Relis l'expérience: Le comportement des blattes a été synthétisé par un algo qui a étudié toutes les données de déplacement de "vraies blattes".
Ce n'est pas l'homme qui a étudié et transcrit en programme le comportement des blattes, c'est un programme qui l'a "deviné" grace à la base de donnée initiale (enfin, il me semble...)
Non, effectivement, mais il a appris son comportement avant d'aller fréquenter les blattes (c'est ce que j'ai dit par "apprentissage initial"le robot-blatte n'etait pas muni d'un comportement d'apprentissage je crois?
Appris, à partir d'une base, pour la première approximation, puis éventuellement (on quitte le domaine des blattes) appris sur le tas...c'est ça ma question : est-ce que les comportements seraient "injectés" (ce qui nécessite de parfaitement étudier le comportement et le programmer) ou appris d'un environnement "spontanément" ?
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àmha la réponse dépendrait du but réel de ces produits. Dans la nouvelle que je citais, l'objectif de faire des animaux artificiels était de contrôler l'équilibre écologique. Dans ce contexte, l'important pour une vache artificiel serait de brouter, peu importe son apparence. Si en plus elle devait être décorative, alors l'apparence et certains comportements seraient également à inclure (pas forcément naturel d'ailleurs). En ce qui concerne l'homme artificiel, la question est la même: s'il s'agit d'obtenir un travailleur multi-tâche géré par un avatar descendant de windows, les critères de fabrication ne seront pas les mêmes que s'il s'agit de faire un réceptacle confortable pour un esprit informatique légalement ou réellement humain.