La vitesse de la lumière dans le vide ne peut pas varier, parce que la lumière n'a pas de masse, et donc elle va à la vitesse maximale possible pour une particule sans masse.
Pour le taux d'expansion, je laisse filer la blague facile.
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La vitesse de la lumière dans le vide ne peut pas varier, parce que la lumière n'a pas de masse, et donc elle va à la vitesse maximale possible pour une particule sans masse.
Pour le taux d'expansion, je laisse filer la blague facile.
Salut,
Si je comprends ta remarque, je dirais qu'elle est fausse : Si on prend H=2,31332.10-18 /s avec la distance comobile du CMB 46,7Gal=4,4181.1026m, on trouve que v=Hd donne 1022027175 m/s soit ~3,4c qui est bien la valeur attendue pour la "vitesse relative par rapport à nous" de cette zone de l'espace.
Après je n'ai peut pas compris la remarque…
Trollus vulgaris
Je suis perdu... Quelle est la motivation de cette question surprenante ?on parle bien de la variation de la vitesse dans le vide, sinon je ne vois pas l'intérêt de la théorie , tout le monde est d'accord que la vitesse dans un milieu matériel est différente ...Ce que je demande c'est étant donné la définition du mètre, comment peut-on faire une théorie dans laquelle la vitesse de la lumière dans le vide varierait ?
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
bon déjà "cette zone de l'espace" ce n'est pas "l'Univers". Ensuite ton calcul ne veut rien dire parce que la relation v = Ho d n'est valable que pour des petites distances (quand la variation de la métrique de l'Univers est négligeable pendant le temps de voyage de la lumière), ce qui n'est pas du tout le cas pour les distances "cosmologiques". Si cette condition n'est pas remplie, la notion de distance perd elle même de son sens. On peut en donner plusieurs différentes (qui ne coïncident pas), du coup autant de "vitesses" dD/dt différentes, mais aucune n'obéit à la loi de Hubble linéaire. Bref la relation n'est plus valable.Salut,
Si je comprends ta remarque, je dirais qu'elle est fausse : Si on prend H=2,31332.10-18 /s avec la distance comobile du CMB 46,7Gal=4,4181.1026m, on trouve que v=Hd donne 1022027175 m/s soit ~3,4c qui est bien la valeur attendue pour la "vitesse relative par rapport à nous" de cette zone de l'espace.
Evidemment en extrapolant v = Ho d on peut toujours trouver une distance à laquelle v >c mais c'est vrai à tout moment. Il y a un truc qualitatif associé, c'est l'existence d'un horizon cosmologique (qui est au delà du CMB)
Ah oui, c’est loin. J’avais perdu le fil.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Salut,
Au début j’ai pensé à un hackage de compte...
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Sans doute... mais va dire ça aux cosmologistesEnsuite ton calcul ne veut rien dire parce que la relation v = Ho d n'est valable que pour des petites distances (quand la variation de la métrique de l'Univers est négligeable pendant le temps de voyage de la lumière), ce qui n'est pas du tout le cas pour les distances "cosmologiques".
Si, v=Hd s’utilise avec la distance comobile et tu obtiens une vitesse de récessionSi cette condition n'est pas remplie, la notion de distance perd elle même de son sens. On peut en donner plusieurs différentes (qui ne coïncident pas), du coup autant de "vitesses" dD/dt différentes, mais aucune n'obéit à la loi de Hubble linéaire. Bref la relation n'est plus valable.
Voir ma réponse message 12, j’ai essayé de l’expliquer.Evidemment en extrapolant v = Ho d on peut toujours trouver une distance à laquelle v >c mais c'est vrai à tout moment. Il y a un truc qualitatif associé, c'est l'existence d'un horizon cosmologique (qui est au delà du CMB)
Dans l’absolu je ne vois pas bien si tu remets en cause le modèle (lien mess 5 que j’avoue ne pas avoir lu) ou si tu ne le comprends pas ? ou si je ne comprends pas ta question...
Trollus vulgaris
effectivement, c'est la seule qui soit directement proportionnelle au facteur d'échelle de l'Univers, donc la dérivée est bien égale à Ho fois la distance, mais cette distance ne correspond à rien de mesurable donc n'est pas utilisée. De plus on ne peut pas interpréter ça comme une "vitesse d'expansion de l'Univers",mais juste comme tu dis une vitesse de récession, qui dépend de la distance, et donc finit toujours par dépasser c à une certaine distance.
Voir ma réponse message 12, j’ai essayé de l’expliquer.
Dans l’absolu je ne vois pas bien si tu remets en cause le modèle (lien mess 5 que j’avoue ne pas avoir lu) ou si tu ne le comprends pas ? ou si je ne comprends pas ta question...[/QUOTE]
oui je remets en cause les modèles qui impliquent une variation de la vitesse de la lumière dans le vide, puisqu'avec la définition actuelle du mètre elle reste par définition constante.
je n'ai pas bien suivi l'histoire d'(h)exaspération, mais il est certain que la bonne orthographe du mot ne comporte pas de "h".
Il est vrai que l'orthographe des textes est souvent (h)exaspérante.
Ça y est, je vais encore me faire vilipender pour cause de hors sujet.
Salut,
Rien de mesurable certes mais elle est utilisée dans la «logique» du modèle puisque le redshift vaut z+1=Dc/Da où Da est la distance angulaire. Dc est donc déterminée par deux quantités mesurées, z et Da.
Certes, je n’ai rien dit d’autreDe plus on ne peut pas interpréter ça comme une "vitesse d'expansion de l'Univers",mais juste comme tu dis une vitesse de récession, qui dépend de la distance, et donc finit toujours par dépasser c à une certaine distance.
Il n’y a pas de «vitesse d’expansion de l’univers», juste un taux (variable).
Ok, donc tu remets en cause le lien mess 5 (je suppose) mais pas le modèle actuel, tout va bien
Trollus vulgaris