Sinon, pour revenir à la question d'origine, j'ai pensé à une solution bien "roots" pour que le tore du smarmeter voie le courant qu'on veut lui faire voir (et donc l'obliger à imposer à la borne de recharge la puissance qu'on veut...)
Une petit transformateur (de récupération si possible) avec un primaire 230V dont on se sera débarrassé du secondaire et que l'on aura rebobiné avec quelques spires (une ou deux...) en grosse section. Ce secondaire est branché en court-circuit à travers le tore du smartmeter (en faisant plusieurs tours si nécessaire, c'est à ajuster...)
Le primaire est alimenté à travers un simple gradateur à retard de phase (le truc pour les lampadaires halogène de salon)
Avec un peu de chance, il y'a moyen de faire croire ainsi au tore de mesure qu'il est traversé par tout une plage de courant possible sans consommer réellement grand chose.
Le gradateur peut être fait directement avec l'arduino et un triac / optotriac (sans ZC), c'est pas les exemples qui manquent sur le net
Sinon les chinois doivent bien faire des gradateurs de ce type avec une commande en 0-10V ou 0-5V qui sera donc piloté directement par une sortie PWM de l'arduino.
Sinon encore plus roots (dédicasse à Chaillot Barnabé) un servomoteur de modélisme (composant très utilisé dans le monde arduino) qui agit sur le potentiomètre du gradateur...
Après, une communication en modbus directement avec la borne de recharge serait quand même beaucoup plus élégante, mais bon, y a des solutions bidouilles...
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