Pour résumer mon intervention, je dirais avoir expérimenté une réduction de la vitesse dans ces deux niveaux, celui de mon métabolisme et celui de mon rapport à l’environnement.
Pour le premier en éliminant le sucre rapide (raffiné ou concentré) de mon alimentation et de l’autre l’adoption d’une utilisation partagée du pétrole raffiné (diésel et essence) dans mon rapport environnemental. Ce partage est la mise en commun de véhicules ou d’outils motorisés, ce qui dans un contexte communautaire réduit l’usage a l’essentiel, a ce qui sert l’ensemble de la communauté.
En réduisant ma consommation de sucre aux sucres présents dans les fruits et légumes sous la forme rapide ou lente, mon organisme s’est transformé et a cessé de m’avertir de mes dépassements passés par la disparition de symptômes qui me harcelaient depuis des dizaines d’années.
J’ai réalisé que plusieurs de ces symptômes en apparence non apparentés à l’ingestion de sucre l’étaient .J’ai aussi cessé toute consommation d’alcool, une forme de sucre, ce qui ne fut pas très difficile vu que je n’étais pas un habitué. Plusieurs “maladies mentales” seraient en fait les conséquences de cette surconsommation de sucre., de même que l’acidification de l.’organisme qui amène des problèmes variés comme l’arthrite, l’usure prématurée des articulations, les ulcères, les désordres intestinaux, le cancer et j’en passe.
Pour ceux qui sont intéressés par les statistiques, la surconsommation de sucre raffiné ou concentré est une conséquences du boom industriel issu de l’usage des énergies fossiles, une forme de sucre minéral dont la forme brute est le charbon et la raffinée l’essence. Nous avons donc assisté en parallèle à l’augmentation de la consommation de ces deux sucres, l’un pour l’usage des machines et l’autre pour l’alimentation humaine et animale.
Si j’ai parlé des mathématiques fractales et de leur parenté avec la manière de relier ensemble plusieurs échelles qu’utilisait les anciens, dont les chinois, c’est pour expliquer que, selon moi, la relation entre rapport au corps et rapport à l’environnement ne sont que deux aspects d’un même problème de surconsommation et qu pour régler l’un il faut aussi travailler sur l’autre.
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