Erreur effacée de ma part
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Erreur effacée de ma part
Non, mais elle abuse les autres. Ta définition est abusive car elle donne un sens à un mot qui n'est ni le sens habituel ni le sens dont tu fais usage par la suite. Tu joues avec les mots et tu joues même très mal.
C'est le cas de toute observation !!!! Et peu importe ici que "l'image" soit une vue partielle ou déformée du phénomène, ce qui compte c'est qu'elle permette une certaine observation du phénomène.
Je n'ai jamais, nul part, à aucun moment, affirmé que cette observation était le phénomène lui-même. Pas en une seule ligne d'un seul message.
Qui plus est, si c'était ton argument, tu n'aurais même pas du faire appel au "tout" ou à quoi que ce soit de ce genre puisque toute observation est indirecte.
Et c'est moi que oses qualifier de "mauvase foi"
Moi, ce n'est pas ce que je dirais.
Je répète. Presque chaque phrase de chacun de tes messages sont abusifs, imprécis, erronés, et j'en passe. C'est des salades de mots sans intérêt, sans valeur et sans aucune base scientifique ni même logique contrairement à tout ce que tu pourras dire. Je renonce à te le faire comprendre et je laisse les autres continuer s'ils le souhaitent.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonsoir,
Je ne comprend pas le pourquoi de la...crispation.
La science est bien l'étude des phénomènes non ?
Et les phénomènes sont bien des faits observables non ?
Pas l'étude des Nounours verts.
Je dis simplement que les phénomènes se manifestent en relation d'interdépendance. Ce que la science reconnait.
Et que si tel est la cas, les concepts d'essence, de substance, de réalité ultime, sont des chimères sans fondement et inutiles.
Il n'y a pas d'existants, il n'y a que des phénomènes, et les phénomènes impliquent nécessairement une relation entre un observateur et un phénomène observé.
A ce titre l'évocation d'une totalité, d'un univers, est une autre chimère, dénuée de tout fondement, puisque ne pouvant faire l'objet d'aucune observation. Si vous niez cela, vous niez l'évidence.
Personne n'a jamais observé l'univers.Nous n'avons jamais observé que des phénomènes, et effectuant des observations , des mesures, que nous avons synthétisé au sein de théories.
L'univers en tant que totalité n'est rien d'autre d'une étiquette, une désignation floue.
Où est le problème ?
Cordialement,
Quel lien entre les 2 phrases? Par rapport à quels faits objectifs précis?
Ah bon. Donc fermeture de toute discussion, puisque la conclusion est imposée par l'auteur du fil.
Pourquoi pas...
Ben si il n'y a pas de problème et que vous faites les questions et les réponses...on peut arrêter, alors?
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Mais si voyons il y a bien un problème : Dés l'instant où vous croyez à l'"existence du Nounours vert", vous faites naître dans votre discours un tas de paradoxes et de question insolubles..Ben si il n'y a pas de problème et que vous faites les questions et les réponses...on peut arrêter, alors?
- Qu'est-ce que l'esprit ?
- Qu'est-ce que l'énergie ?
- De quoi est faite la matière ?
- Quelle est la forme de l'univers ?
Dés lors que l'on nourrit le présupposé, de l'existence d'une réalité existentielle, on doit faire face au Nounours vert. A ces sempiternelles questions insolubles...
- La recherche devient exploration d'un réel doté d'une substance qu'on cherche à définir objectivement. Le présupposé de l'objectivité est bien l'idée de substance.
On évacue ainsi gaiement l'observateur du processus d'observation.
On crée tout un tas de dichotomies, à partir d'une hypothèse indécidable, de l'existence du Grand Nounours Vert...
Il ne s'agit pas de nier la réalité, mais de ne pas en faire une entité indépendante de l'observation. Tout phénomène dépend de l'observateur et de ses intentions, de sa manière d'interroger le monde en vue d'agir dans le monde.
L'observation n'est jamais neutre, jamais dénuée d'intentions, que faute d'examiner avec soins, nous reléguons dans des disciplines séparées.
Nous créons ainsi des cloisons étanches entre matière et information, entre corps et esprit, entre science et philosophie.
La croyance en l'idée de matière, est destructrice. Elle fait du monde un objet, elle crée un fossé angoissant entre le corps et l'esprit.
Hors la connaissance, est con-naissance, qui peut être interprétée comme le fait de "naître avec". Le sujet connaissant et l'objet de la connaissance, sont co-émergents.
Le connaitre, n'est pas connaissance de quoique-ce-soit. Mais une modélisation de notre relation au monde. Relation qui inclue notre attitude envers ce monde.
L'agir est fonction du connaitre. Le connaitre est action de modéliser les phénomènes en vue d'agir. Et on agit en vue d'un projet qui est de vivre, non d'être esclave d'un monde d'objets qui nous préoccupe, nous absorbe, nous rend esclave.
Cordialement,
C'est très gentils de nous avoir fait part de vos postulats, croyances et autres bidouillages de mots mais la question du fil ayant trouvé une réponse conne-ue, celui-ci est donc clos.