pour ma part, les scientifiques sont expert, et dans un processus politique qui équivaut à un jugement
- il est préférable de ne pas être juge et partie, mais de s'en tenir à son expertise,
- sans quoi, l'expertise seras suspecté de quoi ou qu'est-ce et de biais plus ou moins manifeste, dont celui, fort simple, d'être partie prenante
donc, le scientifique "sage" seras se tenir à distance de l'arène politique, à moins de n'être plus considéré que comme un politique et de voir sa parole dégradée.
l'autorité que représente la science est celle de hautes-compétence dans un domaine défini, souvent assez précis aujourd'hui.
- alors, l'on peux sans doute poser des constats de haute-fiabilités, démontrer et extraire les causes à une évènementialité...
- mais comme de toujours soigneusement éviter de sortir de son domaine de compétence.
le politique est d'un autre ordre, celui de convaincre, pas de juger de la teneur et de la probabilité des faits.
car convaincre implique de pouvoir choisir les faits pour un combat politique donnée, plutôt que de ne dire, que ce qui est manifestement dicible.
rétablir les faits contre le politique, débunker à l'envie les uns et les autres, si cela est à portée; œuvre de salubrité publique...
- sinon, comme pour toute sortie, toute publications, vos pairs risquent de vous le faire doucement sentir. (voir c.Alègre)
et pour finir faut-il rajouter que l'Anthropocène, concept fumeusement politique, géologiquement parlant,
- ne saurais jamais être plus qu'une vague silhouette anthropomorphe tracé à la craie noire entre deux "vraies" ère géologique.
- une simple limite carbonée et riche de composé chimique rare... le reste des civilisations de l'animal de le plus intelligent n'ayant jamais existé... enfin, après ceux qui étudierons cette fameuse couche dans une centaine de millions d'années
-----