[note de la modération : nous rappelons aux lecteurs de ce fil que les propositions qui sont faites ici sont des jeux intellectuels amusants ; les auteurs ne croient pas une seconde à ce qu'ils proposent ]
Le principe part du fait de la densité électronique à proximité des noyaux des atomes de Rhodium est assez élevée pour que la réaction se fasse avec moins d'énergie que ce qu'en prévoit la théorie. Un peu comme dans le palladium, mais en plus fort.
Pour pouvoir vérifier ma théorie à une échelle suffisante que pour la valider de façon industrielle, je devrai disposer d'électrodes de ce métal de taille assez grandes, et je dois pouvoir m'en sortir avec une douzaine de kilo.
Si Futura peut me les prêter, j'en ferai bon usage et posterai mes résultats ici !
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