Bonjour,
j'essaie une reformulation que j'espère moins foireuse...
Pour faire simple, considérant le "principe identitaire" comme prédominant à la conscience à l'état dit "de veille" on a:
-Création d'une identité espace.
-Création d'une identité temps.
-Reconsidération de cette identité en une identité double, relationnelle, mutuellement dépendante.
Et ceci est indépendant de toute théorie, notre principe de fonctionnement d'identification est une mesure donc une métrique, qu'ensuite nous théorisons. La théorie n'est finalement que la recherche d'une unité de mesure pour obtenir un rapport expressif intelligible entre diverses identités.
Dans l'identité "espace-temps", le couple espace et temps est considéré comme une "égalité identitaire proportionnelle", on a besoin du temps pour exprimer l'espace et réciproquement.
Si l'on considère l'identité "espace-temps" comme un segment de ce genre (E) I------A------I (T) alors (A) est ici le point médium représentant cette égalité. Entendons nous bien, je parle ici d'un rapport identitaire qualitatif et non quantitatif.
Mais rien n'oblige ce rapport à être toujours fixe et égalitaire et (A), qui est un "point de vue", peut se mouvoir et donc modifier le rapport qualitatif entre (E) et (T).
Or, j'estime que la mobilité de (A) au niveau qualitatif n'est pas respecté et ce dés la relativité restreinte. En effet, supposons un cas extrême où (A) est au maximum dans la direction de (E) [(E) IA------------I (T)], alors dans la relation identitaire qualitative "espace-temps", les qualités premières exprimées, mise en avant, seront de type "espace". Ce qui signifie du point de vue identitaire que les contraintes en rapport avec l'identité "temps" sont assouplies.
Mais ceci n'est pas possible en la théorie de la relativité du fait des "invariances relativistes" et notamment l'obligation pour (E) de respecter la causalité temporelle imposée par (T).
Pour que cela soit possible, il faudrait pouvoir exprimer (E) dans un espace-temps plus souple que celui de Minkowski qui autorise la mobilité du point de vue (A) vers (E), c'est à dire un espace-temps qui reconnaît que dans certains cas, les propriétés identitaires de (E) prévalent sur les propriétés de (T); c'est à dire encore, qui accepte une "autorité" identitaire de (E) sur (T) comme dans un rapport de dominant-dominé.
Dans la théorie comme dans l'expérience, cela doit se traduire comme une possibilité pour (E) de ne pas respecter l'invariance temporelle, la causalité. Cela doit aussi se traduire dans un espace-temps relevant non pas d'une métrique unitaire spatio-temporel (où en plus le temps est imaginaire) mais adjoint de deux métriques, une d'espace, une de temps. Et ce sont ces deux métriques qui devront êtres invariantes et ce en vue de respecter les propriétés qualitatives des identités conformément au "principe identitaire" auquel nous sommes humainement astreints .
Là où je coince, c'est que dans mes très maigres connaissances de la physique, je ne sais pas quel espace-temps autre que celui de Minkowski pourrait être utilisé...
Est-ce plus clair comme ça ?
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