Peut on faire plus juste constat?Elles concerne la recherche de compréhension dans les notions d'expliquer, décrire et prédire. Je me suis juste arrêté sur expliquer. Si on attend d'une théorie physique explication, je dit juste que la déception va être inévitable si on refuse la métaphysique qui va avec.
Patrick]
Bonsoir,Je n’ai aucun intérêt particulier à le défendre, mais il distingue bien entre les deux justement.
Sur ce site du CNRS, on peut lire par exemple :
J'espere que tu as remarqué qu il y a des guillemets. Le probléme est qu il y a des jargons de métiers qui ne se préoccupent pas de la rigueur sémantique, l'essentiel étant de se comprendre entre gens de métier.
Ce qui interfere ce sont des amplitudes de probabilité, ce qui est correcte. Ceci est souvent décrit par le fait que le photon passe par plusieurs chemins a la fois ( il interfere avec lui-même) ce qui est strictement faux car en MQ il n y a pas de trajectoires, ni de particules non plus.
Mais c’est ce langage qui a cours, pas un autre. On est donc bien obligé de faire avec tant que les "gens de métier" n’en proposent pas un nouveau. Et c’est bien en cela que depuis le début du fil de discussion, je (on) leur demande de faire preuve d’imagination et de créativité.
Toujours ce débat sur la manière de s’exprimer. Et pour le moment nous devons faire avec les habitudes ancrées chez et par les spécialistes.Ce qui interfere ce sont des amplitudes de probabilité, ce qui est correcte. Ceci est souvent décrit par le fait que le photon passe par plusieurs chemins a la fois ( il interfere avec lui-même) ce qui est strictement faux car en MQ il n y a pas de trajectoires, ni de particules non plus.
Quand et avec qui aurons-nous du neuf si l’épistémologie n’est pas mieux prise en compte.
Dernière modification par Les Terres Bleues ; 09/03/2014 à 18h43.
Le langage c'est l'espace des états et la notion de fonction de transition (amplitude de transition) entre deux états avec la difficulté soulevé par Amanuensis "découpage d'un système en sous-systèmes indépendants pose problème".
Le terme “état” possédé un contenu empirique : il renvoie à l’ensemble des procédures expérimentales utilisées pour préparer l’“ ́etat” initial et détecter l’“ ́etat” final. Ensuite on l'exprime dans un langage plus formel ou L’ ́etat d’un système quantique est représente par un vecteur, normé à l’unité, d’un espace de Hilbert H, appelé “espace des ́etats” du système.
L’amplitude de transition entre deux états est donnée par le produit scalaire des vecteurs correspondants.
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 09/03/2014 à 19h47.
Bonjour,Mais c’est ce langage qui a cours, pas un autre. On est donc bien obligé de faire avec tant que les "gens de métier" n’en proposent pas un nouveau. Et c’est bien en cela que depuis le début du fil de discussion, je (on) leur demande de faire preuve d’imagination et de créativité.
Toujours ce débat sur la manière de s’exprimer. Et pour le moment nous devons faire avec les habitudes ancrées chez et par les spécialistes.
Quand et avec qui aurons-nous du neuf si l’épistémologie n’est pas mieux prise en compte.
Malheureusement il n y a aucune chance que la communauté des physiciens changent leurs (mauvaises) habitudes. Jean Marc-Levy-Leblond avait bien essayé en proposant le mot QUANTON en lieu et place de particules, mais personne n'a suivi.
Ceux qui pratiquent la MQ se comprennent et cela Même empéche toute "évolution" du vocabulaire.
Encore que s'agissant des principes de la MQ ce n'est pas catastrophique au regard de la physique de la matiêre condensée ou le chariabia est sans limites.
Bonjour,
Ca c'est correcte.
Non il n y a pas de probleme ( pas plus qu'en mécanique classique)avec la difficulté soulevé par Amanuensis "découpage d'un système en sous-systèmes indépendants pose problème".
Ton texte est a l'envers. Il faut ecrire d'abord ce que tu as écrit apres ton expression ensuite: "on l'exprime....Le terme “état” possédé un contenu empirique : il renvoie à l’ensemble des procédures expérimentales utilisées pour préparer l’“ ́etat” initial et détecter l’“ ́etat” final. Ensuite on l'exprime dans un langage plus formel ou L’ ́etat d’un système quantique est représente par un vecteur, normé à l’unité, d’un espace de Hilbert H, appelé “espace des ́etats” du système.
L’amplitude de transition entre deux états est donnée par le produit scalaire des vecteurs correspondants.
Patrick
Par contre la plupart du temps on ne prépare pas les systémes par des mesures quantiques ( on fait cela uniquement dans des expériences basiques pour expliquer la MQ). Cela a pour conséquences que les mesures courantes sont rattachées a des moyennes quantiques déterminées par l'element de matrices:
<F|M|F> ou |M> est l'etat du systéme et M est l'opérateur associé à la mesure.
Se contenter de remplacer un mot par un autre ne peut pas servir à faire avancer l’idée que ce sont de nouveaux concepts qui demandent à être créés.
Comme d’habitude, je me demande si je parviens bien à me faire comprendre.
Ce dont nous avons besoin certes, c’est d’avoir un nouveau vocabulaire, mais surtout une nouvelle façon de nous représenter la matière et l’Univers. Quelque chose qui soit à la hauteur du changement qu’appelle la Mécanique quantique, quelque chose comme une révolution épistémologique.
Ni ondes, ni particules, absence de toute trajectoire… Il y a une marge énorme de créativité à laisser s’exprimer.Ceux qui pratiquent la MQ se comprennent et cela Même empéche toute "évolution" du vocabulaire.
Dans l’espace des états du système, l’optimisme trouve sa raison d’être.
Je ne veux pas penser que des physiciens qui sont avant tout des humains et pas des machines se satisfassent vraiment du « Tais-toi et calcule ! »Encore que s’agissant des principes de la MQ ce n’est pas catastrophique au regard de la physique de la matiêre condensée ou le chariabia est sans limites.
Haut-les-cœurs et en avant.
John Carlos Baez ecrit :
Son site http://math.ucr.edu/home/baez/An important goal of the enterprise of physics is to describe, not just one physical system at a time, but also how a large complicated system can be built out of smaller simpler ones. The simplest case is a so-called `joint system': a system built out of two separate parts. Our experience with the everyday world leads us to believe that to specify the state of a joint system, it is necessary and sufficient to specify states of its two parts. (Here and in what follows, by `states' we always mean what physicists call `pure states'.) In other words, a state of the joint system is just an ordered pair of states of its parts. So, if the first part has S as its set of states, and the second part has T as its set of states, the joint system has the cartesian product S X T as its set of states.
One of the more shocking discoveries of the twentieth century is that this is wrong. In both classical and quantum physics, given states of each part we get a state of the joint system. But only in classical physics is every state of the joint system of this form! In quantum physics are also `entangled' states, which can only be described as superpositions of states of this form. The reason is that in quantum theory, the states of a system are no longer described by a set, but by a Hilbert space. Moreover -- and this is really an extra assumption -- the states of a joint system are described not by the cartesian product of Hilbert spaces, but by their tensor product.
Patrick
La question de fond qui revient indirectement sans cesse est :
Comment vulgariser la MQ, et est-ce possible sans la dénaturer profondément. ?
Sur la forme , cela revient à un nième débat ou le physicien dit que les formules se suffisent à elle-même, et de l’autre, de dire qu’elle ne veulent rien dire ( n’expriment rien d’intelligible )..
Pour avoir fait un peu de science, je reconnais qu’un scientifique ( par abstraction ) peut lire une équation et qu’en tant que telle, elle fait sens.
En revanche la ramener par explication à un ensemble se rattachant à nos sens primaux :
Les notions d’objets , forces , dimensions macroscopiques, …… liés à nos échelles, me semble très difficile.
Ce qui est plus troublant, c’est que ce domaine interroge beaucoup plus les philosophe que d’autres tels que la cosmologie.
L’hypothèse d’un « univers chiffonné » par exemple ne semble intéresser aucun philosophe.
Alors pourquoi cette focalisation ? ( question au sens premier )
Parce que philosophiquement, l’infiniment petit serait une sorte de « graal » ?
Étant donné un système quantique dont l'espace des états est H, quel critère permet de déterminer si c'est un espace décrivant la réunion de deux systèmes dont chacun a des propriétés pouvant être déterminées par une mesure sur le seul sous-système?Non il n y a pas de probleme ( pas plus qu'en mécanique classique)
Dernière modification par Amanuensis ; 10/03/2014 à 13h45.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Je retiens l’hypothèse que c’est parce que c’est de "ça" que nous sommes faits (notre corps, notre cerveau, notre proche environnement et même le lointain etc.).
c'est possible.
je dit possible, parceque (fort heureusement )par exemple la biologie n'a pas attendue la MQ pour avancer.
Oui, l’accent ne semble pas être mis sur cette question, et heureusement parce qu’on semble encore bien loin de savoir écrire la fonction d’onde d’un être vivant, même le plus petit.
Il n’est qu’à voir la discussion en parallèle sur ce même fil qui soulève la question de savoir la différence entre le produit cartésien et le produit tensoriel de deux sous-systèmes.
La jonction entre macro et micro semble encore hors de portée. Pourtant, c’est bien vers là qu’on se dirige, du moins, vers là qu’on devrait se diriger.
Pour continue sur ce sous-sujet, la remarque est intéressante quand on constate qu'on nous explique régulièrement que mesurer un côté dans une expérience EPR n'est pas une mesure concernant l'état d'une des particules (qui serait un sous-système), mais concernant l'état du système intriqué uniquement.Non il n y a pas de probleme ( pas plus qu'en mécanique classique)
Ce qui amène la question inverse de la précédente: supposons qu'on soit en présence d'un "sous-système" d'un système intriqué, mais qu'on ne le sache pas (1). Par exemple un électron ou un "photon" émis par une "boîte" dont on ne sait pas si elle les émet par paires intriquées ou comme des particules "indépendantes".
(1) D'une certaine manière, c'est quasiment toujours le cas!
Comment savoir si on mesure l'état de la particule ou celle d'un système intriqué auquel elle appartiendrait? Comment savoir donc à quel "objet" s'applique la mesure?
Notons que dans le cas classique, la question ne pose pas de problème. Non pas qu'il n'y aurait pas de "système intriqué". Car si on prend un système isolé S dont on connaît le référentiel du centre de masse, et qui est composé de deux sous-parties, on sait que mesurer la quantité de mouvement de l'une dans ce référentiel mesure indirectement aussi la quantité de mouvement de l'autre: à ce sens le système est "intriqué". Mais il n'y a pas d'ambiguïté sur l'objet mesuré: on mesure bien le sous-système, et on exploite une information obtenue indépendamment (le référentiel du centre de masse) pour en déduire la quantité de mouvement de l'autre. Quand au système, sa quantité de mouvement est sue comme nulle dans le référentiel, par hypothèse. Si on peut dire qu'on a mesuré le système S, c'est parce qu'on a mesuré un de ses sous-systèmes, pas de difficulté.
Dernière modification par Amanuensis ; 10/03/2014 à 18h27.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
C’est ça qui m’interroge.
Je ne suis pas philosophe, et pourtant l’origine de la vie m’interpelle d’avantage qu’une recherche d’interprétation « naturelle » de la MQ.
Juste un mot sur ce point.Se contenter de remplacer un mot par un autre ne peut pas servir à faire avancer l’idée que ce sont de nouveaux concepts qui demandent à être créés.
Comme d’habitude, je me demande si je parviens bien à me faire comprendre.
Ce dont nous avons besoin certes, c’est d’avoir un nouveau vocabulaire, mais surtout une nouvelle façon de nous représenter la matière et l’Univers.
.
Il ne s’agit pas de remplacer des mots, mais d’en créer afin justement d’expliciter qu’il s’agit d’un nouveau concept.
Tu dis toi-même « ni ondes, ni particules » (donc un vide de concept intelligible en quelque sorte)
Dans toute l’histoire des sciences les nouveaux concepts ont été « illustrés » par un nouveau vocabulaire. (voire même une nouvelle syntaxe parfois).
Atome, particules,lepon ,bozons,quarks, cellule, virus, gravitation, électro-magnétisme ( en un seul mot )……
Une tentative : http://www.influxus.eu/numeros/logiq...ique-classique
Patrick
Comment savoir à l’avance si la réponse à l’une de ces deux questions ne va pas entraîner la réponse à l’autre ?
Avec la Mécanique quantique, nous allons de surprise en surprise. Alors…
Quatre-vingts ans après la Mécanique quantique, peut-être est-il enfin venu le temps de franchir le pas, de faire notre révolution conceptuelle, d’oser un nouveau paradigme.Il ne s’agit pas de remplacer des mots, mais d’en créer afin justement d’expliciter qu’il s’agit d’un nouveau concept.
Tu dis toi-même « ni ondes, ni particules » (donc un vide de concept intelligible en quelque sorte)
Dans toute l’histoire des sciences les nouveaux concepts ont été « illustrés » par un nouveau vocabulaire. (voire même une nouvelle syntaxe parfois).
Bernard d’Espagnat, Hervé Zwirn, Carlo Rovelli, Michel Bitbol et tant d’autres y travaillent.
Oui, oui, c’est qu’ils disent : osons.
Mais osons quoi ?
Parcequ’il y a un gouffre entre dénoncer et proposer .
Et j’espère qu’on ne profite pas de ce sujet pour recommencer un nième débat sur Bitbol.
( en tout cas, je déserte en ce cas )
Pour ce qui est du premier point, la problématique est totalement différente.
Pour l’origine de la vie , on a même pas de modèle, ce n’est pas une question d’interprétation.
cordialement.
Je crains fort que cela ne soit pas possible, par rapport à la Charte.
Il n’y a actuellement aucune explication nouvelle qui fasse consensus.
Le troll actif sur ce forum est maintenant prévenu. Qu’il se le tienne pour dit !Et j’espère qu’on ne profite pas de ce sujet pour recommencer un nième débat sur Bitbol.
( en tout cas, je déserte en ce cas )
Une nouvelle compréhension de la physique quantique peut carrément changer la donne.Pour ce qui est du premier point, la problématique est totalement différente.
Pour l’origine de la vie , on a même pas de modèle, ce n’est pas une question d’interprétation.
Mais c’est toujours la même problématique, on ne peut pas en parler.
Il faut essayer et réessayer. Bravo ! Mais là, ça me semble encore un peu loin de compte.Une tentative : http://www.influxus.eu/numeros/logiq...ique-classique
Bonjour,
Justement le mot QUANTON est là pour exprimé un nouveau concept. Ce n'est pas une équivalence de vocabulaire. J'ai justement pour dire qu en MQ il n y a pas de particules (c'est un concept classique).
LA MQ c'est un changement de paradigme. La preuve toutes les discussions philosophiques sur Futura.Ce dont nous avons besoin certes, c’est d’avoir un nouveau vocabulaire, mais surtout une nouvelle façon de nous représenter la matière et l’Univers. Quelque chose qui soit à la hauteur du changement qu’appelle la Mécanique quantique, quelque chose comme une révolution épistémologique.
Encore une fois sur quoi se fonde -tu pour affirmer que les physiciens calculent et rien d'autres. C'est une pure affirmation, que certains pourraient prendre pour une insulte.Je ne veux pas penser que des physiciens qui sont avant tout des humains et pas des machines se satisfassent vraiment du « Tais-toi et calcule ! »
Haut-les-cœurs et en avant.
Bonjour,La question de fond qui revient indirectement sans cesse est :
Comment vulgariser la MQ, et est-ce possible sans la dénaturer profondément. ?
Sur la forme , cela revient à un nième débat ou le physicien dit que les formules se suffisent à elle-même, et de l’autre, de dire qu’elle ne veulent rien dire ( n’expriment rien d’intelligible )..
Pour avoir fait un peu de science, je reconnais qu’un scientifique ( par abstraction ) peut lire une équation et qu’en tant que telle, elle fait sens.
En revanche la ramener par explication à un ensemble se rattachant à nos sens primaux :
Les notions d’objets , forces , dimensions macroscopiques, …… liés à nos échelles, me semble très difficile.
Ce qui est plus troublant, c’est que ce domaine interroge beaucoup plus les philosophe que d’autres tels que la cosmologie.
L’hypothèse d’un « univers chiffonné » par exemple ne semble intéresser aucun philosophe.
Alors pourquoi cette focalisation ? ( question au sens premier )
Parce que philosophiquement, l’infiniment petit serait une sorte de « graal » ?
Ce qui est bizarre est que certains "philosophes" demandent une révolution épistémologique qui rendrait la MQ compréhensible a notre échelle. Cela revient a dire qu ils refusent tout simplement la révolution conceptuelle, paradigmatique de la MQ. Ils n y voient que du calcul.
Bonjour,
Il y a dans ta question une problématique générale, mais je crois que tu fais référence a l'expérience EPR.
Il faut savoir que dans ce genre d'expérience il est très difficile de créer des paires intriqués de photons, une manière de dire que cela n'a rien de "naturel".
Supposons que l'on a une source de paires de photons intriqués (rouge et bleu).
1- Si un seul expérimentateur (bleu par exemple) effectue des mesures il trouve une loi de probabilité standard notée A en rapport avec la source d'émission.
2- Si les 2 expérimentateurs effectuent des mesures dans des conditions expérimentales déterminées ils trouvent une loi de distribution jointe (c'est en principe le but de la manip)
3- Ta question porte sur le cas où la mesure de bleu (comme en 1) se fait sans savoir qu il y a une mesure de rouge juste avant. Dans ce cas il va trouver une autre loi de probabilité notée B différente de la loi A. Dans ce cas connaissant les caractéristiques de la source bleu-rouge, mais ignorant qu il y a un mesureur de rouge, il va développer un modèle qui va être en contradiction avec l'expérience.
En effet l'expérience avec ou sans mesure de rouge sont en fait 2 expériences radicalement différentes. donc son désaccord théorie expérience vient du fait que son modèle de l expérimentation est tout simplement erroné.
En pratique le mesureur clandestin rouge ne pourra pas modifier la loi de probabilité du mesureur de bleu car les mesures de rouge et de bleu porteraient sur des photons rouge et bleu non intriqués car ne faisant pas partie de la même paire. Une façon de dire que ce n'est pas facile de caractériser des paires intriquées.
Pour quoi faire et sur qu'elle base. Encore une fois la MQ est un nouveau paradigme irréductible a un langage vernaculaire.
Mettre sur le même pied d'Espagnat , Rovelli avec Bitbol c'est manquer de discernement ou pire d'inculture.[
Bernard d’Espagnat, Hervé Zwirn, Carlo Rovelli, Michel Bitbol et tant d’autres y travaillent.
Bonjour
Le langage et les concepts que nous utilisons usuellement ont été crées pour le monde macroscopique.
Nous comprenons , parce que nous les voyons et les utilisons tous les jours ce que sont des objets ou des ondes.
Mais qui se représente clairement une entité qui n'est ni onde ni particule?
Qui peut comprendre vraiment le phénomène d'intrication.
Pour aborder tous ces sujets il n' y a qu'un seul moyen honnête : les mathématiques, toute tentative avec des mots est vouée à l'échec.
Je n'ai jamais trouvé un livre de vulgarisation de la MQ, sans mathématiques assez poussées, qui soit véritablement satisfaisant.
Ca finit toujours par ressembler à un roman fumeux de science fiction.
En effet, la vision classique du monde est adoptée (donc vécue) par une écrasante majorité de personnes.
C’est effectivement sur de telles questions que l’accent doit porter, et c’est de la philo.Mais qui se représente clairement une entité qui n’est ni onde ni particule?
Qui peut comprendre vraiment le phénomène d’intrication.
Ah bon... Et quelles sont donc (formules) ces lois A et B qui devraient être différentes?3- Ta question porte sur le cas où la mesure de bleu (comme en 1) se fait sans savoir qu il y a une mesure de rouge juste avant. Dans ce cas il va trouver une autre loi de probabilité notée B différente de la loi A. Dans ce cas connaissant les caractéristiques de la source bleu-rouge, mais ignorant qu il y a un mesureur de rouge, il va développer un modèle qui va être en contradiction avec l'expérience.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Au moyen de quel appareil macroscopique génère-t-on un quanton ?
Et comment le mesure-t-on ensuite ?
Et quel changement ! Puisqu’il conduit à une révolution épistémologique encore jamais vue.LA MQ c’est un changement de paradigme.
Il ne s’agit pas de douces divagations, mais bien d’un questionnement de fond.La preuve toutes les discussions philosophiques sur Futura.
Qui donc a déclaré : « Shut up and calculate ! » ? Et qui le met en œuvre ensuite ?Encore une fois sur quoi se fonde -tu pour affirmer que les physiciens calculent et rien d’autres. C’est une pure affirmation, que certains pourraient prendre pour une insulte.
Qui donc a déclaré : « Shut up and calculate ! » ? Et qui le met en œuvre ensuite ?
Irréductible en vertu de quel critère ?
Vous pouvez critiquer les idées pas les personnes !Mettre sur le même pied d’Espagnat , Rovelli avec Bitbol c’est manquer de discernement ou pire d’inculture.
Qui manque d’inculture ?
Le collège de physique et philosophie permet à chacune et à chacun de consulter ses débats.