pour les étoiles, on peut aussi penser qu'ils utilisait aussi les formes géométriques. Mais sinon je suis d'accord.
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pour les étoiles, on peut aussi penser qu'ils utilisait aussi les formes géométriques. Mais sinon je suis d'accord.
Salut,
Les formes géométriques ça a dû venir plus tard (peut-être dans l'antiquité).
En tout cas on trouve dans certains cas d'art rupestre divers signes associés au chamanisme, comme des séries de points (il n'est pas exclu qu'on se trompe même si le chamanisme et le totémisme ont certainement été les premières formes de croyance) et cela nécessite de compter.
Et puis, faut savoir compter compter combien on a de doigts pour éviter d'en manger un quand on mord dans un cuissot d'antilope
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
L'Antiquité c'est déjà loin
Bonjour
Penser que les objets mathématiques existent, voir qu'une fondation mathématique existe, ne définit pas la nature mais est juste un élément de réponse.
Connaître la nature d'une chose permet de répondre à toute les questions sur la choses tant que l'on entre pas dans les détails. Par exemple si vous connaissez la nature de l'humain vous pouvez en déduire qu'il aime explorer, s'informer, se reproduire etc.
Donc connaître la nature des mathématiques permet de répondre à des questions comme :
* Est-ce qu'il y a des fondations mathématiques qui existent et d'autres non ?
* Est-ce que si des fondations existent il y a eu un processus de création (ce qui implique une notion de temporalité) ?
Comme la mathématique est un cadre quasi-premier de notre pensée scientifique, c'est un sujet difficile car la définition de la nature d'une chose demande toujours un cadre plus large (un contexte) entourant la chose.
cordialement
Il y a peut-être la nature des angles réels et d'autres imaginaires pure.Est-ce qu'il y a des fondations mathématiques qui existent et d'autres non ?
Qu'est ce qu'un angle réel ? :
C'est en premier lieu le reflet d'une réalité. Pour un homme immobile sur la bas côté de la route, il trouvera peut-être étrange qu'un conducteur de voiture le regarde s'il dépasse un angle de 90° entre lui (SA VITESSE dans la voiture) et l'observé. C'est le reflet d'un mauvais comportement qui peut conduire à la réalité d'une altercation ou d'un accident de la route.
Qu'est ce qu'un angle imaginaire pure ?
- Pour une rivière, un ruisseau ou un fleuve quelconque, sa longueur réelle divisée par sa longueur à vol d'oiseau est toujours égal au nombre Pi. Il y a des méandres sur les rives extérieurs qui favorisent son caractère irreproductible.
- L'exitance (ou émittance) divisée par la luminance est toujours égal au nombre Pi.
Dans le réel, peut-on concevoir le produit en croix de ces deux équations parfaitement égal ? Notamment la longueur réelle d'une rivière d'une luminance est égal à sa longueur à vol d'oiseau de son émittance.
Le réel est dépassé par l'imaginaire pure.
Nous ne comprenons pas vraiment ce que le temps signifie. Le sujet déborderait (hors-charte). On ne peut pas concevoir "se déchirer" de l'espace et du temps lorsque l'on meurt. La conscience est universelle et éternelle.* Est-ce que si des fondations existent il y a eu un processus de création (ce qui implique une notion de temporalité) ?
Par acquis de conscience, je ne dis pas que ce sont des processus temporelles (ou réel ; si c'est bien ce que vous évoquer ?) qui sont à la base d'un processus de création, mais une notion conjointe d'espace (ou spatialité) et de température.
La conscience en sort et en dehors de ce processus là, il n'y a rien d'autre qu'une notion de spatialité hors du temps (ou des réalités) ...
Pour illustrer cela autrement, imaginer créer un service d'espace plutôt qu'un service réel (ou temporel).
Vous rendrez service aux gens en créant des restaurants, mais vous rendrez heureux des gens ("à votre place") "en créant" des couples.
Le monde s'appréhende autrement si la conscience est universelle et éternelle, en particulier le temps passé à vivre sur terre n'est plus exclusivement le rapport d'une vie réelle devant l'éternité, mais l'éternité devant la vie réelle.
Rendre service aux autres, et semble t-il, à notre place et en même temps, est un exercice collectif et pas seulement personnel comme nous l'avons vu dans "la structure des sciences". Le jugement personnel est un exploitant de la réalité.
Une fois que l'on prend suffisamment de recul, alors des questions plus évidentes apparaissent pour orienter de saines aspirations.
Par exemple, le nombre de naissances à naître (dans un processus des cosmos inconnu de nous, car je crois que nous ne sommes pas les seuls hommes de l'univers existant) est toujours infiniment plus grand que toutes celles déjà nées.
On voit bien qu'avec ce raisonnement, une notion fine d'espace doit dominer sur la réalité. Par exemple, le repos, mais aussi de nouveaux champs lexicaux dans les activités humaines. J'ai une liste d'exemples fournis, mais notre monde ne semble pas en marche dans cette direction.
Penser brièvement, qu'à la base de la reproduction et de nouvelles naissances, il y a des écoles qui peuvent favoriser, dans un processus global, une direction radicalement différente que celles de leurs ainés. Notamment pendant la jeunesse, de 3 années (on se rappel, la mémoire) à 12 années (juste avant la puberté) l'éducation est essentielle.
J'espère avoir répondu correctement à vos questions.
Simple avis de physicien appliqué (habitué à faire le passage mathématique-réalité).à votre avis , les mathématiques sont elles une invention ou une découverte.
Les mathématiques, à la base, ressemblent très clairement à un codage d'intuitions physiciennes : l'énergie s'additionne et le poids d'une cause est la somme des parties de la cause. Addition et multiplication.
Quand en physique, on voit une formule : ax + by + d , on identifie "une somme de causes (x,y) , on rajoute que le poids associé à la cause x est a et la le poids associé à la cause y est b et pour finir on introduit un décalage d"
Il est très intéressant de voir qu'un physicien pourrait écrire la phrase sans la formule.
Il n'y a aucun doute que les mathématiques sont le fruit de nos expériences (compter les moutons, étudier la trajectoire d'un objet en chute libre, la notion de conséquence etc). Mais la genèse d'une chose, même si ça en dit long, n'explique pas la nature. Par exemple savoir ma généalogie depuis la première bactérie ne donne pas ma nature et n'aide pas à répondre à une question comme "quels sont les émotions humaines ?".
Les mathématiciens autant que les physiciens peuvent écrire leurs idées dans leur langue natale, ce n'est pas spécifique au domaine scientifique.
cordialement
Not only is it not right, it's not even wrong!
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Celle là est excellente. Merci.
Ce qui est rigolo, c'est que c'est faux même pour des mathématiques appliquées : en finance, on met des gaussiennes partout notamment dans le célèbre Black&Scholes pour calculer des options alors que l'expérience montre immédiatement qu'on n'a pas ce genre de distributions.
Mais comme ça, on sait calculer et une fois le modèle accepté par tout le monde, il fait foi (je simplifie un peu mais pas trop, avec une pensée pour Mandelbrot qui a travaillé sur des distributions non gaussiennes dans ce contexte).
Dans ces cas notre expérience est le fruit des mathématiques.