Paradoxe : Des livres différents et pourtant identiques

[inviteccac9361]

Vous pouvez être aussi grossier et insultant que vous le voulez, tant que vous croirez que la définition des nombres premiers n'est pas objective, ces insultes me sont un miel !

Je ne crois rien du tout, j'affirme qu'elle est objective.... pour le mathématicien.

Une fois de plus, votre message indigeste est totalement hors-sujet ! Peut-être le comprendrez-vous un jour, ce n'est plus mon problème, mais le votre !

Prenez le temps qu'il vous faut dans ce cas.
Vous ne pouvez et affirmer qu'il est indigeste (incompris en 15 minutes c'est assez évident) et qu'il est hors sujet, c'est une question de logique.
Je ne vois pas bien par ailleurs ce qui vous parait indigeste.
Les reflexions des spécialistes proposées en références ou le fait que le message en contient plusieurs ?
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[invite6754323456711]

Je ne crois rien du tout, j'affirme qu'elle est objective.... pour le mathématicien.

Dans ce contexte l'objectivité je la comprend plutôt du fait du caractère purement syntaxique. Un nombre premier est un entier naturel.

Patrick

[inviteccac9361]

Dans ce contexte l'objectivité je la comprend plutôt du fait du caractère purement syntaxique. Un nombre premier est un entier naturel.

C'est pris dans ce sens que la mathématique, quel que soit son contenu, ne peut que s'avérer objective vis à vis de ses objets, puisqu'elle est elle-même créatrice de ses objets idéaux.

Dire "un chat est un chat", pris dans son sens syntaxique correspond à une objectivité maximale, naturelle, puisque dans ce cas de figure il n'est pas question du chat en tant qu'animal mais "du chat" qui correspond à l'objet défini.
Il est possible de changer la définition du chat de manière aussi arbitraire que l'on veut, l'objet idéal mathématique est par nature conjoint à sa définition.

[invite6754323456711]

Dire "un chat est un chat", pris dans son sens syntaxique correspond à une objectivité maximale, naturelle, puisque dans ce cas de figure il n'est pas question du chat en tant qu'animal mais "du chat" qui correspond à l'objet défini.
Il est possible de changer la définition du chat de manière aussi arbitraire que l'on veut, l'objet idéal mathématique est par nature conjoint à sa définition.

Il peut être intéressant d'ouvrir un nouveau fil sur ce sujet : Des gens comme Giuseppe Longo semble s'y intéresser.

Patrick

[invite51d17075]

en vous relisant, je repense à ce que j'avais écrit:

depuis que l'introduction du "sens" est intervenu, la méthodologie logique est devenue difficile à définir de manière non univoque pour tous.
....
il y a comme un mélange d'analyse logique formelle avec de l'interprétation conceptuelle.
melange, qui de mon point de vue est peu soluble et fait des grumeaux..

ce que j'avait pressenti ( 2ème page je crois ) c'est revelé flagrant par la suite dans l'incompréhension douloureuse avec Myoper par exemple
je ne defends pas ici une approche logicienne par principe par rapport à une approche linguistique, mais c'est la seule ici qui permet de parler ensemble de la même chose.

cordialement.

[invite6f9dc52a]

En fait, à partir du moment ou, par définition, il est posé que le sujet est objectif et, n'oublions pas, le développement logique, quelles que soient les propositions (mathématiques ou autres, d'ailleurs), il n'y a rien a ajouter mais on pourrait tout aussi bien poser comme proposition que, par définition, l'auteur à toujours raison et les autres ont toujours tort, quelles que soient les arguments (pour affirmer ce genre de choses, il est inutile de mettre des références, il suffit de l'écrire, comme beaucoup d'autres le font, ne serait-ce que sur ce forum).
Ça ne va pas faire avancer grand chose mais c'est une bonne façon d'assoir une supériorité vis à vis de son miroir (quoique...).




Edit, je répond ici aux messages de Xoxopixo.

[JPL]

Le sujet est clos.