Exemple complètement extravaguant.Danone a été suffisamment embété par les végétariens, juifs et musulman avec sa gélatine de porc caché dans les yaourts pour ne pas prendre cet exemple à la légère je trouve...
Moi je t'ai donné un exemple qui colle parfaitement à la situation : les producteurs de semences ont besoin de produire des lots de semence purs.
Comment font-ils à ton avis ? Ils laissent des marges de sécurité, plantent des haies, ne cultivent pas la même chose que leurs voisins etc...
Est-ce qu'ils prétendent interdire à leur voisins de cultiver ce qui les dérange ? Non : ce sont leurs exigences, pour des raisons personnelles, donc c'est à leurs frais.
Idem pour le bio : si certains veulent faire du 0% OGM, qu'ils se débrouillent. C'est à eux et à eux seul de payer leurs lubies.
Raté, c'est faux. La majorité des exploitations en OGM sont de petites exploitations (moins de 10 hectares), pas des usines.Etant donné que l'utilisation des OGM ne peut se faire que dans une agriculture industrielle
A coté de la plaque aussi : c'est bien joli tout ça, mais elle est où là la pollution ? Nulle part : aucune pollution n'a été mise en évidence.Après d'un point de vue purement "contrat social" sur le fait que les cultures exempts d'ogm devrait être plus cher je dirais simplement : pollueur payeur...
Donc non : ceux qui veulent du zéro % réclament un luxe, et le luxe, ça se paye. Prouvez donc qu'il y a des effets néfastes sur la santé et/ou l'environnement, et après seulement vous pourrez parler de pollution.
Non : justement ! De quel droit voudrais-tu empêcher un agriculteur qui le souhaite de cultiver des OGM ? Ta liberté s'arrête là où commence la sienne...et notamment là où commence sa propriété privée.Je pensais qu'un des fondements de notre mode de vie c'était que la liberté des uns s'arrête là où celle des autre commencent... mais on m'a peut être menti...
C'est assez désespérant quant on nous pose comme ça l'air de rien une question à laquelle on a déjà répondu plus de 10 fois sur ce même forum.Hum, je pensais que le but du maïs BT était justement de résister à des prédateur... Après une dissémination provoqué par l'homme et non par des dispositifs de réplication naturelle ça reste une dissémination... Ca change rien au niveau de l'érosion de la biodiversité. Tu peux me donner les plantes, animaux, micro-organisme, bref la biodiversité qui existent à l'intérieur d'un champs de maïs BT ?
Et bien non : tu as oublié de réfléchir au sujet.
1) Qu'est-ce que les cultures BT remlacent ? des cultures non-BT, mais traitée. Le BT remplace d'autres pesticides.
2) qu'a donc de particulier le BT ? il est d'origine naturelle, mais ça on s'en fiche. Surtout : il est est sélectif ! il ne tue que les insectes d'une famille ciblée (par exemple, les pyrales).
3) que se passe t'il donc par rapport à un traitement moins sélectif (par exemple la roténone, pas sélective du tout) ? Et bien on tue moins d'insectes, en ayant le même niveau de protection des plantes, cad en tuant autant d'insectes vraiment nuisibles.
Donc érosion de biodiversité ? Ah bon ? laquelle ? En quoi il y aurait érosion ? pourquoi ? Tu nous plaques ça comme si c'était évident, mais t'es tu au moins posé la question suivante : "qu'est-ce qui change par rapport à la biodiversité ?".
Cela te parait-il normal de balancer comme ça qu'il y a érosion de la biodiversité :
- sans même l'avoir constaté (la biodiversité, ça se "mesure").
- sans même avoir expliqué en quoi il devrait y en avoir une ?
Il y a un manque complet de logique là dedans. Un semblant de raisonnement, mais juste un semblant. Derrière, ça ne tient pas debout.En plus dans le cas de cette plante particulière ça fait quand même très longtemps que les liens entre sa culture et le manque de renouvellement des nappes phréatiques ont été mis à jour et pourtant on est toujours pas revenu à la culture de plantes autochtones (le maïs restant une plante tropicale avec tout ce que ça comporte)... C'est donc beaucoup plus compliqué que ça de "cesser de cultiver la plante en question".
Quand je parle d'arrêter la culture si elle pose un problème, je parle bien entendu de la culture de maïs BT. Pas de la culture de maïs. On ne va pas arrêter la culture du maïs parceque celle de maïs BT pose des problèmes de santé ou autre !!!
Renseignes toi donc un peu : tu crois vraiment que le labourage et le desherbage ont en tout et pour tout 60 ans ?!? On ne parle pas de l'arrachage des bocage et cie : ça c'est complètement autre chose.Toujours ? C'est un bien grand mot pour une période qui n'a même pas 60 ans...
C'était une décision politique, ce n'est pas l'agriculture l'auteur du remembrement, c'est l'état.
La définition même d'un champs, c'est un espace ou on réduit drastiquement la biodiversité pour que n'y soit présent qu'un faible nombre de végétaux d'intérêts.
Et ça n'a pas changé : tu vois beaucoup de canne à sucre dans le nord de la France ? Quant au maïs, il a été acclimaté avant qu'on puisse le cultiver chez nous.Depuis toujours l'agriculture a consisté à adapter les cultures aux sols et à l'écosystème autour d'elle
ça non plus ça n'a pas changé : on est rarement capable d'éradiquer complètement un ravageur...de lutte... pas d'éradication...
J'ai comme l'impression que tu es complètement à coté de la plaque concernant l'agriculture actuelle, et que tu t'en fais une image complètement surréaliste...
Raté : ils sont tout sauf ça.En théorie ça pourrait être le cas mais pas en pratique. Et c'est la pratique qui est évalué dans notre cas. Les connaissances que nous avons développé ne permettent pas la réactivité suffisante pour une utilisation en technique alternative même en labo. Les OGM doivent donc être jugé pour ce qu'ils sont : des outils à l'usage exclusif de l'agriculture conventionnelle
Ils sont notamment utilisés sans intrants dans certaines zones défavorisées (pas toujours avec succès d'ailleurs), et surtout, ils ont un pannel d'application énorme, de la sylviculture au pharmaceutique...
Et c'est toujours le même problème : tu prétends condamner le marteau au lieu de celui qui l'utilise pour frapper quelqu'un...
Quand bien même ce serait vrai, ça ne serait pas un argument : une vérité est une vérité, peu importe qui la prononce.il ne s'agit pas de procés. Mais il faut reconnaitre que les défenseurs des ogms sont et on été les auteurs de cette agriculture intensive
Votre "argumentation" est boiteuse ; vous croyez démontrer quelque chose en attanquant non pas votre cible, mais ceux qui la défendent, personnellement.
C'est ridicule.
On se fiche qu'untel qui défend les OGM fasse telle ou telle chose : ce qui compte, ce sont les effets de ces OGM, ce qu'ils permettent, ce qu'ils ne permettent pas, les risques potentiels engendrés etc...
Rien d'autre.
Et on se fiche complètement également que la majorité de ceux qui cultivent OGM le fassent en industriel - ce qui au passage est complètement faux - : ce n'est pas parceque j'utilise majoritairement mon portable sur secteur qu'il ne peut fonctionner que sur secteur.
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