Bonjour,Envoyé par Kisscool67000
Comme le produit de la fusion (du moins celle-là) est de l'hélium, en effet cela ne pollue pas.
Salut.
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Bonjour,Envoyé par Kisscool67000Car la fusion nucléaire ne pollue pas, d'après ce qu'ils affirment.
Comme le produit de la fusion (du moins celle-là) est de l'hélium, en effet cela ne pollue pas.
Salut.
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Sur la fusion froide par sonoluminescence, ça va mal.
Si koffie anann se pointe en France pour visité un labo qui fait de la fusion froide tout le monde serait au courant? ET BA NON , nom du labo GIFNET et pour info AU LIEU DE DIRE DES BETISES SANS EN CONNAITRE LE FOND REGARDEZ CE REPORTAGE /Les Archives Oubliées - La Guerre De La Fusion Froide, ENSUITE LES LABORATOIRES DU CENTRE DE GUERRE NAVAL CONFIRME LA FUSION FROIDE ( melvin miles )
POUR MEMO EUGENE MALLOVE EST MORT QUELQUES SEMAINES AVANT DE FAIRE LA PRESENTATION MONDIAL DE LA FUSION FROIDE , bref avant de dire des betises renseignez vous
A oui , prenez 4 des plus grand scientifique mondialement connues, faite leurs dire que c'est faux , et tout le monde suivra comme un monton:
Fusion froide
Par cet article, je vais tenter de vous expliquer comment je perçois les processus de la fusion froide, c’est à dire la rencontre et fusion de deux atomes à quelques centaines de degrés comparée aux millions de degrés nécessaire pour la fusion chaude (étoiles, bombe H, ITER....)
Sachez que contrairement à ce que certains pourraient vous faire croire, la fusion froide ne contredit en rien les lois de la science officielle. Et voici pourquoi.
Premièrement, il n'y a pas création d'énergie à partir de rien. Mais transformation (transmutation) de nickel par exemple en cuivre par ajout d'un atome d'hydrogène avec perte de masse, donc dégagement d'énergie selon la célèbre formule E=mc2. (système E cat)
Deuxièmement, la température, c’est à dire l'agitation moyenne des atomes. Ce qui veut dire que si nous portions sur un graphique la vitesse de châques atomes, nous obtiendrions une courbe en forme de cloche (courbe de Gauss). Le sommet de la cloche étant la température observée. Plus nous nous éloignons du centre de la courbe, plus l'évènement devient rare. La mécanique quantique ne nous dit t'elle pas que rien n'est impossible, ce n'est qu'une question de probabilité, soit une question de temps.
La barrière coulomiène, c'est à dire la vitesse que doit avoir un atome pour vaincre cette force et permettre à deux atomes de fusionner est si grande qu'elle se trouve sur notre graphique, très très loin du centre de notre courbe pour température avoisinant quelques centaines de degrés mais n'est pas impossible. Cet évènement naturel est si rare qu'il passe quasi inaperçu à nos niveau de température. Le but des expériences actuelles, étant de nous débrouiller pour augmenter cette probabilité de fusion pour qu'elle devienne observable et que l'énergie qui s'en dégage auto-entretienne le système avec un léger surplus pour chauffer de l'eau par exemple sans toute fois s'emballer, sinon nous serions en face d'un système explosif du genre bombe H. Ce que nous savons déjà faire par ailleurs.
Comment donc augmenter le nombre d'atomes à grande vitesse ?
Si nous prenons un gaz, il y a peu d'atomes par unité de volume. D'autre par, il n'y a pas de direction privilégié, l'agitation est dans tout les sens. La méthode ne semble pas très bonne. Par contre si nous prenons des métaux, les atomes sont très serrés qui plus est pour certains, sont organisés sous forme de maillage, on dit cristallisé. Le palladium, le nickel ferons fort bien l'affaire.
Si notre nickel que nous avons choisi par exemple baigne dans un gaz d'hydrogène a une certaine pression, les atomes d'hydrogène étant très petits, un certains nombres s'immisceront dans le maillage du nickel et seront emprisonnés comme dans un tunnel que forme se maillage. Mais comme les atomes de ce nickel vibrent grâce à la température ambiante, ils vont se rapprocher ou s'éloigner de l'atome d'hydrogène prisonnier de ce pseudo couloir.
Les atomes de nickel se rapprochant lors de la première phase de vibration vont rétrécir le couloir et propulser l'atome d'hydrogène vers l'avant à cause de la force de répulsion, la ou les atomes de nickel contiguës aux atomes de nickel précédent vont s'écarter deuxième phase de vibration et offrir moins de résistance à l'atome d'hydrogène qui arrive. Ainsi de proche en proche, l'atome d'hydrogène va être propulsé et accéléré si tant soit peu les atomes de nickel vibrent de concert avec un léger décalage. Ce que je vais expliquer ci-après. En fait le réseau de nickel se comporte comme un canon magnétique (canon de Gauss).
Si maintenant se trouve en plein milieu du couloir un atome de nickel à cause de la brisure du maillage par exemple, celui-ci a de forte chance d'être violemment percuter par l’atome d'hydrogène accéléré. Et si sa vitesse est suffisante il va fusionner avec celui-ci.
Améliorons encore le système. Broyons notre nickel en poudre nanomètrique. C’est à dire que chaques grains de nickel feront quelques nanomètres et inférieur au micro mètre de diamètre. D'une part cela augmentera considérablement la surface d'admission des atomes d'hydrogènes, mais d'autre part une grande majorité de la dimension des grains ont la propriété d'être d'une demie longueur, longueur ou harmonique de la longueur d'onde du rayonnement émit par ceux-ci. C’est à dire dans l'infrarouge ou l'infrarouge plus lointain. Ceci à cause de la température de quelques centaines de degrés qui règne à l'intérieur de l'enceinte. Donc tous les grains respectant ces critères dimensionnels de longueur d'onde vont entrer en résonance.
C’est à dire que pour un grain, la progression du va-et-vient (décalage cité ci-avant ) de l'agitation atomique d'un bout à l'autre du grain va s'amplifier énormément. A l'image bien connue des soldats qui marchent sur un pont au pas et à cadence de résonance de ce pont lui-même. Celui-ci finit par s’écrouler tant les oscillations de ce pont deviennent importantes.
De tout ceci il en résulte donc une très forte accélération des atomes qui serait prisonnier de ce maillage. Et s'est bien ce que nous voulions.
Le contrôle du système. Nous pourrions craindre un emballement avec une élévation de la température incontrôlée. Hé bien non. Si la température s'élève trop, les particules de nickel vont commencer à fondrent. Donc le maillage va se déstructurer et les conditions bénéfiques s'amenuiser, les réactions de choc vont diminuer et la température chuter. La température chutant les grains vont se recristalliser et les réactions vont reprendre. Nous en déduisons donc que le système peut s'auto contrôler.
Si tout cela n'était pas encore suffisant, améliorons encore le système en ajoutant un adjuvant à notre soupe. Que serait le rôle de ce catalyseur qui faciliterait les réactions ?
A cause de la chaleur, du gaz d'hydrogène, des agitations en tout sens, les grains de nickel virevoltent dans toute l'enceinte. Ce qui à mon avis n'est pas optimal. Car les vitesses des grains de nickel pouvant atteindre quelque km/s dans lequel est en train d'être accéléré les atomes d'hydrogène, ceux-ci seront perturbées, surtout si ces vitesses sont radiales ou à contre sens les unes par rapport aux autres. Par exemple pour comprendre. Si vous accélérez avec votre voiture dans un tunnel et que celui-ci soit tout à coup déporté sur la droite, vous serez immédiatement projeté vers la gauche et irez racler le mur adverse, ce qui vous ralentirait énormément.
L'idéal donc serait de pouvoir figer les grains de nickel les uns contres les autres en les pressant au maximum et en les liant avec une colle (le catalyseur). Toute fois cette colle ne doit pas empêcher les hydrogènes de se mouvoir entre les grains de nickel pour pénétrer à l'intérieur de ceux-ci.
Autre avantage que l'on pourrait en tirer, est que si la liaison est solide ou rigide, il y a communication de vibration d'un grain à l'autre. Donc si les vibrations sont en phase, celle-ci apporte un gain supplémentaire en s'additionnent aux grains en contact. Cela pourrait suffire si les conditions ci-dessus n'était pas suffisantes. Par contre si ces vibrations sont en opposition de phase, elles se soustraient, ce qui n'est bien sur pas le but recherché. Mais vue la quantité d’énergie dégager lors d’un choc entraînant une fusion, il suffit qu’un nombre adéquat fusionnent pour entretenir le système et récupérer un surplus selon nos besoins.
En conclusion, j'en déduis que la fusion froide n'est pas une utopie, mais explicable et que si nous parvenons à optimiser tous les paramètres se serait une solution pour l'énergie du futur.
XXXXXXXXXXXXXXXXXXX
on peut rester poli aussi, et se renseigner sur ce qui se fait avec un minimum d'ouverture : E-cat, Brillouin, Defkalion entre autres. Si certains paraissent des charlatans ou des crank, d'autres paraissent bien plus sérieux et de grandes surprises pourraient arriver dans les mois ou années qui viennent. Il y a un moratoire implicite sur le sujet ici, mais j'ose espérer que la situation évoluera.
m@ch3
Dernière modification par obi76 ; 14/05/2012 à 10h57.
Never feed the troll after midnight!
########## supprimé j'ai demandé plusieurs une expérience que je pourrai reproduire et nada alors c'est du vent !
Dernière modification par JPL ; 12/05/2012 à 17h44.
tiens tu veux des expériences à reproduire : prends donc c'est public (mais en italien, regrettable)
http://www.22passi.it/downloads/atha...%20athanor.pdf
############ devenu inutile
m@ch3
Dernière modification par JPL ; 12/05/2012 à 17h43.
Never feed the troll after midnight!
Bonjours arxiv
Excuse moi, mais je ne comprend pas tes foudres d'impolitesses
Je ne fait que réveiller un sujet qui fait beaucoup de bruit actuellement
D'autre part, si tu lis la première phrase de mon post, je n'affirme rien. Je ne fais qu'exposer mon opignon personnelle, afin que d'autres foromeurs disent se qu'ils en pensent en ayant l'esprit ouvert et surtout de la courtoisie.
En science, tout n'a pas été découvert ou expliqué et heureusement
Dernière modification par JPL ; 12/05/2012 à 18h13.
Ca, c'est du sacré déterrage pour un sujet récemment abordé pour la nième fois.
http://forums.futura-sciences.com/de...on-froide.html
http://forums.futura-sciences.com/en...alisation.html
http://forums.futura-sciences.com/ph...-de-rossi.html
http://forums.futura-sciences.com/ac...on-froide.html
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Désolé on m'a traité de "porc" dans la rue alors que je ne sort pas ...Bonjours arxiv
Excuse moi, mais je ne comprend pas tes foudres d'impolitesses
Je ne fait que réveiller un sujet qui fait beaucoup de bruit actuellement
D'autre part, si tu lis la première phrase de mon post, je n'affirme rien. Je ne fais qu'exposer mon opignon personnelle, afin que d'autres foromeurs disent se qu'ils en pensent en ayant l'esprit ouvert et surtout de la courtoisie.
En science, tout n'a pas été découvert ou expliqué et heureusement
bref désolé mais le sujet m'intéresse ... enfin si ce n'est trop demander !
J'aimerais tirer un truc au clair. Je sais que la video du SPAWAR (Space and Naval Warfare Systems Command, US Navy) qui explique les expériences de fusion froide, ou plutot LENR (Low Energy Nuclear Reactions), a déjà été fournie sur le forum. Je la redonne : http://www.youtube.com/watch?v=VymhJCcNBBc
Mais est-ce que vous avez déjà le document équivalent à cette video ?
http://bisbee.net/wp/wp-content/uplo...MAY-9-2009.pdf
Ils expliquent pourquoi l'expérience de Pons and Fleischmann n'était pas stable et ont amélioré le processus pour qu'il soit plus fiable et nous dise page 67 :
> l'expérience est reproductible
> il y a beaucoup de référence sur ce sujet
> plusieurs expériences ont été répétées
> plusieurs produits nucléaires, incluant des neutrons ont été détectés
> les travaux sont en cours pour élaborer une théorie
> des groupes de scientifiques dans le monde ont répétés l’expérience
Tous leurs résultat sont présentés et j'ai du mal à croire que leur travail est douteux :/
Surtout que la NASA nous dit d'une étude qu'elle a ressorti de son placard à archive de 1989 :
http://www.grc.nasa.gov/WWW/sensors/PhySen/research.htm
Par exemple, Arxiv, tu demandes une expérience que tu pourrais reproduire : est-ce qu'il y a dans ce document le nécessaire ?Tests conducted at NASA Glenn Research Center in 1989 and elsewhere consistently show evidence of anomalous heat during gaseous loading and unloading of deuterium into and out of bulk palladium. At one time called “cold fusion,” now called “low-energy nuclear reactions” (LENR), such effects are now published in peer-reviewed journals and are gaining attention and mainstream respectability. The instrumentation expertise of NASA GRC is applied to improve the diagnostics for investigating the anomalous heat in LENR.
J'ai bien compris que ce truc ne peut pas fonctionner en théorie. Mais c'est ca qu'il faut, que ca fonctionne en théorie avant de constater que ca marche par l'observation et l'expérience ?
Qu'est ce qui se passe ?
BonjoursJ'aimerais tirer un truc au clair. Je sais que la video du SPAWAR (Space and Naval Warfare Systems Command, US Navy) qui explique les expériences de fusion froide, ou plutot LENR (Low Energy Nuclear Reactions), a déjà été fournie sur le forum. Je la redonne : http://www.youtube.com/watch?v=VymhJCcNBBc
Mais est-ce que vous avez déjà le document équivalent à cette video ?
http://bisbee.net/wp/wp-content/uplo...MAY-9-2009.pdf
Dommage que le PDF et la vidéo du SPAWAR ne soit pas en français.
Bien qu'étant un total néophyte en la matière, j'aurais put me faire une idée, surtout avec l'aide de mon frère qui travaille au CEA sur la physique des matériaux. Lui même et comme de plus en plus de scientifiques de part le monde, commencent à mettrent un bémol dans leur scepticisme.
Ce sujet à polémiques ne doit pas être enterré car il en promet, comme sur beaucoup d'autres forums par ailleurs.
Rappelez-vous, que la mécanique quantique ne l'interdit pas dans l'absolu (question de probabilités)
Pour info :
La fusion froide sur Chemical & Engineering News d'ACS :
reviving cold fusion (milieu de page, 3e colonne)
l'accès à l'article est payant malheureusement. Un court résumé est présent ici : http://www.e-catworld.com/2012/05/re...y-covers-lenr/
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Je ne sais pas avant d'investir (je ne suis pas très riche) j'aime bien m'assurer que les mesures efficaces seront possibles autrement dit je ne me lance plus dans des expériences en aveugle !
Sinon, un truc qui m'intrigue, on a déjà parlé des très hautes températures atteintes par la Z-machine, ce pourrait-il que un dégagement de chaleur en surplus soit quand même possible à basse température ? Pour rappel la Z-machine à mieux fonctionné en changeant les fils de platine de la striction magnétique par des fils en acier !
La réaction de JackCore est assez rigolote, surtout quand il a ouvert ce sujet quelques jours plus tôt :
http://forums.futura-sciences.com/de...ns-etudes.html
Une étude financée par l'industrie dans un domaine est forcément douteuse, alors que dans un autre domaine, on a du mal à croire que le travail est douteux.
La Z-machine c'est de la fusion chaude, on est dans la physique des plasma, donc une bestiole totalement différente de la fusion froide. Et puis je lis sur wiki que les fils étaient en tungstène et pas en platine (vu qu'il sont vaporisés, ça reviendrait vite cher le platine )Sinon, un truc qui m'intrigue, on a déjà parlé des très hautes températures atteintes par la Z-machine, ce pourrait-il que un dégagement de chaleur en surplus soit quand même possible à basse température ? Pour rappel la Z-machine à mieux fonctionné en changeant les fils de platine de la striction magnétique par des fils en acier !
Avec la pollution sur Internet, nous rentrons vraiment dans un monde de folie, c'est incroyable ce que des labos sont prêts à faire pour obtenir des crédits.Ils expliquent pourquoi l'expérience de Pons and Fleischmann n'était pas stable et ont amélioré le processus pour qu'il soit plus fiable et nous dise page 67 :
> l'expérience est reproductible
> il y a beaucoup de référence sur ce sujet
> plusieurs expériences ont été répétées
> plusieurs produits nucléaires, incluant des neutrons ont été détectés
> les travaux sont en cours pour élaborer une théorie
> des groupes de scientifiques dans le monde ont répétés l’expérience
Qu'est ce qui se passe ?
Comment peut on croire et essayer de faire croire, qu'une réaction qui nécessite une énergie incidente de plusieurs KeV peut se produire par cumul dans une substance chimique où l'énergie de mouvement reste de quelques meV.
Je voudrais faire une petite remarque sur les produits nucléaires obtenus : sur les photos de détections mises dans le document, certaines sont clairement truquées.
Comprendre c'est être capable de faire.
Je ne veux pas être vache, mais sans lire l'anglais scientifique, je me demande bien d'où vous sortez la matière pour nourrir votre long laïus précédent. Avoir les compétences pour discuter de la technique, mais pas celles nécessaire pour prendre connaissance des travaux réalisés sur le sujet, ça serait quand même curieux.Dommage que le PDF et la vidéo du SPAWAR ne soit pas en français.
Bien qu'étant un total néophyte en la matière, j'aurais put me faire une idée, surtout avec l'aide de mon frère qui travaille au CEA sur la physique des matériaux.
Je pense que la spécialité, physique des matériaux, ne sera pas suffisante à elle seule pour se faire une opinion. Il faudrait des connaissances sur le nucléaire et les détecteurs de particules:Bien qu'étant un total néophyte en la matière, j'aurais put me faire une idée, surtout avec l'aide de mon frère qui travaille au CEA sur la physique des matériaux. Lui même et comme de plus en plus de scientifiques de part le monde, commencent à mettrent un bémol dans leur scepticisme.
Si c'est le cas , il suffirait de lui montrer les expériences de détection dans le document SPAWAR cité.
Certaines images me paraissent très retouchées.
Comprendre c'est être capable de faire.
BonjourJe ne veux pas être vache, mais sans lire l'anglais scientifique, je me demande bien d'où vous sortez la matière pour nourrir votre long laïus précédent. Avoir les compétences pour discuter de la technique, mais pas celles nécessaire pour prendre connaissance des travaux réalisés sur le sujet, ça serait quand même curieux.
Hé oui, il y a de quoi s'étonner, l'anglais m'échappe. De plus je ne suis pas un scientifique, pire encore je n'ai pas fait beaucoup d'études.
D'ou je sort la matière pour nourrir mon long laïus précédent? comme vous dite
De mon esprit.
Je ne suis ni pour ni contre la fusion froide, je me pose simplement la question: et si c'était vrai.
Comment pourrais-je bien l'expliquer au niveau atomique en langage simple sans verbiage de spécialiste de manière compréhensible par tout un chacun, c'est à dire les personnes de mon niveau. Il est fort probable que je me plante, mais j'ai pris les précautions d'usages, voir première phrase du laïus
Il n'est pas forcé d'avoir un énorme bagage scientifique pour comprendre ou tenter de comprendre le monde qui nous entoure.Par cet article, je vais tenter de vous expliquer comment je perçois les processus de la fusion froide
Je vais essayer de vous toucher un point sur lequel les intervenants ont été trop discrets. En évitant un verbiage de spécialiste.
L'énergie de la fusion apparait pour 20% dans l'énergie des noyaux d'hélium produits, et pour 80% dans les neutrons rayonnés. Cette dernière énergie apparaitra dans le blindage entourant l'expérience.
Les expériences décrites se font sans blindage apparent, donc pour quelques joules thermiques mesurées, les opérateurs auraient du se prendre à l'extérieur une dose conséquente.
Les mesures décrivent quelques détections de neutrons ?
La fusion considérée comme énergie "propre" est une énergie propre toute relative. Les produits directs ne sont pas radioactifs, mais le rayonnement créera une foule de radio éléments dans les structures du réacteur.
Comprendre c'est être capable de faire.
vous faites sacrément erreur, il faut des années d'études et encore plus de réflexions afin de "décanter" ce qu'on a appris pour comprendre un peu en profondeur le monde. C'est regrettable mais c'est comme ça.
“I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman
Vous parlez d'hélium, donc d'un gaz, soit peu d'atomes par unite de volume.
Moi je parle de nickel trés compacté qui plus est lié par la colle (catalyseur)
Donc les chances que les neutrons rayonnés soit absorber par un nickel sont beaucoup plus grande, non ?
ça semble sans importance, vu que la réaction qui serait à l'oeuvre dans les réacteurs Nickel-Hydrogène proposés par les divers acteurs du domaine ne produit pas de neutrons. Ce serait une fusion nickel-hydrogène qui produiraient du cuivre.Vous parlez d'hélium, donc d'un gaz, soit peu d'atomes par unite de volume.
Moi je parle de nickel trés compacté qui plus est lié par la colle (catalyseur)
Donc les chances que les neutrons rayonnés soit absorber par un nickel sont beaucoup plus grande, non ?
m@ch3
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Curieux que ce sujet n'aie pas encore été fermé!
Peut être parce qu'il se passe vraiment quelque chose de nouveau.
Merci à Roro pour tes explications. (Je préfère ça à la tour en ballons à l'hélium !)
Il semble qu'un peu partout dans le monde des laboratoires se lancent dans la recherche sur la "fusion froide". Le professeur Biberian à l'université de Luminy à Marseille a engagé lui aussi des expériences.
On ne sait pas trop où en est Andréa Rossi et son Ecat. La société grecque Defkalion est en train de faire tester certains prototypes par des chercheurs indépendants, ils affirment pouvoir commercialiser leur système dans le courant de l'année.
Ce serait bien que Futura garde au moins ce sujet ouvert, tout en empêchant les dérives trop fantaisistes, pour mieux comprendre ce qu'il se passe.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Bonjour
Justement ce professeur Biberian, il y a quelques temps est venus voir mon frangin du CEA dans son labo, pour qu'il lui fasse des dépôts de palladium sur des électrodes sans plus d'explications. Depuis plus de nouvelles.
Quant à mon frangin il ne préfère pas aborder le sujet, d'une part il n'a pas assé d'éléments, d'autre part, il ne veut pas créer de problèmes dans son groupe, et je le comprends.
Ce n'est pas ce qui et mis dans le rapport : sont citées les réactions de noyau légers D-D et D-T qui produisent des neutrons.
Les réactions sont écrites dans le rapport et ce dernier prétend avoir détecté quelques neutrons ?
Comprendre c'est être capable de faire.
Sauf le SPAWAR n'est pas un industriel. La NASA non plus. Et à preuve du contraire cette découverte / recherche / étude n'a aucune influence sur notre santé, à l'heure actuelle. Et enfin, ces agences n'ont jamais été accusées d'avoir truqué la moindre étude il me semble ?!?Envoyé par TryssUne étude financée par l'industrie dans un domaine est forcément douteuse, alors que dans un autre domaine, on a du mal à croire que le travail est douteux.
Ha ben si. Photos truquées ? Mais lesquelles ? Cela mériterait, si ce n'est une démonstration, au moins une explication ...Envoyé par Phys4Je voudrais faire une petite remarque sur les produits nucléaires obtenus : sur les photos de détections mises dans le document, certaines sont clairement truquées.
nous ne parlons pas du même prototype. Je parlais des réactions ayant lieu dans les réacteurs type E-cat ou hyperion, que roro semble avoir essayé de décrire dans sa longue prose il y a une vingtaine de messages.Ce n'est pas ce qui et mis dans le rapport : sont citées les réactions de noyau légers D-D et D-T qui produisent des neutrons.
Les réactions sont écrites dans le rapport et ce dernier prétend avoir détecté quelques neutrons ?
m@ch3
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