Bonjour,
Je suis allé par hasard sur le site de Maurice Allais http://allais.maurice.free.fr/Genese.htm
Ses travaux, à l'en croire, et si je ne me méprends pas, prétendraient établir que C n'est pas une constante si constante que ça.
Pouvez-vous me dire si ces travaux ont été pris en considération ou ce qu'il y a lieu d'en penser ?
Un court extrait :
"Les extraordinaires et irréfragables régularités décelées dans les observations interférométriques de Dayton C. Miller 1925-1926, tout à fait inexplicables dans le cadre de la Théorie actuellement admise de la Relativité, se caractérisent par une très remarquable cohérence interne.
En fait, l'analyse présentée dans mon article de La Jaune et La Rouge d'octobre 2003 permet de répondre affirmativement et en toute certitude aux trois questions fondamentales :
1 - Les observations de Miller ne peuvent être attribuées à des causes fortuites, ou à des effets pervers, comme résultant de la température par exemple. Elles correspondent à une remarquable cohérence interne.
2 -La vitesse de la lumière par rapport à la Terre varie avec sa direction comme le démontrent les hodographes calculés de la vitesse observée d'après la formulation de Michelson.
3 - Des observations de Miller, il est possible de déduire la position de la Terre sur son orbite. (3)
Ces conclusions sont indépendantes de toute hypothèse et de toute analyse théorique que ce soit.
En fait, la presque totalité des résultats sur lesquels elles s'appuient, et tout particulièrement les plus significatifs, n'ont pas été aperçus par Miller.
Ainsi, au regard de l'analyse que j'ai présentée des observations de Miller, et tout particulièrement des ajustements elliptiques des hodographes et de leur configuration, il est certain qu'on ne peut pas soutenir que les expériences interférométriques donnent un résultat "négatif ", que la vitesse de la lumière par rapport à la Terre est invariante quelle que soit sa direction, et qu'aucune expérience purement terrestre ne peut déterminer la position de la Terre sur son orbite.
Ce sont là des conclusions incontournables. Le démenti donné par l'expérience est catégorique et sans appel.
Deux circonstances très remarquables doivent encore être soulignées :
Tout d'abord l'analyse des observations de Miller a mis en évidence une périodicité diurne sidérale pour les vitesses et les azimuts.
En second lieu un résultat tout à fait inattendu a été mis en évidence :
la perpendicularité des hodographes aux directions moyennes non nulles des azimuts.
Ce résultat est à la fois incompatible avec la théorie classique puisque les hodographes ne sont pas symétriques par rapport au méridien et avec la Théorie de la Relativité puisque les hodographes correspondent à une différence moyenne de vitesses de la lumière entre deux directions rectangulaires de l'ordre de 8 km/sec.
Cette différence de vitesse correspond à une différence relative de 8 / 300 000 = 2,67 10-5,
soit de l'ordre de 3. 10-5 de la vitesse de la lumière.
L'anisotropie de l'espace optique relativement à la Terre mise en évidence par les observations de Miller apparaît tout à fait inexplicable dans le cadre des théories actuellement admises.
L'apport de mes recherches sur les observations interférométriques de Miller.
Bien que d'une importance capitale, la validité des observations de Miller a été niée ou négligée, ou même totalement méconnue, par la presque totalité des commentateurs, en raison notamment de la domination absolue et obscurantiste qu'a exercée depuis un siècle la Théorie de la Relativité dans le monde des physiciens. (4)
Au total, non seulement la publication de mon article de La Jaune et la Rouge a été fondamentalement justifiée, mais l'avenir démontrera que par ses implications la découverte des extraordinaires régularités sous-jacentes aux observations de Miller correspond à une des plus importantes découvertes de ces cent dernières années."
Avec mes remerciements pour les éclairages que vous pourrez m'apporter.
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