La seule information que j'ai lu sur ce point concernait un laboratoire de zététique désireux d'étudier le phénomène. Mais ils ne trouvaient pas de volontaires malgré leur appel.
Je ne retrouve plus le lien.
Bonjour à tous, voilà on a eu une discution sur les coupeurs de feu.
J'expliquais mon point de vue comme quoi c'était de l'autosuggestion et du placebo encore plus quand j'ai appris dernièrement que selon le stade de la brûlure , les recepteurs sensitifs pouvais être touchés et qu'une disparition de douleur en une à deux heure relativement subite était absolument normale.
Cependant y'a t'il des études de faites ou quoi que ce soit à se mettre sous la dent pour alimenter le débat, que ce soit d'un côté ou de l'autre ?
Merci beaucoup je n'ai pas trouvé grand chose !
Bonne journée !
Bjr à toi,
Va donc voir cette discussion:
http://forums.futura-sciences.com/de...-lhopital.html
Pour qu'il y ait autosuggestion reste à savoir qui à subi une brulure!
Je doute qu'un enfantde qq années soit capable de " s'autosugestionner " et SI ( conditionnel ) ça marche on doit
l'attribuer...à quoi ? ( certainement pas l'autosuggestion !)
Bonne soirée
Fusion avec un fil sur le même sujet commencé en section "santé".( messages 34 et 35)
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Rachmaninoff
Bonjour,
Ici on a une fusion de l'effet placebo avec son jumeau maléfique : l'effet nocebo
...
Concernant les coupeurs de feu, j'ai entendu dans une conférence de zététique de Florent Martin sur Youtube une explication qui ressemblait à ça :
Il y a quatre degrés de brûlure.
Le 1er c'est le coup de soleil.
Le 2e est douloureux mais passe au bout d'une heure.
Le 3e et 4e sont indolores mais ça veut alors dire que les nerfs sont touchés et qu'il y a gravité... et dans ce cas là on ne fait pas appel à un coupeur de feu.
Quand une personne se présente avec une brûlure douloureuse à l’hôpital, elle a déjà passé sa brûlure sous l'eau, puis fait le trajet jusqu'à l’hôpital... la douleur finit donc par disparaître pile au moment où on appelle un coupeur de feu, ou dans les minutes qui suivent son "intervention".
Bonjour,
Qu'on s'occupe de lui est suffisant (et le changement provoqué par cet exercice incongru dans un contexte hospitalier peut suffire). L'effet placebo est attesté sur certains animaux (notamment domestiques et d'élevage) et les nourrissons (ce qui est rassurant : ce n'est pas une conséquence de notre éducation et il faut remonter à un ancêtre commun lointain pour voir apparaître ce trait de l'évolution).Pour revenir au cas du bambin brûlé (2 ans, le petit bout) , il est évident que ça ne pouvait pas lui apporter le moindre réconfort ou soutient psycho placébo magique et touti-quanti, il n'avait pas conscience ce qui se tramait à l'autre bout du fil. Tout au plus ça pouvait aider les parents à surmonter un sentiment de culpabilité.
source : "Le mystère du placebo" de P. Lemoine.
Jusqu'à un peu plus de deux ans j'ai calmé tous les petits bobos quotidiens de mes enfants en leur mettant la main droite sous l'eau froide. Impressionnant ce qu'une main droite sous l'eau froide peut faire sur un gros choc au genou... Cela me permettait de voir s'il fallait prendre le bobo au sérieux ou non, en les calmant et en pouvant les ausculter un peu (toucher l'endroit du bobo pour voir s'ils sautaient au plafond, par exemple). Après deux ans, c'est eux-mêmes qui allaient se mettre la main sous l'eau froide tout seuls ; ils ont arrêté vers 4 ans.
Dernière modification par phuphus ; 09/03/2018 à 22h35.
Sans prendre position, l'effet placébo pour certains traitements anti-épileptiques chez l'enfant est supérieur à 10 ou 15% (de mémoire) et sur les antalgiques, comme l'adulte (entre 30 et 80%).
A noter que l'effet psychologique d'une prise en charge est l'effet psychologique d'une prise en charge et l'effet placébo, on ne sait pas ce que c'est même si cet effet psychologique peut y être inclus...