de se fonder sur une interprétation originale de la mécanique quantique, dite de Bohm, qui permet de calculer de nouvelles équations d’évolution de l’Univers.
Merci c'est pour ça on perdre une partie de l'univers visible dans l'univers inobservable avec le temps.Pour essayer de recadrer...
L’expansion de l’espace est définie par un taux, Ho la «constante» de Hubble aujourd’hui. La formule v=H.d donne une vitesse, d est la distance comobile c’est a dire actuelle. Il y a toujours un endroit où la «vitesse de l’espace» dépassera c, aujourd’hui ce point est à environs 14 Gal (milliards d’années lumière) et le fond de l’univers visible, situé à 46Gal va à 3,3c (proportionnalité 14x3,3~46), donc bien plus vite que la lumière par rapport à nous.
Ce point coincide aussi (aux détails près d’une évolution non linéaire ~15Gal) à l’horizon des évènements : on ne saura jamais rien du présent (aujourd’hui et là bas) des objets situés au delà de cet horizon, on recevra des images, de leur passé et jusqu’à aujourd’hui, en un temps infini et redshiftées (rouges et ralenties).
Selon la façon dont va évoluer H, cette distance peut changer... par exemple au moment du découplage H valait ~20.000 Ho, la distance à laquelle l’espace allait à c était bien plus proche. Au moment de l’inflation, tu ajoutes une centaine de zeros !
Bref, c’était pour t’aider à préciser la question
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Oui, puisque sans accélération la vitesse de l'expansion de l'univers observable est toujours plus faible que la vitesse d'augmentation du rayon cosmologique.
Gilgamesh avait déjà donné des explications détaillées mais faut le retrouver.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Salut,
Je ne suis pas aussi attaché à l'orthographe que certains, mais il faut quand même que la phrase ait un sens. Là je ne le comprends pas…
On ne perd rien de l'univers visible actuel au cours du temps, simplement il y a des zones pour lesquelles on ne connaitra jamais le présent. A chaque seconde on voit toujours plus loin "dans le passé" : au bout d'un jour on voit à 13,7Ga en arrière + 1 jour. La distance à laquelle se trouve l'objet qui a émis ce qu'on verra se trouvera alors à environ 46Gal + 3,3 jours.lumière + 1 jour lumière. On voit donc toujours plus loin et tôt et on ne perd jamais rien.
Mon laïus servait à préciser ta question car on est au message 29 et il n'y a toujours pas de question exploitable…
……….
L'univers observable ne rétrécit pas, d'où vous sortez ça ?
Dernière modification par Mailou75 ; 04/11/2019 à 18h30.
Trollus vulgaris
Je ne sais pas ce que vous avez compris.
Ici en tous cas et pour préciser, il n'est pas question de la taille de l'espace et du temps.Envoyé par LeMuletl'univers observable "rétrécirait" (je ne sais pas trop comment le dire)
C'est de savoir ce que les éléments situés à la limite de l'univers observable deviennent.
Un autre exemple, similaire par analogie, pourrait être le devenir des objets à la limite de l'horizon des évènements d'un trou noir.
Ils "disparaissent" de notre univers, par la baisse d'intensité de leur action sur celui-ci. (il me semble à première vue, mais c'est vrai qu'on peut aller très loin et discuter du bienfondé de ce point de vue)