Le réalisme scientifique n'est qu'une des formes de réalisme.
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Le réalisme scientifique n'est qu'une des formes de réalisme.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
On peut ne pas utiliser le mot"infini" et le substituer par "sans fin".C'est une opinion possible. L'autre l'est aussi.
Représenter? Non. Mais écrire "progression infinie" et construire une phrase avec, oui. C'est d'ailleurs applicable à tous les infinis
Ceci dit, ma phrase originale, "Et rien ne permet d'affirmer que cette progression ait une fin. " n'utilisait pas le mot "infini". Ou encore, même s'il y a une fin, on ne saura jamais (on ne pourra jamais affirmer) si on aura atteint ou pas cette fin, et ce même si on l'aura atteinte.
Mais je ne vois pas très bien de différence notable.
Mais nous avons déja discuté de ça , il me semble.
Concernant l'universalité de la conscience dans les etres humains, animaux, les objets, etc...c'est une idée deja ancienne et qui me parait de plus en plus interessante.Ma façon de représenter cette progression est semblable à celle que proposait le cosmologiste anglais, Stephen Hawking: notre univers est un bébé univers. J’irai même plus loin. Je prétends qu’un beau matin, tout bonnement et sans faire de bruit, l’univers prendra tellement conscience de lui-même qu’il cessera de grandir et de s’étendre. Et, comme par hasard, c’est exactement ce qui se passe aussi dans l’univers humain. En effet, le cerveau se stabilise aussi un moment donné, subitement, durant son expansion. Cet arrêt marque la fin de la multiplication des cellules gliales et des neurones. Cet état d’équilibre et de stabilité se fait entre les âges de trois et six ans dans la majorité des cas et cela correspond justement à l’âge où un enfant débute son identification et prend conscience de lui-même, selon les plus récentes observations de la science de la psychologie. Par ailleurs, les plus récentes photos graphiques générées par ordinateur montrant le positionnement d’un grand nombre de galaxies et d’amas de galaxies ressemblent étrangement et curieusement à la géométrie de nos petits neurones du cerveau.
Lorsque des phénomènes non expliqués sont observés, nous préférons souvent nous en remettre à ce que nous appelons le hasard, ou à la Mécanique Quantique. Tous les mouvements de la vie qui échappent à notre conscience, nous les regroupons sous le mot hasard. Si tout est relié (c’est un a priori, je sais), rien ne peut arriver au hasard. Tout serait prévisible lorsque tous les éléments constituant un événement sont connus. Et si finalement tout était question de conscience et tout dans l’univers avait une conscience aussi? Si oui, cela veut dire qu’une simple roche ou même une étoile possèderait une conscience. L’ensemble de la constitution atomique d’une roche et celle d’une étoile permettraient d’exprimer une conscience qui leur est propre. Bien entendu, cette conscience n’est pas comparable à celle de l’humain, mais ce serait tout de même une conscience. À mon avis, c’est la conscience, cette force mystérieuse, qui unit Tout dans Rien. C’est Tout.
Bonjour.Il faudra "qu'il" ait une conscience, il faudra "qu'il" puisse prendre conscience de "ça", il faudra "qu'il" ait envie de faire précisément ce que vous décrivez, il faudra "qu'il" puisse le faire, il faudra "qu'il" ait toujours envie de le faire, il faudra "qu'il" le fasse, il faudra "qu'il" n'ait pas envie ensuite de revenir en arrière, il faudra "qu'il" n'ait pas envie de faire autre chose... Bref: abracadabra !Ma façon de représenter cette progression est semblable à celle que proposait le cosmologiste anglais, Stephen Hawking: notre univers est un bébé univers. J’irai même plus loin. Je prétends qu’un beau matin, tout bonnement et sans faire de bruit, l’univers prendra tellement conscience de lui-même qu’il cessera de grandir et de s’étendre.
J'ai du mal à voir comment, hormis en donnant un caractère proprement magique à la conscience, elle puisse apparaitre dans des objets normaux. Bref, du domaine de la religion (=animisme), pas de la science.
Sans borne (on peut toujours aller plus loin) = infini potentiel
Pas pareil que infini actuel (une infinité de "choses" sont contemplées ensemble).
Dans le cas d'espèce, supposer qu'on pourra toujours trouver une théorie "plus fine" que celle dont on dispose se contente d'un infini potentiel. Supposer une réalité qui serait entièrement décrite (et qu'on ne pourrait décrire complètement(1) que) "en passant à la limite" évoque un infini actuel.
(1) Comme un objet fractal, genre ensemble de Mandelbrot.
Et je ne parlais ni de l'un ni de l'autre, juste de l'impossibilité de savoir si la théorie courante est la plus fine possible, même en supposant qu'elle l'est (cas "fini" et non "infini").
Et comme dit ensuite, tout cela ne prend sens que dans le cadre de l'hypothèse du réalisme scientifique, ce qu'on n'est pas obligé de choisir. (La négation du réalisme scientifique consiste à faire l'hypothèse que la "nature" ne peut pas être réduite complètement à une théorie scientifique développée par les humains, quelle qu'elle soit.)
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Tres (Terriblement rationnel et sérieux) !
Plus sérieusement, je ne me prends jamais au sérieux, mais j’écris sérieusement. En fait, ma dernière intervention avait pour but d’offrir une « porte de sortie » à ces discussions sur la réalité qui tournent souvent en rond.
Je dirais même plus, je la trouve séduisante et très élégante.
Tout est question de définition. Pour rester dans le monde de la science, il suffirait de trouver une nouvelle définition à la conscience, avec des critères objectifs et opératoires, qui inclut Tout (matière inerte et matière vivante), et le tour serait joué.
Suivant cette approche, ce n’est pas un problème puisque, par définition, Tout aurait une conscience donc, nécessairement, l’univers est conscient.
Du point de vue de la conscience humaine, j’admets qu’il est extrêmement difficile de se projeter dans la « tête d’un bébé univers » et de s’imaginer ses réactions, il y va de soi. En revanche, il me semble évident qu’il n’y ait jamais eu une « quelconque intention » de notre part lorsque nous avons tous et toutes pris soudainement conscience de notre existence. Cet événement marquant de notre enfance, ce « déplafonnement de la conscience » que j’appelle, est arrivé tout bonnement, comme ça, sans prévenir. Nous n’étions qu’un témoin privilégié de cette formidable découverte de soi, rien de plus. Toutefois, une des conséquences alarmantes de cette vision des choses est que le libre arbitre n’existerait pas, ouch!il faudra "qu'il" puisse prendre conscience de "ça", il faudra "qu'il" ait envie de faire précisément ce que vous décrivez, il faudra "qu'il" puisse le faire, il faudra "qu'il" ait toujours envie de le faire, il faudra "qu'il" le fasse, il faudra "qu'il" n'ait pas envie ensuite de revenir en arrière, il faudra "qu'il" n'ait pas envie de faire autre chose...
Il n’y a pas plus grand magicien que celui qui a atteint une paix intérieure globale.
Celui qui ne meurt pas avant de mourir est perdu quand il meurt. (Jacob Boehme)
Bonjour,
Pour moi cette question est de nature paradoxale. J'ai une tendance intuitive à penser que la résolution de paradoxes se résout souvent (voir toujours ) dans un principe cyclique. Attention je ne dit pas que c'est le seul principe à considérer dans la résolution de paradoxes. Si on arrive déjà à prouver la possibilité que je viens d'émettre, j'ai quelques autres principes en réserve.
N'étant pas en mesure de prouver ce que j'avance, si vous avez des idées, ma discussion se trouve ici => Relation entre paradoxe et cycle ?
Concernant le paradoxe réalité / illusion, je ne crois pas qu'on le soit actuellement en mesure de le résoudre (ou du moins, le prouver)
Cordialement
Vous parlez pour vous et vous vous prenez pour l'univers que vous pensez bébé... ben, heureusement que la psychanalyse n'est pas une science...
À ce que je sache, je ne suis pas schizophrène… moi non plus, moi non plus, moi non plus… moi si !
En l’an deux mille, peu après son prix Nobel, le psychiatre américain et chercheur en neuroscience Eric Richard Kandel disait : « L’enjeu pour les psychanalystes est de devenir des participants actifs dans la difficile tentative jointe de la biologie et de la psychologie, incluant la psychanalyse, de comprendre l’esprit. Si cette transformation dans le climat intellectuel de la psychanalyse doit advenir, et je crois qu’elle le doit, les instituts de psychanalyse eux-mêmes doivent cesser d’être des écoles de vocations – des corporations, comme elles l’étaient – pour devenir des centres de recherche. » Personnellement, je suis d’accord avec lui.
Celui qui ne meurt pas avant de mourir est perdu quand il meurt. (Jacob Boehme)
Tout ce qu'on peut constater et quoi qu'en pense ce Nobel pour « avoir décrit les bases moléculaires de la mémoire à court terme et à long terme » qui n'a strictement rien à voir avec la psychanalyse, c'est que du point de vue scientifique, non seulement ce n'est pas le cas, mais ça n'a pas avancé depuis... environ 1896...À ce que je sache, je ne suis pas schizophrène… moi non plus, moi non plus, moi non plus… moi si !
En l’an deux mille, peu après son prix Nobel, le psychiatre américain et chercheur en neuroscience Eric Richard Kandel disait : « L’enjeu pour les psychanalystes est de devenir des participants actifs dans la difficile tentative jointe de la biologie et de la psychologie, incluant la psychanalyse, de comprendre l’esprit. Si cette transformation dans le climat intellectuel de la psychanalyse doit advenir, et je crois qu’elle le doit, les instituts de psychanalyse eux-mêmes doivent cesser d’être des écoles de vocations – des corporations, comme elles l’étaient – pour devenir des centres de recherche. » Personnellement, je suis d’accord avec lui.
Il semblerai que la science ai ses limites...Tout ce qu'on peut constater et quoi qu'en pense ce Nobel pour « avoir décrit les bases moléculaires de la mémoire à court terme et à long terme » qui n'a strictement rien à voir avec la psychanalyse, c'est que du point de vue scientifique, non seulement ce n'est pas le cas, mais ça n'a pas avancé depuis... environ 1896...
Unir la psychanalyse ou la psychologie analytique à la science, c'est comme tenter la grande unification en physique théorique.
Il y a des forums qui réfléchissent là-dessus, concernant la Psychologie avec un grand P ?
Par ici vous aurez moins d'avis négatifs : http://www.jeuxvideo.com/forums.htm
À trop se fier à son sixième sens, on finit par ne se fier à rien.
Euh, www.jeuxvideo.com, n'est pas sérieux du tout et sans véritable approche logique...donc ça ne m'intéresse pas....
Certes moins négatif pour vous, mais concernant mais attentes citées justes précédemment, ça l'est beaucoup plus pour moi...
La psychologie est scientifique mais pas la psychanalyse, ce n'est pas donc une "grande unification" de spécialités scientifiques comme en physique théorique. Ce serait alors comme réunir la magie à la physique ; aucun intérêt.
Vous avez raison, je dois surement être un peu myope pour être passé à côté de ça...
La psychologie est scientifique?
Ca , c'est votre opinion, mais d'autres soutiennent l'opinion contraire.
Pouvez vous démontrer rigoureusement votre affirmation?
Il n'y a rien à démontrer, par construction ou définition, c'est une spécialité scientifique, au même titre que la physique ou la biologie.
Ceux qui ne sont pas d'accord devraient d'abord savoir de quoi ils parlent.
Pourquoi diable la psychologie ne serait pas une science ?
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Est ce une science exacte?
vous pourrez m'expliquer aussi , s'il vous plait comment on fait pour écrire neuro gros comme ça?
Dernière modification par invite21348749873 ; 18/08/2014 à 14h07.
Il me semble que des tensions se sont accentuées depuis mon dernier post...
Peut être faudrait-il faire un travail d'introspection ?
La psychologie utilise- t-elle ou pas des valeurs "morales" ou dépendantes à des degré divers de l'expérimentateur?
Et est ce qu'il existe des théorèmes en psychologie?
Il ne faut pas confondre la psychologie en tant que domaine scientifique et la pratique de la psychologie qui se fonde dessus.
Comme je ne connais que la version mathématique du théorème, je ne peux pas répondre en ce qui concerne la psychologie.