Bonjour
Je vais essayer de reformuler ma question de mon précèdent fil. C'est vrai il y a tellement de notions qu'il est facile pour un amateur de se prendre les pieds dans le tapis et de dire des bêtises
L’énergie sombre a été pensée pour répondre à une accélération de l’expansion de l’univers 7,8 109 années après le » Big Bang. On a donc pensé qu’au-delà de l’expansion de l’univers venait s’ajouter une force supplémentaire qui aurait été l’énergie du vide quantique. Mais entre les calculs des cosmologistes et des physiciens des particule le « Gap » serait d’un ordre de grandeur de 10 120 car le vide intergalactique serait un simple vide non quantique. On considère aussi que cela correspond à la constante cosmologique Lambda d’Einstein.
La répartition de l’énergie/matière de l’univers donnerait les résultats suivants source Wikipédia CMB
68,3 % Energie Sombre
26,8 % matière Noire
4.9% matière ordinaire (oui c’est ordinaire du bas de gamme !!!)
Une première chose m'étonne (et ce n'est pas la seule) on compare une énergie supplémentaire avec une constante Lambda.
Au départ j'ai toujours appris cru que l'expansion de l'univers était due à lui seul : matière ou pas matière/rayonnement.
1er) question la constante lambda comprend-t-elle l'expansion propre de l'univers + une force supplémentaire qui accélèrerait le mouvement ou seulement une force supplémentaire qui accélèrerait le mouvement.
Dans le premier cas elle ne devrait pas être égale à l'énergie sombre mais à l'expansion propre de l'univers + énergie sombre ? En fait elle ne me semble rien expliquer mais constater. Je peux comprendre des soubresauts statistiques dans l'évolutions de l'univers qui a enflé d'un facteur mille. Mais au bout d'un certain temps la constante de Hubble devrait augmenter avec la dilution de la matière avec le temps. A moins qu'il y ait autre chose qui la fasse se stabiliser.
2) C'est une peu ironique si on prend la constante lambda dans la répartition Energie/matière/rayonnements on devrait enlever l'énergie sombre ? Est-ce exact ?
Faut reconnaitre qu'avant 1999 c'était plus facile un taux d'expansion constant, une singularité au départ.
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