Souhaitons que d'autres intervenants puissent répondre.
On peut voir aussi cette discussion pour la psychologie.
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
La psychologie est bel et bien une science.
Mais il est vrai qu'elle a une image faussée ... en grande partie à cause de la psychanalyse.
Ce sont 2 choses bien différentes mais comme la psychanalyse a été beaucoup enseignée dans les universités de psychologie, les 2 sont souvent assimilées.
La psychologie (non psychanalytique) n'a rien à voir avec ce qu'on peut lire des pseudo-psychologues dans "psychologie magazine" ou le courrier du cœur de votre canard préféré.
La pratique de la psychologie, y compris clinique ne doit pas s'accommoder des analyses et interprétations sauvages qu'on lit souvent dès lors que les auteurs s'inspirent de la théorie psychanalytique.
Intéressez- vous aux recherches en neuro-psychologie, en psychologie sociale, psychologie cognitive, psychologie développementale … et vous verrez que la démarche est bien scientifique.
C’est dans ces moments là qu’on leur dit merci à papy Freud et à Tonton Lacan…
Mais est ce qu'une démarche scientifique dans une activité fait de cette activité une science?La psychologie est bel et bien une science.
Mais il est vrai qu'elle a une image faussée ... en grande partie à cause de la psychanalyse.
Ce sont 2 choses bien différentes mais comme la psychanalyse a été beaucoup enseignée dans les universités de psychologie, les 2 sont souvent assimilées.
La psychologie (non psychanalytique) n'a rien à voir avec ce qu'on peut lire des pseudo-psychologues dans "psychologie magazine" ou le courrier du cœur de votre canard préféré.
La pratique de la psychologie, y compris clinique ne doit pas s'accommoder des analyses et interprétations sauvages qu'on lit souvent dès lors que les auteurs s'inspirent de la théorie psychanalytique.
Intéressez- vous aux recherches en neuro-psychologie, en psychologie sociale, psychologie cognitive, psychologie développementale … et vous verrez que la démarche est bien scientifique.
C’est dans ces moments là qu’on leur dit merci à papy Freud et à Tonton Lacan…
Peut on on calculer une donnée en psychologie?
Peut on faire des prédictions ?
Pourquoi pas ???
On peut se demander aussi: est-ce qu'une science ne serait pas une science ?
Qu'est-ce qu'une donnée calculable en psychologie, un QI, par exemple ?
En quoi ça ferait une science ou ça ne ferait pas une science ?
Pour vous aider, vous pouvez vous poser certaines questions:
Quelle est pour vous la définition d'une science ?
Quel est, pour un scientifique, la définition d'une science ?
Quelle est la bonne définition ?
Oui, intéressez vous aux diverses branches données par vep.
Posez vous les mêmes questions pour la biologie et ses diverses branches, à moins que vous ne les considériez pas comme scientifiques non plus...
La psychologie ne s’intéresse justement pas particulièrement aux sciences de la "matière", c'est la neurologie qui comprend initialement les bases matérielles comme la biologie, l'anatomie, l'histologie, la physiologie, la pharmacologie, etc...neurologiques.
Elles sont donc complémentaires et selon ce qu'on inclut dans la neurologie, fondent les neuro-sciences: aucune des deux ne fait partie de l'autre (il suffit d'aller voir un neurologue et un psychologue et demander au premier s'il est psychologue et au second s'il est neurologue).
Pour aider un peu avec quelques liens de vulgarisation, un neurologue se forme à la faculté, en 10 ans minimum, ensuite, c'est suivant la sous spécialité choisie.
http://www.sihp.fr/FicheSpecialite.php?CleSpecialite=2
http://www.ffn-neurologie.org/grand-...ie/index.phtml
En ce qui concerne la psychologie, c'est un peu plus de 5 ans minimum, suivant la branche, à l'université aussi mais je préfère laisser vep répondre.
http://www.neuropsychologie.fr/index...9-en-neur-r224
http://www.letudiant.fr/etudes/secteurs/histoire_1.html
http://www.ffn-neurologie.org/grand-...es/index.phtml
Pour aucune des deux spécialités ou sous-spécialités, il n'y a de limite "supérieure" au vu du nombre de connaissances scientifiques à intégrer dans le champ des neurosciences.
Bonjour,
Pour moi :
Le QI n'est pas une mesure vu que son erreur est inconnue. Pour la plupart des tests et la plupart des individu, elle est de quelques points mais il n'est pas à exclure une variation de plusieurs dizaines de points entre 2 tests pour un même individu.
Par contre la statistique du QI (d'une population assez grande i.e voir la fiabilité du test QI) est une mesure dont on peut déterminer l'erreur (il faut juste remonter d'un niveau). Donc le QI n'est pas une mesure scientifique. La statistique du QI si.
J'ai toujours entendu qu'une science se définissait par le fameux trio : expérience hypothèse test. (axiome)
La psychologie est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques) mais elle n'est pas une science parce que ces théorie appliquées à l'individu peuvent se révéler fausse, contrairement à la théorie quantique appliquée à l'électron.
Au revoir
Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude.
Il me semble que cette discussion se "fractalise" un peu.
Il faudrai trouver un moyen de rationaliser tout ça
Elle est inconnue ou elle est de plusieurs dizaines de points ??
Sur quoi vous basez vous pour connaitre cette précision inconnue que vous nous donnez pourtant ??
Est-ce que toutes, absolument toutes les mesures n'ont pas une (im)précision de mesure ?
Est-ce que donc aucune mesure ne serait alors scientifique ?
Sachant que vous dites que le test du QI est un test trop imprécis à l'échelon individuel et est inexploitable (non scientifique), par rapport à quoi, comment et à quoi sert la "statistique" que vous feriez ?
Pourtant une statistique est tout sauf une mesure représentative d'un individu en particulier...
Et la satistique ne peut être faite que si les mesures individuelles ont un sens...
Toutes les sciences peuvent se révéler "fausses" car toutes les sciences reflètent l'état actuel des connaissances qui évoluent.J'ai toujours entendu qu'une science se définissait par le fameux trio : expérience hypothèse test. (axiome)
La psychologie est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques) mais elle n'est pas une science parce que ces théorie appliquées à l'individu peuvent se révéler fausse, contrairement à la théorie quantique appliquée à l'électron.
Le modèle de Bohr, le modèle de Newton et toute la physique jusqu'à ces dernières années n'étaient donc pas des sciences.
La biologie qui sans cesse évolue n'est donc pas une science non plus...
La "théorie quantique appliquée à l'électron" serait donc la seule et unique science absolument vraie qui prédit tout (y compris le comportement psychologique des gens ?) et ne changera donc jamais ?
Souhaitons qu'une personne irréprochablement rationnelle puisse répondre à Myoper.
@Myoper
La vraie question, vous l'avez posée: "qu'est ce qu'une science"
En fonction de la réponse à cette question (et il y en a sans doute un certain nombre), on pourra dire ou non, que la psychologie est une science.
Pour moi, une science, c'est un domaine ou on a défini des axiomes , des théorèmes , des lois incontournables , issues de mesures et d'observations.
Et ou on peut prédire par le calcul un résultat qui est toujours vérifié, quelle que soient les circonstances.
Donc, qui s'appliquerait plutôt au domaine extra humain, au matériel.
Tout le reste pour moi, c'est de l'Art, au sens général .
Il y a des domaines où certains obtiennent des résultats incontestables , les guérisseurs , par exemple.(je ne cite pas la graphologie , vous savez pourquoi)
Sont ils des scientifiques? des artistes ?,
Voila ma vision des choses.
Dernière modification par invite21348749873 ; 19/08/2014 à 09h13.
Je suis complètement de votre avis.Bonjour,
Pour moi :
Le QI n'est pas une mesure vu que son erreur est inconnue. Pour la plupart des tests et la plupart des individu, elle est de quelques points mais il n'est pas à exclure une variation de plusieurs dizaines de points entre 2 tests pour un même individu.
Par contre la statistique du QI (d'une population assez grande i.e voir la fiabilité du test QI) est une mesure dont on peut déterminer l'erreur (il faut juste remonter d'un niveau). Donc le QI n'est pas une mesure scientifique. La statistique du QI si.
J'ai toujours entendu qu'une science se définissait par le fameux trio : expérience hypothèse test. (axiome)
La psychologie est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques) mais elle n'est pas une science parce que ces théorie appliquées à l'individu peuvent se révéler fausse, contrairement à la théorie quantique appliquée à l'électron.
Au revoir
Bonjour,Le QI n'est pas une mesure vu que son erreur est inconnue. Pour la plupart des tests et la plupart des individu, elle est de quelques points mais il n'est pas à exclure une variation de plusieurs dizaines de points entre 2 tests pour un même individu.
Par contre la statistique du QI (d'une population assez grande i.e voir la fiabilité du test QI) est une mesure dont on peut déterminer l'erreur (il faut juste remonter d'un niveau). Donc le QI n'est pas une mesure scientifique. La statistique du QI si.
J'ai toujours entendu qu'une science se définissait par le fameux trio : expérience hypothèse test. (axiome)
La psychologie est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques) mais elle n'est pas une science parce que ces théorie appliquées à l'individu peuvent se révéler fausse, contrairement à la théorie quantique appliquée à l'électron
On oublie peut-être la différence, en général acceptée, entre sciences exactes et sciences humaines...
Les sciences exactes sont ces domaines de la connaissance et de la recherche dans lesquels il est possible d'établir des protocoles expérimentaux précis qui conduisent à la “preuve” : La science physique en est l'exemple par excellence, mais aussi la chimie, la biologie, la génétique, la géologie, etc. Le problème de la précision de la mesure vient s'y greffer comme un problème technologique : quand la technologie le permet, les mesures sont refaites et affinées. Ainsi les résultats de la relativité générale ont été confirmés à différentes dates avec chaque fois un peu plus de précision.
Les sciences humaines sont ces domaines de la connaissance et de la recherche dans lesquels il n'est pas possible d'établir des protocoles expérimentaux précis qui permettraient de parvenir à une “preuve”. Votre question du QI est un exemple parfait pour illustrer ce que je veux dire : La précision de la mesure pour un test de QI n'est pas la vraie question, la vraie question c'est, qu'est-ce que mesure le test? Car le test de QI ne mesure pas “l'intelligence”, notion pour laquelle on ne sait pas produire de définition scientifique. Les tests de QI mesurent un ensemble de compétences déterminées à l'avance sur des critères nécessairement arbitraires malgré la bonne volonté des psychologues, car personne n'est d'accord, encore une fois, sur ce qu'est l'intelligence. Les théories sont nombreuses, et les tests de QI sont tout aussi nombreux, chaque école pouvant produire le sien. La critique la plus récurrente pour la mesure du QI est la critique du parti-pris culturel et de l'absence d'universalité : les tests de QI de la civilisation occidentale ne sont valables que pour des occidentaux et donneraient des résultats faussés avec des papous ou des indiens d'Amazonie, en prenant des exemples extrêmes. La mesure d'un test de QI n'est donc pas scientifique car l'objet même de la mesure n'est pas déterminé avec précision.
La valeur des résultats en sciences humaines n'est pas comme en sciences exactes dans la précision, car il semble que dans le domaine des sciences humaines il faille y renoncer. La valeur des sciences humaines tient à des résultats pragmatiques : les psychologues, conscients des limites de leurs tests de QI, savent néanmoins instrumentaliser les résultats de ceux-ci pour aider et conseiller les familles, et d'un outil “imparfait”, ils font avec leur expérience un instrument utile.
Les débats idéologiques sont aussi plus nombreux en sciences humaines, c'est la conséquence de l'impossibilité de parvenir à la “preuve” comme en sciences exactes. Cette différence entre sciences humaines et exactes tient à l'objet principal des sciences humaines : elles étudient l'être humain, et plus précisément son comportement. Il s'agit d'un objet d'étude dont la complexité est infiniment plus grande que les objets d'étude des sciences exactes, car l'être humain, doté du cerveau le plus complexe que l'évolution ait produit, est capable du comportement le plus imprévisible qui soit, et du plus élaboré aussi : ni les électrons ni les molécules n'ont inventé la culture... Cette complexité intrinsèque de l'humain, sans commune mesure avec celle des objets sans volonté propre qu'étudient les sciences exactes, rendent pratiquement illusoire toute tentative d'atteindre à une “preuve” expérimentale.
Quant à la psychologie, c'est une science à cheval sur les sciences exactes et humaines : toute la partie de la psychologie qui s'appuie sur la biologie est du domaine des sciences exactes. La partie qui étudie les pathologies psychologiques et élabore des thérapies ou qui s'efforce d'évaluer les compétences humaines comme les théories de l'intelligence, elle, elle est franchement située dans les sciences humaines, et prête le flanc à toutes les polémiques.
Voir par ici pour les théories de l'intelligence et le QI :
TestQI
TestQIOfficiel
À trop se fier à son sixième sens, on finit par ne se fier à rien.
Aux personnes qui soulagent les douleurs, et parfois guérissent des malades sans avoir de compétences particulières.
Pour répondre à vos guillemets, que je sens soupçonneux, je précise que je ne connais pas de guérisseurs qui guérissent les fractures ouvertes ou les cancers en phase avancée.
Je parle de ces personnes dont on dit qu'elles ont un "don".
Et il y en a.
D'accord je vois
Je ne saurais pas non plus dans quelle catégorie les mettre, mais je ne les classerais pas dans les scientifiques. Ils n'utilisent pas la méthode scientifique. Ils se contentent d'utiliser des savoir-faire enseignés par d'autres guérisseurs et par leur propre expérience… comme n'importe quel technicien, maçon, éleveur de bétail et autres…
EDIT : NB : Ne prenez pas le pointeur vers une explication dédiée aux enfants comme une insulte, c'est juste que cette explication me semble juste et simple et elle est suffisante pour comprendre mes propos.
Dernière modification par Syst. ; 19/08/2014 à 10h57.
À trop se fier à son sixième sens, on finit par ne se fier à rien.
En fait, ils utilisent une méthode, avec des moyens et des connaissances qu'ils possèdent et obtiennent parfois des résultats.D'accord je vois
Je ne saurais pas non plus dans quelle catégorie les mettre, mais je ne les classerais pas dans les scientifiques. Ils n'utilisent pas la méthode scientifique. Ils se contentent d'utiliser des savoir-faire enseignés par d'autres guérisseurs et par leur propre expérience… comme n'importe quel technicien, maçon, éleveur de bétail et autres…
EDIT : NB : Ne prenez pas le pointeur vers une explication dédiée aux enfants comme une insulte, c'est juste que cette explication me semble juste et simple et elle est suffisante pour comprendre mes propos.
N'est ce pas le cas de toutes les sciences qui touchent à l'esprit humain, psychologie en tête.
Je me souviens d'une discussion avec un psychiatre assez renommé à qui j'avais exprimé mon admiration pour sa connaissance de l'esprit humain, de ses pathologies, etc... et du savoir que cela impliquait.
Sa réponse a été textuellement: " Vous savez , Monsieur, lorsque je trouve le bon remède pour stabiliser un malade et l'empêcher de se suicider, j e considère que j'ai déjà fait un très bon travail; je ne connais pas du tout ce qui se passe dans l'esprit de mon patient, comment le pourrais-je?"
Une bonne leçon d'humilité que j'ai toujours retenue.
Bonjour,
L'erreur que j'ai donnée de quelques points est une moyenne (statistique de la v.a erreur).Envoyé par myoperElle est inconnue ou elle est de plusieurs dizaines de points ??Envoyé par interferencesLe QI n'est pas une mesure vu que son erreur est inconnue. Pour la plupart des tests et la plupart des individu, elle est de quelques points mais il n'est pas à exclure une variation de plusieurs dizaines de points entre 2 tests pour un même individu.
Par contre la statistique du QI (d'une population assez grande i.e voir la fiabilité du test QI) est une mesure dont on peut déterminer l'erreur (il faut juste remonter d'un niveau). Donc le QI n'est pas une mesure scientifique. La statistique du QI si.
J'ai toujours entendu qu'une science se définissait par le fameux trio : expérience hypothèse test. (axiome)
La psychologie est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques) mais elle n'est pas une science parce que ces théorie appliquées à l'individu peuvent se révéler fausse, contrairement à la théorie quantique appliquée à l'électron
Sur quoi vous basez vous pour connaitre cette précision inconnue que vous nous donnez pourtant ??
La variance de cet estimateur (l'erreur) autorise des fortes variations chez un même individu.
Donc quand on fait passer un test à un individu (ce qui est généralement le cas), cet estimateur est inconnu. On connait la moyenne et la variance du QI (sa statistique) mais pas le QI.
Une mesure sans erreur ne vaut absolument rien en science.
Tout est dans la connaissance (la prédiction) de cette imprécision.Envoyé par myoperEst-ce que toutes, absolument toutes les mesures n'ont pas une (im)précision de mesure ?
Est-ce que donc aucune mesure ne serait alors scientifique ?
Quelque soit l'expérience quantique que vous conduirez la constante de Planck sera comprise dans l'intervalle h ± 0,000 000 29×10-34 J⋅s. (mesure).
Comment sait t-on que c'est une mesure ?
La variance sur cet estimateur (sur l'ensemble des expériences) est nulle.
Ceci est équivalant au corollaire suivant :
Soit la mesure d'une certaine grandeur avec un intervalle d'erreur.
Si on fait une autre mesure sur cette même grandeur alors il existe une intersection non nulle des intervalles d'erreur des 2 mesures.
En effet.Envoyé par myoperPourtant une statistique est tout sauf une mesure représentative d'un individu en particulier...
Non, c'est ça la beauté d'une statistique.Envoyé par myoperEt la satistique ne peut être faite que si les mesures individuelles ont un sens...
On peut avoir un ou deux points erroné sur la courbe, ça ne changera pas son tracé de manière significative si on prend un nombre de point suffisant.
Mais on ne demande pas à une théorie d'être une théorie du tout...Envoyé par myoperToutes les sciences peuvent se révéler "fausses" car toutes les sciences reflètent l'état actuel des connaissances qui évoluent.
Le modèle de Bohr, le modèle de Newton et toute la physique jusqu'à ces dernières années n'étaient donc pas des sciences.
La biologie qui sans cesse évolue n'est donc pas une science non plus...
La "théorie quantique appliquée à l'électron" serait donc la seule et unique science absolument vraie qui prédit tout (y compris le comportement psychologique des gens ?) et ne changera donc jamais ?
L'ensemble des expériences que j'ai évoqué tout à l'heure est borné et propre à chaque théorie.
La mécanique de newton est une science. Son domaine de prédiction a juste diminué à mesure que les instruments se perfectionnaient.
Mais elle est encore valable. Par exemple pour la course de satellite sur une courte distance ou la mécanique auto.
La statistique ne peut dire autre chose que ce qu'elle raconte (même si certains hommes politiques semblent penser le contraire) : que ce test est majoritairement fiable ou pas.Envoyé par myoperSachant que vous dites que le test du QI est un test trop imprécis à l'échelon individuel et est inexploitable (non scientifique), par rapport à quoi, comment et à quoi sert la "statistique" que vous feriez ?
Au revoir
Dernière modification par interferences ; 19/08/2014 à 12h17.
Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude.
Vu qu'il existe ce qu'on appelle une imprécision de mesure, donc un résultat inexact, que les lois évoluent, que les théorèmes ne concernent, sauf erreur de ma part, que les mathématiques, il n'y a donc qu'une science à vos yeux: les mathématiques.@Myoper
La vraie question, vous l'avez posée: "qu'est ce qu'une science"
En fonction de la réponse à cette question (et il y en a sans doute un certain nombre), on pourra dire ou non, que la psychologie est une science.
Pour moi, une science, c'est un domaine ou on a défini des axiomes , des théorèmes , des lois incontournables , issues de mesures et d'observations.
Et ou on peut prédire par le calcul un résultat qui est toujours vérifié, quelle que soient les circonstances.
Mais heureusement, il y a d'autres critères de "scientificité" que vous pouvez trouver, ce qui va permettre à la physique ou à la psychologie, et même à la biologie (oui, oui), d'être des sciences.
Ils n'ont pourtant jamais obtenu le moindre résultat constaté scientifiquement.
C'est peut être ce qui vous fait intervertir une science qui produit des résultats incontestables car prouvés dans des études reproductibles avec des critères objectifs avec des pseudo-sciences auxquelles vous attribuez des résultats que vous croyez qu'elles auraient obtenu mais qui n'ont jamais été constatés objectivement, ni de manière scientifiques et encore moins reproduits dans des expériences.
Sinon, vous pouvez ouvrir un fil et produire les preuves de ces résultats qui sont très faciles à donner quand ils sont incontestables (par définition, les contestations tombent devant les arguments scientifiques).
Rebonjour.Je ne vois toujours pas comment a t-elle été calculée dans ce cas précis ?
D'une part, ça tombe bien car c'est l'interprétation de tout le test qui est utile, la valeur seule, n'en a ici justement aucune.Une mesure sans erreur ne vaut absolument rien en science.
D'autre part, l'erreur admise [...]prouve bien que le résultat est inexact (faux, puisqu'il y a une erreur) et donc vous démontrez que la physique, par exemple, est le produit d'une science (en l'occurrence les statistiques qui permettent de quantifier cette erreur) mais n'en est pas une car le résultat se révèle systématiquement inexact (l'erreur).
Au passage, vous dites ici que la biologie, par exemple, n'est pas une science, ni aucune science humaine, ni aucune science du vivant ne serait une science qui sont pourtant des sciences...
Mais je ne dis pas le contraire et ça n'empêche pas la psychologie d'être une science.Tout est dans la connaissance (la prédiction) de cette imprécision.
Quelque soit l'expérience quantique que vous conduirez la constante de Planck sera comprise dans l'intervalle h ± 0,000 000 29×10-34 J⋅s. (mesure).
Comment sait t-on que c'est une mesure ?
La variance sur cet estimateur (sur l'ensemble des expériences) est nulle.
On parle de psychologie, la ...Ceci est équivalant au corollaire suivant :
Soit la mesure d'une certaine grandeur avec un intervalle d'erreur.
Si on fait une autre mesure sur cette même grandeur alors il existe une intersection non nulle des intervalles d'erreur des 2 mesures.
Exact, on peut faire des statistiques de tout sur tout pris n'importe comment, même sur ce qui n'a aucun sens mais ça ne lui donnera pas un sens, une utilité ou une quelconque pertinence pour autant.Non, c'est ça la beauté d'une statistique.
On peut avoir un ou deux points erroné sur la courbe, ça ne changera pas son tracé de manière significative si on prend un nombre de point suffisant.
C'est donc valable pour la psychologie ou la biologie.
Mais on ne demande pas à une théorie d'être une théorie du tout...
L'ensemble des expériences que j'ai évoqué tout à l'heure est borné et propre à chaque théorie.
La mécanique de newton est une science. Son domaine de prédiction a juste diminué à mesure que les instruments se perfectionnaient.
Mais elle est encore valable. Par exemple pour la course de satellite sur une courte distance ou la mécanique auto.
CQFD ?
Au revoir mais vous avez répondu aux questions à coté.
Ça m'a l'air "bien" "fractalisé" ici...
@Myoper
Vous avez écrit ceci:"Ils n'ont pourtant jamais obtenu le moindre résultat constaté scientifiquement."
C'est faux, on a constaté certaines guérisons que la médecine traditionelle n'avait pu obtenir vous pouvez vous renseigner.
Mais je connais vos opinions et n'insisterai pas là dessus, ce serait complètement stérile, et j'ai déjà donné.
Si vous êtes convaincu que la psychologie est une science, après tout ,c'est votre droit le plus strict.
Et ne pensez pas que je sois dupe des charlatans.
J'ajoute qu'il y a des théorèmes également en physique, pas qu'en mathématiques.
Dernière modification par invite21348749873 ; 19/08/2014 à 20h05.
Un constat n'est pas une preuve au sens scientifique.
Certains ont constaté que lorsque l'enrobé des routes était moins dur, le nombre de délits augmentait.
Est-ce pour autant une preuve qu'avoir les pieds sur un sol dur ou mou a une incidence sur la tendance à enfreindre la loi ?
________
Pour le reste (la psychologie est-elle une science ?) ... Piouu trop de choses, pas le temps de faire une réponse plus développée maintenant ... alors ...
Dernière modification par vep ; 19/08/2014 à 20h17.
@ Arcole
Mais je me suis renseigné (et de ce que vous en savez, peut être beaucoup mieux que vous ne pourriez jamais le faire) et vous avez beau clamer votre croyance dans le fait que "c'est faux", il n'y a rien qui ne pourrait être du au hasard, aux traitements suivis et qui ont, eux, produit des preuves, ou a tout autres causes.
Je maintiens donc devant l'absence de "preuve" ou même d'études pouvant faire évoquer ce genre de choses.
Je répète donc: vous avez la moindre preuve, ouvrez un fil dédié et vous pouvez même toucher un million de dollars que personne n'a jamais gagné et que vous, de ce que vous affirmez, toucherez facilement.
Toujours @ Arcole:Mais je connais vos opinions et n'insisterai pas là dessus, ce serait complètement stérile, et j'ai déjà donné.
Si vous êtes convaincu que la psychologie est une science, après tout ,c'est votre droit le plus strict.
Et ne pensez pas que je sois dupe des charlatans.
J'ajoute qu'il y a des théorèmes également en physique, pas qu'en mathématiques.
Encore une fois, vous n'avez pas le moindre embryon d'idée de mes opinions et ne savez même pas, par exemple, comment je me soigne ou ce à quoi je pourrais croire et je constate l'absence totale d'argument scientifique de votre part et que vous basez vos propos sur ce genre de méconnaissances totales, y compris sur celle de la psychologie et de la biologie puisque vous démontrez par votre argumentation que ça ne serait pas une science non plus.
Je ne préjuge pas de ce dont vous pourriez être dupe: je vous lis, c'est tout.
Au fait, auriez vous la définition du théorème, s'il vous plait ?
@ myoperEncore une fois, vous n'avez pas le moindre embryon d'idée de mes opinions et ne savez même pas, par exemple, comment je me soigne ou ce à quoi je pourrais croire et je constate l'absence totale d'argument scientifique de votre part et que vous basez vos propos sur ce genre de méconnaissances totales, y compris sur celle de la psychologie et de la biologie puisque vous démontrez par votre argumentation que ça ne serait pas une science non plus.
Modérez-vous, Modérateur… Je sens que vous vous énervez !
Une petite devinette si vous avez le sens de l’humour :
Un Modérateur sur un forum doit modérer tous les participants qui ne se modèrent pas eux-mêmes. Alors, doit-il se modérer lui-même ?
S’il ne se modère pas lui-même, selon la règle, il doit se modérer.
S’il se modère lui-même, toujours selon la règle, il ne doit pas se modérer…
Est-ce un paradoxe logique ?
Bien sûr, cela ne marche pas aussi bien qu’avec le paradoxe du barbier de Russell et je joue sur les mots, j’en ai conscience, mais c’était pour détendre l’atmosphère…
Après tout si Arcole a envie de croire que certains guérisseurs obtiennent des résultats, cela le regarde. N’oublions pas que l’effet placebo, encore mal compris par la médecine, pourrait expliquer des résultats modestes attribués aux guérisseurs…
Je ne connais pas la définition du théorème, mais après vérification il y a un certain nombre de théorème en physique : Wikipédia.
Bonne soirée.
Un certain nombre d'intervenant sent un certain nombre de choses mais d'habitude, c'est avec des sensations extrasensorielles mais si ça devait m'énerver*, j'arrêterais de vivre ou autrement dit, avec ce que je lis sur ce forum, ça m'aurait tué depuis longtemps.
Certes , mais il a accepté et signé une charte qui lui a été souvent rappelée et en particulier ce paragraphe:
Et wiki dit aussi qu'un théorème est une affirmation (mathématique) qui peut être démontrée, c'est-à-dire une assertion qui peut être établie comme vraie au travers d'un raisonnement logique construit à partir d'axiomes. Un théorème est à distinguer d'une théorie.Ayez une démarche scientifique. Ce forum n'est pas un lieu de discussion sur de soi-disant phénomènes paranormaux ou "sciences" parallèles. Toutes idées ou raisonnement (aussi géniaux soient ils) doivent reposer sur des faits scientifiquement établis et non sur de vagues suppositions personnelles, basées sur d'intimes convictions. Étant sur un forum scientifique, les discussions religieuses ou politiques ne sont pas tolérées. D'autre part la seule vocation de Futura-Sciences étant la vulgarisation scientifique de bon niveau ce n'est pas le lieu pour des questionnements ou remises en cause de théories admises dont seuls des spécialistes ont les compétences pour débattre, ni pour l'exposé de théories strictement personnelles. Une telle démarche aurait sa place uniquement dans un séminaire ou un congrès scientifique.
Ceci dit, je ne me prononce pas et je constate que sa démonstration implique, entres autres, que toutes les sciences humaines et les sciences du genre de la biologie, c.à.d. ce qu'on appelle souvent les sciences molles ne sont plus des sciences.
* Donc, si je ne suis pas énervé, je n'ai pas à me modérer puisque je me modère moi même avant d'avoir à me modérer modérément... ou pas ?
@ soulscryer
I don't get what you mean... No tengo ni idea de lo que dices... ma che cosa dici?
Qui est ce “Téléphone”, ÂmesQuiPleurent?
C'est l'humour décalé qui te surprend démuni? Ou alors c'est moi qui suis démuni et c'est toi qui fais de l'humour décalé?
Quoiqu'il en soit, bonne nuit!