C'est même allé plus loin, en constituant tout un vocabulaire foutraque au possible, des "ondes de forme" au "émissions dues aux formes", sous couvert de théories très floues et affirmations péremptoires que l'on doit gober comme "indiscutables" sans vérification.
Dès les années 1920, par le biais d'un certain "comte Skariatine" (non, mh34, pas Scarlatine) , ou "Enel", puis de radiesthésistes comme Chaumery, de Belizal, Chaisemartin, Morel, de la Foye, allant même jusqu'à des "couleurs de forme", par exemple un supposé "vert négatif", doué de propriétés desséchantes et momifiantes sur la matière vivante, breveté en 1936 par Chaumery et de Belizal.
Inutile de dire, que ce supposé "machin" n'a jamais reparu, et n'a jamais servi à quoi que ce soit.
Jacques Ravatin, mathématicien à la fac d'orsay, avait repris toutes ces élucubrations (il y a déjà plusieurs décennies) pour en tirer un acronyme, EIFs (pour Emergence-Influence-Formes), et un amphigouri halluciné et inépuisable : travail de l'obs, champs de cohérence, alphysique, polaror, mimoïdes, formériades, défibrage de l'alpha, équimsey, ancron, voïloc, a-tomes, pi-tomes, firthes, objets phénistes, champs de Taofel et j'en oublie...
Là aussi, rien de scientifique, et encore moins de concret, n'en est sorti, sinon un voyage au pays du New Age et de toutes ses dérives.
-----