Bonjour
Je vais vous demander de l'indulgence (ce qui est déjà le cas). Mais pour l'instant la différence de niveau entre moi et les intervenants du forum est comparable celle d'un pianiste débutant qui essaie des notes et de les retranscrire avec beaucoup de difficultés sur une partition et un pianiste confirmé qui voit la musique sur la partition et qui la joue avec un très bon doigté sur le piano sans effort.
Alors c'est clair je ne remets pas du tout en cause la théorie restreinte. Elle a été prouvée par de multiples expériences. Paradoxalement pour moi je la trouve moins abordable que les images de la RG (grâce à vous et au concept de gelée d'espace-temps de Damour).
Cela concerne la vitesse de lumière. Il est dit qu'elle est constante dans le vide quel que soit le référentiel.
Si le référentiel est l'univers puis-je avoir comme référence le temps cosmique ?
Mais j'ai l'image d'un paradoxe (pour moi par pour vous). Je n'ai pas encore lu ou vu, dans mes livres de vulgarisations, un cas similaire. On a toujours le cas de la fusée qui émet un flash mais dans le même référentiel.
J'ai un vaisseau qui fonce en vitesse accélérée à 200 000 km/s je déclenche un laser qui va filer à 300 000 km/s devant moi. Donc comme j'approche une vitesse relativiste mes secondes sont dilatées.
Au passage je tangente pas trop loin un autre vaisseau qui va à une vitesse de 10 km/s et qui lui aussi dans le même maintenant et dans et la même direction émet un faisceau laser émis lui aussi à 300 00 km/s
Le problème pour c'est que ces secondes sont unitairement différentes du premier référentiel. Comment vont se comporter les deux faisceaux de lumière qui devraient être en desynchronisation du fait des deux référentiels différents.
Je pense que la géométrie joue son rôle ainsi que le cône de lumière. Mais pour le reste je ne vois pas la solution (qui doit peut-être tenir aux équations de Lorentz).
-----