Au contraire, les filles de cette expérience sont sensibles au stress, puisque sans la prétendue "machine", leurs résultats sont moins bons.
Le but de l'expérience était de mesurer la différence entre les filles et les garçons en conditions égales de stress : il a fallut pour cela "déstresser" les filles en leur faisant que croire que le stress qu'elles éprouvaient avait une origine exogène, ce qui les a, paradoxalement, tranquilisées. Et là, en conditions égales de stress, les filles ont eu d'aussi bons résultats.
L'expérience montre donc que les filles sont plus stressées par les maths que les garçons, ce qui est évidemment culturel.
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