Bonsoir,
un doute noueux m'entortille et m'assaille soudain :
Logicien comédien, usant de l'absurde pour éveiller aux sciences abstraites et fondamentales, je tâche de rédiger, à plusieurs, une charte de la pensée critique...
Et voici que j'autorise le doute et l'expression, que j'exige du vrai qu'il soit prouvé, les preuves recoupées, etc.
L'idée ici n'est pas tant de débattre sur la légitimité ou non du doute systématique (celui là aussi qui permet le négationisme...) que de s'interroger sur la place du doute dans l'esprit humain et sur ce qu'il va considérer comme étant une preuve, où le vrai se place-t-il finalement ?
Qu'est-ce qui fait qu'on peut être convaincu d'une chose, à priori complètement fausse par exemple ?
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