Ca illustre bien ma remarque ci-dessus : si on choisit ce genre de mesure , et pas d'interdire les voitures, ça semble découler d'une analyse bénéfice-risque raisonnable. interdire totalement les voitures serait bien plus efficace contre la pollution, mais les inconvénients sont jugés bien trop importants pour qu'on l'applique. Alors que pour ces mesures, le bénéfice est moindre, mais elles apparaissent comme supportables.
En revanche ce n'est pas évident qu'une telle attitude rationnelle ait bien été suivie dans le cas du glyphosate, ni d'ailleurs dans d'autres cas très médiatiques de politique publique.
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